La viande, c’est la force (Boulet: Notes 3)

Ça fait depuis ce matin que je me creuse le ciboulot pour arriver à trouver les superlatifs susceptibles de décrire adéquatement le pur génie contenu dans ce troisième volume des Notes de Boulet, sobrement intitulé “La viande, c’est la force“. J’ai beau conjurer mon imagination, d’ordinaire débordante quand il s’agit d’écrire des bêtises, ainsi que mes nombreux catalogues d’hyperboles geekesques, je sens qu’il est temps de déclarer forfait.

Il est des champs de bataille qu’il faut savoir quitter la tête haute. Je crois que l’on doit proclamer que le sieur Boulet (Gilles Roussel pour l’état civil) est une forme d’avatar créatif transcendant les genres bédéistiques, à la fois dieu des arts et humain dans ses passions. Une quintessence, le mot est lâché.

Ahem.

Il faudrait que j’arrête la bière de corps de garde après 22 heures, moi…

Mais bon, j’avais promis une critique dithyrambique, c’est chose faite. Maintenant, pour aller un peu plus profondément dans les détails, ce troisième volume continue la formule des deux précédents et que l’on pourrait résumer par “la version en arbres morts du blog”. Cela ne va peut-être pas aider ceux qui ne lisent pas son blog (et qui devraient être honnis jusqu’à l’antépénultième génération de leur lignée, au moins).

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