“La Porte”, de Karim Berrouka

Dans la même volée que Les poubelles pleurent aussi, j’ai également acheté – sur le conseil insistant des personnes du stand Griffe d’encre – La Porte, une autre novella signée Karim Berrouka.

L’idée générale – et, j’en ai peur, la conclusion – est similaire, sauf qu’il s’agit là une sorte de conte fantastique absurde, mettant en scène deux loups-garous (aux noms fort évocateurs de Premier Loup-Garou et Deuxième Loup-Garou) dans leur chaumière, ayant affaire à toute une série de visiteurs du soir.

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