Un lupanar couché (sur le papier)

Ça m’a pris un petit moment, entre les pauses-déjeuner au bureau et les pauses en Irlande, mais j’ai enfin terminé ma relecture et les corrections y relatives de la Campagne Lupanar. Il faut dire que 144 pages, soit 70 000 mots, ça ne se relit pas en une soirée entre deux épisodes de NCIS.

Techniquement, c’est une phase qui n’est pas encore complètement terminée: pour bien faire, il faudrait qu’au moins une, voire deux autres personnes y jettent un œil – chose que je compte déléguer un de ces quatre. Mais en l’état, c’est un manuscrit épuré de ses plus grosses scories, quelque peu remanié et, surtout, qui me convient.

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