Demain, je quitte Facebook…

Le mot-clé de ce titre, c’est “demain”; comme dans “demain, j’arrête de fumer”. C’est sans doute évident pour la plupart d’entre vous, lecteurs qui êtes (par définition) intelligents (puisque vous me lisez), mais je préfère être clair, quitte à me casser mes effets. Or donc, j’en ai un peu marre de Facebook. Pas l’outil; je reste persuadé que l’idée globale d’un réseau social est amusante et, osons le dire, intéressante au-delà de l’anecdotique.

C’est la corporation derrière qui m’agace et, plus précisément, ses dernières manœuvres visant à limiter la publication des messages des utilisateurs en vue d’un monnayage d’une audience plus répandue. En gros, désormais, quand on met à jour son statut ou qu’on publie une photo de chat (au hasard), cette nouvelle publication n’est plus visible par tous ses amis, mais par un petit nombre, choisi arbitrairement par Facebook, qui propose d’augmenter ce nombre en payant une somme en proportion.

En français, l’écrivain Lionel Davoust en parle et Ars Technica a une analyse plus factuelle du bazar, en anglais.

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