Un peu moins de deux ans après le part one, voici Jolly qui nous balance son Audio Guide to Happinness (part two). Et, du coup, j’ai bien envie de vous renvoyer à la chronique du précédent, tant celui-ci est dans la lignée.
Alors bon, je dirais quand même que, par rapport au précédent qui était “néo-prog à grosse patate”, façon Frost*, celui-ci est “néo-prog à encore plus grosse patate”, limite métal progressif, une sorte de croisement sauvage entre Frost* et le Pain of Salvation d’avant Road Salt.