Washington DC

Cet article est le numéro 3 d'une série de 3 intitulée Washington DC 2014

Comme je l’avais mentionné dans mes billets précédents, j’ai passé trois jours à Washington, DC (là-bas, on dit juste “DC”, pour éviter de confondre avec l’état du même nom). Si j’étais méchant, je dirais que sans les mesures de sécurité à l’arrivée, ça aurait été quatre jours, mais ce serait très exagéré: je n’ai attendu qu’une heure et demie dans la file au contrôle des passeports.

Elysium

En fait, Elysium, ça aurait pu être un putain de bon film. Il aurait juste fallu decrétinifier le contexte, donner un poil plus de consistance à certains des personnages, avoir une mise en scène plus percutante et avec moins de scènes illisibles pour cause de caméra sur l’épaule. Ah, et aussi un scénario qui tienne la route. Trois fois rien, en somme.

National Air and Space Museum, part deux

Cet article est le numéro 2 d'une série de 3 intitulée Washington DC 2014

J’ai l’air fin: à peine rentré, des étoiles plein les yeux, de ma visite au Stephen F. Udvar-Hazy Center, j’apprends qu’il existe un second National Air and Space Museum, celui-ci situé en plein centre de Washington, non loin du Smithsonian Institute (dont il est d’ailleurs une annexe).

National Air and Space Museum, Washington DC

Cet article est le numéro 1 d'une série de 3 intitulée Washington DC 2014

Or donc, je suis à Washington DC. Officiellement, c’est pour le boulot, mais ce dimanche, c’était quartier libre et j’en ai profité pour aller voir un musée qui me faisait de l’œil depuis un petit moment, le National Air and Space Museum, et plus particulièrement le Stephen F. Udvar-Hazy Center.

“Of Dice and Men”, de David Ewalt

En cette année anniversaire, la lecture d’un ouvrage sur l’histoire de Donjons & Dragons s’imposait: c’est chose faite avec Of Dice and Men, du journaliste américain David Ewalt, qui prouve une fois de plus que le jeu de rôles mène à tout (y compris à travailler pour Forbes), même sans avoir forcément à en sortir.

La laïcité, c’est par où?

Cet hors-série de Charlie-Hebdo, intitulé La laïcité, c’est par où?, date un peu, puisqu’il est sorti en septembre 2013 – avant donc À bas la pub!, que j’avais chroniqué précédemment. Je l’ai trouvé cependant plus pertinent que ce dernier, peut-être parce qu’en ces temps où les fous de Dieu battent le pavé pour faire régresser les droits acquis, il est plus d’actualité.

“Redshirts”, de John Scalzi

Pour un jeune officier frais émoulu de l’Académie spatiale comme Andy Dahl, recevoir un poste à bord de l’Intrepid, vaisseau-amiral de l’Union universelle des planètes, est un rêve. Sauf qu’il s’agit d’un poste où le risque de mourir de façon spectaculaire est remarquablement élevé. Bienvenue dans le monde de Redshirts, roman de science-fiction signé John Scalzi!

Jambalaya Window and the Midwest Lover: Ambivalent

Je ne sais pas comment fait Jean-Christophe, de Neoprog, pour dégoter des trucs aussi improbables que ce Ambivalent, signé Jambalaya Window and the Midwest Lover, mais je dois avouer ne pas avoir grand-chose à redire sur ce genre de découverte, surtout que c’est gratuit (truc à ne pas rajouter: “mais ça les vaut!”).

Même les Siyani font du vélo!

Même les Siyani font du vélo!

Erdorin: À la recherche de la suite perdue

Il y a très longtemps – c’était encore le XXe siècle – Psychée, Jess et moi-même lancions un projet de bande dessinée dans l’univers de Tigres Volants: Erdorin, chroniques de l’Arbre-Monde. Ceux qui ont suivi l’affaire vont sans doute, à ce stade, hocher la tête d’un air triste, entendu, ou les deux.

Flattr: Bilan pour janvier 2014

Cet article est le numéro 34 d'une série de 153 intitulée Bilans mécénat et création

Quinze euros redistribués, quatorze euros (et un centime) reçus – malgré un quasi-record de clics (34) et de donateurs uniques (17) -, cette année 2014 sur Flattr commence à la fois bien et de façon décevante. Bien pour le revenu, mais décevant par rapport aux dons. Je finirai un jour par m’y faire, je suppose.

Apocalyptica: Wagner Reloaded (Live in Leipzig)

Résumons: Apocalyptica est un groupe finlandais qui fait du métal avec des instruments classiques – en l’occurrence, quatre violoncelles (plus une batterie, mais ça ne compte pas). Dans ce Wagner Reloaded, ils font du classique à la sauce métal, mais avec des instruments classiques et un orchestre symphonique. Et une batterie.