Le Salon de l’automobile soviétique
Attention, ça pique souvent les yeux! L’exemple ci-dessus est un des moins pires.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Le Salon de l’automobile soviétique
Attention, ça pique souvent les yeux! L’exemple ci-dessus est un des moins pires.
J’entends déjà ceux (= celui) qui se gausse des noms abscons si communs dans le rock progressif ricaner de ce Hypostatic Union, signé des Canadiens de Greylevel. C’est de bonne guerre, surtout quand l’album est de qualité, ce qui est le cas.
La musique de Greylevel est un mélange étrange entre le rock progressif mélancolique contemporain de Porcupine Tree, des attaques de guitares assez lourdes (j’y trouve des traces de Naïve, mais je fais peut-être une fixation) et, par-dessus tout cela, des nappes de claviers aux sonorités me rappelant beaucoup ce qui se faisait dans le prog semi-obscur des années 1980 (voire dans le rock électronique de Tangerine Dream ou de Klaus Schulze).