Architecture post-Années d’Ombre
L’apport de techniques issues des technologies de terraformation en améliorent grandement les performances après 2101. Par contre, rien à espérer du côté des goûts esthétiques douteux des architectes…
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Architecture post-Années d’Ombre
L’apport de techniques issues des technologies de terraformation en améliorent grandement les performances après 2101. Par contre, rien à espérer du côté des goûts esthétiques douteux des architectes…
Pour faire dans l’humour facile, je pourrais dire que c’est parce que Pirate est un groupe australien que leur nouvel album Left of Mind nous met la tête à l’envers. Hormis les blagues dont même l’Almanach Vermot 1938 n’aurait pas voulu, il faut dire ce qui est: le rock progressif de Pirate est certes original, il n’est pas exactement facile d’accès.
Encore que “original” ne soit pas exactement le bon terme; disons plutôt qu’il fourmille de références plus ou moins assumées et, surtout, mélangées et télescopées à un point tel qu’on frise parfois l’indigestion: King Crimson, Van der Graaf Generator, math-rock, post-rock, tout change et tout s’enchaîne à grande vitesse sur les huit morceaux courts (l’album fait à peine trente-deux minutes) de Left of Mind.