Retour sur Hearts of Iron 3

C’est malin! Écrire l’article précédent sur Hearts of Iron 3 m’a donné envie d’y rejouer. Voilà donc une petite semaine qu’à la tête de l’Allemagne, je ravage l’Europe et le Proche-Orient en chantonnant du Rammstein. Je trouve ça plus rigolo que Wagner. Mais passons.

Dans l’absolu, je ne retire rien de l’essence de mon billet: ce jeu est un monstre de complexité avec une courbe d’apprentissage ressemblant aux falaises de Douvres vues depuis la mer, affublé d’une intelligence artificielle très aléatoire. Par contre, après plus d’heures de jeu et de combats épiques à l’échelle d’un continent, je commence à un peu mieux percevoir les subtilités du bidule.

Dans un premier temps, mon erreur a sans doute été de vouloir jouer avec une puissance mineure, comme l’Argentine. Le débutant a meilleur temps de commencer avec une grande puissance, comme les États-Unis (si on aime attendre et voir) ou l’Allemagne (si on est plus du genre bourrin). J’ai donc choisi l’Allemagne.

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