IQ: Frequency

Ce qu’il y a de bien avec les nouveaux albums d’un groupe comme IQ, tel le Frequency qui vient de sortir ces jours, c’est qu’on est rarement surpris: c’est du néo-progressif “à la IQ”, ni plus, ni moins.

Ce qu’il y a de moins bien, c’est qu’on est rarement surpris: c’est du néo-progressif “à la IQ”, ni plus, ni moins.

Comment ça, c’est un effet facile?

Certes, IQ fait du IQ depuis maintenant plus de vingt ans, avec des albums plus ou moins réussis selon les cuvées. Au moins, depuis le temps, ils le font bien: c’est donc du rock progressif tendance néo-prog bien carré, avec des mélodies finement travaillées et un son quasiment inimitable, entre la voix de Pete Nicholls et la guitare de Michael Holmes; seul manque à l’appel Martin Orford, dont l’album solo The Old Road précédemment chroniqué ici a été en quelque sorte le chant du cygne.

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