Décidément, les albums de The Flower Kings ne sont pas faciles à chroniquer. Le nouvel opus des Suédois, fer de lance du courant rétro-progressif, s’appelle Desolation Rose et, comme le précédent Banks of Eden, se caractérise par une avalanche de mélodies très bien troussées, malheureusement mises au service d’un manque d’originalité certain.
Ça commence à virer au comique de répétition, à part le côté comique: après s’être fait bouler sur ACTA, SOPA et quelques accords foireux du même genre via l’OMC ou l’OMPI, voilà-t-y pas que les Américains et leurs alliés/séides/protectorats essayent de faire passer le Trans-Pacific Partnership, un autre accord “commercial” secret et liberticide.
Dans un futur très proche, un savant disparaît, les plans d’une machine bizarre apparaissent sur Internet et, soudainement, une grande partie de l’humanité s’élance à la découverte de Terres parallèles, vierges ou peu s’en faut. Tel est le point de départ de The Long Earth, écrit par Stephen Baxter et Terry Pratchett.
Dans l'univers de Tigres Volants, et principalement sur Terre, des moteurs nucléaires dans des véhicules n'est pas une chose courante, mais c'est loin d'être rare non plus – surtout pour des gros engins au long cours.
Dans notre monde, ce qui semble être au mieux un rêve foufou et, au pire, une Mauvaise Idée pourrait bien devenir une réalité par le biais de la filière du thorium, qui pourrait voir le développement de générateurs nucléaires (raisonnablement) propres.
Lien proposé via Facebook par je ne sais plus qui, mais qu'il en soit néanmoins remercié.
Ma voiture est NUCLÉAIRE! Dans l’univers de Tigres Volants, et principalement sur Terre, des moteurs nucléaires dans des véhicules n’est pas une chose courante, mais c’est loin d’être rare non plus – surtout pour des gros engins au long cours…. Continue Reading →
J’avais quelque peu perdu de vue les post-rockers anglais de 65daysofstatic après We Were Exploding Anyway et, en voulant rattraper ce retard, je suis tombé sur Silent Running, qui n’est pas leur dernier album, mais une bande originale alternative pour le film de science-fiction éponyme (et déprimant) de 1972.
Un jour, quelqu’un s’est dit “et si je racontais l’histoire d’un architecte de thermes dans la Rome antique qui voyage dans le Japon contemporain chaque fois qu’il tombe dans un bain public?” Ce quelqu’un, c’est la mangaka Mari Yamazaki, auteur de Thermæ Romæ.
Je suppose que dire que mon déplacement à Monthey au début de l’hiver pour la convention du Dé qu’à dents est une tradition serait un peu exagéré. D’abord parce que ce n’est que la deuxième (ou troisième, en comptant la Convention des Fous) et ensuite parce que je n’aime pas la tradition.
Amateurs de post-rock stellaire, les étoiles vous sont propices en cette fin d’année, puisqu’un nouvel album de très belle tenue vient d’arriver dans les bacs (numériques ou autres): Eternal Movement du groupe polonais Tides from Nebula.
Le point de départ de cet article, c’est l’interview de Peter Sunde sur Wired, repris par Ars Technica, intitulé You can’t beat politics with technology, mais je pourrais également citer un article à la tonalité pessimiste de Reflets sur la surveillance qui souligne à peu près les mêmes points: le danger de laisser la politique aux politiciens.
Il y a des jours comme ça où, au hasard d’un mot-clé, on découvre des trucs bizarres. Témoin un article de Progressive Area sur Backdrop, le dernier album en date de The Healing Road, décrit comme étant “pour les fans de Mike Oldfield”. C’est en même temps très vrai et très optimiste.
Je l’ai déjà dit maintes fois, il y a le bon et le mauvais rétro-progressif, la différence principale résidant souvent dans les détails. Out of the Barnyard, du passionnant projet de prog porcin Fright Pig, en est un exemple.
Ce huitième volume des Notes de Boulet est un peu particulier, en ce qu’il ne reprend pas les bandes dessinées du blog, mais celles produites pendant les “24 heures de la bande dessinée” à Angoulême, un défi impliquant de produire une BD entre 12 et 24 pages, sur un thème ou avec une contrainte données. En vingt-quatre heures, donc. Facile.
Pour une fois que nous étions à Genève un week-end, nous en avons profité pour aller voir le dernier volume en date des blockbusters de l’univers Marvel des Avengers, en l’occurrence Thor: The Dark World. Avec quelques arrières-pensées, vu que le premier nous avait paru certes plaisant, mais guère plus.
C’est sur la recommandation de l’excellent site Clair & Obscur que j’ai récemment acquis Alter Reality, deuxième album d’un duo argentin de post-rock Autumn Moonlight. En plus, c’est de saison.
La Tivipédia, encyclopédie en ligne sous forme d’un wiki de l’univers de Tigres Volants, est de nouveau accessible, du moins en partie.
Petite nouveauté sur Blog à part: voici un article invité, signé Thomas Munier. Personne ne vit du jeu de rôle. C’est une litanie que j’entends souvent. Le jeu de rôle ne serait pas rentable pour ses acteurs. Il existe pour autant quelques contre-exemples.
Je ne peux pas vraiment dire que je m’attendais à du rire et à de la bonne humeur en attaquant Pump Six and other stories, un recueil de nouvelles de Paolo Bacigalupi (auteur de The Windup Girl) glané dans le Humble Bundle. C’est heureux, parce que j’aurais été affreusement déçu et sérieusement déprimé – au lieu d’être juste déprimé.
Accrochez-vous à vos cages à miel: le nouvel album de Monkey3 arrive et, comme je l’avais annoncé sur Twitter, The 5th Sun (c’est son nom) démoule du poney mutant! Comme ça fait un moment que je vous chante les louanges de cet excellent groupe de post-rock suisse, il va falloir que je fasse chauffer les superlatifs, parce que c’est de l’encore plus lourd que d’habitude.
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