En ce dimanche de Pâques – j’allais écrire “joli”, mais il fait un temps de chiottes – je suis à Monthey, à la Convention des Fous. Avec un peu de chance, vous pouvez même voir ma sale tête, de temps à autres, sur la web-TV de la conv’.
Le fait que je suis en train d’écrire ce billet au lieu de jouer devrait vous laisser penser que je m’emmerde comme un rat mort. Ce n’est pas tout à fait vrai; pas complètement faux non plus, mais disons plutôt que je suis un peu en mode “vacances”; ça doit être l’air de Monthey, ville où j’ai souvent été en villégiature pour cause de présence familiale d’une part et, plus récemment et d’autre part, d’amis.
Cela dit et au-delà du pur copinage, j’ai quand même pu faire au moins une partie de Tigres Volants hier après-midi. J’ai testé l’intro de la “campagne lupanar” en petit comité, un scénario à base d’héritage convoité, de violences mafieuses, de sauvetage de princesse et de courses-poursuites (en camion-poubelle) dans les rues de Fantir.