Kaipa: Sommargryningsljus
Je regarde avec suspicion les groupes avec une longue histoire ressortir des nouveaux albums. Mais Sommargryningsljus, de Kaipa, est très convaincant.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Je regarde avec suspicion les groupes avec une longue histoire ressortir des nouveaux albums. Mais Sommargryningsljus, de Kaipa, est très convaincant.
Parmi toutes les choses que j’ai oubliées, il y a écrire le billet de blog pour aujourd’hui. Ça aurait pu être le cinq millième, mais c’est le 5029.
J’ai hésité à acheter To Follow Polaris, le nouvel album de The Tangent, échaudé par les précédents opus, mais j’ai fini par suivre l’avis de Notes Review.
Je continue mon exploration des aventures de Corto Maltese avec ce recueil, intitulé D’une rive l’autre, qui emmène son (anti)héros dans bien plus de lieux.
Le rock progressif inclut une nébuleuse de divers sous-genres. Ainsi, l’album de Deposed King, One Man’s Grief, incorpore une vaste quantité d’influences.
Au début de sa carrière de mercenaire, Viv soigne une sale blessure et découvre les plaisirs de la lecture dans Sagas et Sable d’os, de Travis Baldree.
Un groupe composé de membres de Faun et d’Eluveitie, une musique qui tire vers le folk, c’est Tvinna et l’album s’intitule Two – Wings for Amber.
Sidra est dans un corps qui n’est pas le sien. Pepper vient d’une planète d’eugénistes extrémistes. C’est A Closed and Common Orbit, de Becky Chambers.
J’ai pu aller voir l’exposition, Metal – Diabolus in Musica présentée à la Philharmonie de Paris. Et c’est plutôt cool.
À l’heure où j’écris ces lignes – vendredi après-midi, depuis un food courts de l’édition 2024 de Japan Expo – ma première pensée est « jusqu’ici, ça va ».
Des Restes du samedi éclectiques: death-metal progressif avec Job for a Cowboy, black-metal industriel avec Samael, et prog-psyché-funk avec Sun Q.
Heartquake, de Leviathan, est sorti en 1986. Hearthquake / Redux, des mêmes, en 2024. Pourquoi quarante ans pour refaire un album? Pourquoi pas?
Dans la série des endroits idiots où rédiger le bilan mensuel création et mécénat, celui-ci, pour juin 2024, a été écrit dans le TGV entre Genève et Paris.
Le mois passé a été pour le moins intense au niveau des vidéos et cet épisode de Radio-Erdorin, pour juin 2024, vient le conclure de façon conséquente.
C’est quoi ce nom de groupe? Cest quoi ce titre d’album? C’est quoi cette pochette? Eh bien c’est Amazingous, de Cheeto’s Magazine, et c’est du prog. Si.
Accusé à tort, Edmond Dantès se lie d’amitié avec un autre prisonnier qui lui confie le secret d’un trésor. Il s’évade et devient Le Comte de Monte Cristo.
Un des mèmes du metal, c’est les mélanges bizarres, et aujourd’hui, je vais vous parler de blues-metal avec Adrastia, le nouvel album de Y.Blues.
Au début de The Long Way to a Small, Angry Planet de Becky Chambers, Rosemary, jeune humaine de Mars, intègre l’équipage d’un vaisseau spatial.
Certains – rares – groupes sont plus intéressants en album qu’en concert, comme Mars Red Sky, si j’en juge par cet album, Dawn of the Dusk.
Nouveau rendez-vous de la scène geek / pop-culture / japonaise, JapaNeuch revient pour une 2e édition, à Neuchâtel et sous le sol… ah non, tant pis!