Shining: One One One

Je plaide l’erreur de casting. J’entends par là que je ne sais pas très bien ce qui m’a poussé à acheter One One One, album du groupe norvégien Shining (oui, c’est bien ce que dit le logotype sur la pochette; moi aussi ça m’a surpris: j’hésitais entre shogun et shinobi).

En fait, je soupçonne que c’est sur l’achat s’est fait sur la base d’une chronique parue sur Progarchives, le genre à me promettre une expérience musicale à nulle autre pareille. Pour le coup, je ne peux qu’être d’accord, parce que mélanger jazz, rock progressif et métal extrême, c’est en effet assez unique.

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