Trente jours d’iPhone

À une vache près, ça fait maintenant un mois que j’ai récupéré un iPhone. Oh, pas le monstre de quatrième génération dont se vante un certain compatriote blogueur beaucoup trop grand et costaud pour que j’aille lui péter les genoux. Non, un bête 3G même pas S que m’a filé Fulgan, lui-même étant passé au 4 (et étant également trop costaud pour que je lui fasse une grosse tête, d’autant plus qu’on ne tape pas sur la famille).

Ceux qui me connaissent comme Apple-maniac peuvent s’interroger sur la raison qui m’a poussé à attendre autant de temps avant de sauter le pas. Le fait est que, pour ce qui est des téléphones portables, je suis un peu luddite sur les bords; j’ai longtemps été réfractaire à cette idée et, pendant longtemps, j’ai essayé d’avoir soit un téléphone le plus simple possible, ou alors un bidule qui pouvait servir d’appareil photo de substitution.

L’iPhone, avec son côté, iPod et petit ordi ultraportable, aurait pourtant dû m’intéresser, mais j’avais deux réticences: j’avais déjà un ordi portable avec un bien plus gros écran et un iPod avec une bien plus grosse capacité.

Un mois plus tard, je ne suis toujours pas 100% convaincu. Le truc qui m’agace le plus, c’est l’autonomie: si je ne fais rien avec l’iPhone, j’arrive à tenir deux jours avant de le recharger. À comparer avec la petite semaine, en utilisation modérée, que pouvaient tenir mes deux téléphones précédents. Bon, comme je l’utilise également comme iPod au bureau sur un dock/haut-parleur, il se recharge à longueur de journée et ça reste gérable, niveau autonomie, mais je soupçonne que ce n’est pas bon du tout pour les batteries.

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