Partagée par Jess sur Facebook, cette “petite” bande dessinée intitulée Like an artist, par Jelly Vampire, est probablement une des plus belles illustrations que j’ai vue depuis un bon moment sur le thème de l’art et de la création.
Je dirais bien que Neal Morse – dont je vous avais déjà parlé pour son triple live – est un diable d’homme, mais comme c’est un fervent chrétien, ça pourrait être mal perçu; n’empêche que son deuxième album autobiographique, Testimony 2, prouve sans aucun doute l’un et l’autre.
C’est une phrase qui a fait son chemin sur Internet, née semble-t-il sur MetaFilter et qui m’est parvenu via l’inénarrable Pogo (qui signe ici sous le nom de Greg; oui, comme le docteur House): If you are not paying for it, you’re not the customer; you’re the product being sold.
Séance de rattrapage DVD hier soir avec District 9, film de science-fiction sud-africain de Neill Blomkamp que tout le monde, son frère et son petit chien a déjà vu depuis sa sortie en 2009. Et ce pour une bonne raison: il est bordélique, mais très bien.
Je vous avais déjà parlé du texte de Doc Searls A World of Ends, qui est sans doute la meilleure explication jamais écrite sur ce qu’est et, surtout, ce que n’est pas Internet. J’ai récemment noté que la version française, Un monde de bouts, n’était plus disponible en ligne; je l’ai donc copiée sur ce site depuis la Wayback Machine avec l’autorisation de son traducteur, Christophe Ducamp.
L’Art d’avoir toujours raison d’Arthur Schopenhauer est un classique qui décrit en trente-huit “stratagèmes” différentes façon de remporter une discussion, que l’on ait tort ou raison.
Comme mentionné il y a quelques jours, j’ai terminé une nouvelle version de la Campagne Lupanar. Je l’ai mise en ligne, même adresse que précédemment et toujours sous licence Creative Commons.
Je n’irai pas jusqu’à dire que l’organisation de cette édition 2011 d’Asmoday, la convention de jeu organisée par Asmodée, était une divine surprise, mais le fait est qu’on a un peu été prévenu à la dernière minute.
Du steampunk, du western et des zombies, c’est le cocktail que propose Boneshaker, roman de l’Américaine Cherie Priest dont j’avais entendu parler via BoingBoing et io9 et que j’ai acheté à Dublin. Soyons honnête : je n’aime pas les zombies et je ne raffole pas du western, mais la mention « steampunk » est souvent suffisante pour me faire acheter un peu n’importe quoi.
Ça m’a pris un petit moment, entre les pauses-déjeuner au bureau et les pauses en Irlande, mais j’ai enfin terminé ma relecture et les corrections y relatives de la Campagne Lupanar.
Hier soir, tard, j’entend Isa hurler de rire depuis le salon: elle était en train de regarder Robot Chicken, une série qui passe dans Adult Swim, le programme explicitement pas-pour-les-enfants de Cartoon Network. Et pas non plus n’importe quel épisode de Robot Chicken: ceux spécial Star Wars.
Je dois avoir un don: l’hôtel où nous étions à Dublin était pile en face de la boutique Sub City Comics. Du coup, j’en ai profité pour acheter une histoire qui me faisait de l’œil depuis un petit moment: Superman: Red Son.
L’annonce de Miracle Day, quatrième saison de la série britannique Torchwood – par ailleurs spin-off de Doctor Who – avait de quoi laisser sceptique même le fan le plus endurci. D’abord, il s’agit de succéder au spectaculaire Children of Earth et, ensuite, de survivre à un production américaine.
Je ne sais pas si ce sont les vacances, si le contenu n’était pas inspirant (ou inspiré) ou si c’étaient juste les autres mois qui étaient exceptionnels, mais, en termes de dons Flattr, c’est un petit mois, avec 53 centimes d’euro reçus.
Départ de Sligo, un peu moins de trois heures de route et retour à Dublin. Comme me le fait remarquer Isa, on a eu droit à l’été irlandais: hier matin. Je soupçonne qu’en fait, tout le soleil irlandais est squatté par les Dublinois.
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