Frozen, la dernière création des studios Disney, nous propose deux princesses pour le prix d’une: Elsa, l’aînée douée de pouvoirs magiques qu’elle a du mal à contrôler et Anna, qui l’ignore et que l’on garde séparée de sa sœur pour la protéger, sans lui dire pourquoi. Évidemment, le jour du couronnement, les choses vont mal tourner et Elsa s’enfuit en plongeant le royaume dans un hiver perpétuel.
Erdorin est en retard, mais ces dernières semaines, j’ai été sérieusement accaparé par un autre projet dans l’univers de Tigres Volants, mais, euh… disons, différent.
L’écoute de Sleeping with Fractals, du groupe de rock progressif britannique Ontofield, me pose un cas de conscience. Je vous explique: J’aime bien Pink Floyd et j’aime beaucoup Pendragon; le rock progressif de Ontofield s’inspire beaucoup de ces deux modèles. C’est bien.
Je ne reviendrai pas ici sur les résultats du vote du 9 février, en Suisse, mais sur un argument dont l’usage par les milieux de droite xénophobe commence sérieusement à m’inquiéter: celui de la croissance anarchique et du bétonnage du paysage.
Bâtiments de bambou pour la reconstruction de l'Asie
Pendant les Années d'Ombre, une préoccupation constante a été le relogement des millions de réfugiés, particulièrement en Asie. Une des solutions explorées a été la mise en place de projets de construction incluant le bâtiment et de quoi le construire – en l'occurrence, du bambou.
Une grande quantité de bâtiments de ce genre ont vu le jour dans la première moitié du XXIe siècle, mais ils ont acquis une mauvaise réputation du fait de défauts de construction et de maladies dont souffrait le bambou utilisé.
En 2300, la méthode a été perfectionnée, notamment grâce à des processus copiés sur les Eyldar et les Atlani, mais elle n'est plus guère utilisée que pour des logements temporaires.
(Idée vue sur Inhabitat, qui hélas n'apporte pas beaucoup d'informations supplémentaires.)
Bâtiments de bambou pour la reconstruction de l’Asie Pendant les Années d’Ombre, une préoccupation constante a été le relogement des millions de réfugiés, particulièrement en Asie. Une des solutions explorées a été la mise en place de projets de construction… Continue Reading →
Autant je suis allé voir The Monuments Men à reculons, autant j’étais remonté à bloc (sans jeu de mots) à l’idée de The Lego Movie. Il faut dire que j’avais vu pas mal d’extraits qui laissaient à penser que c’était bien con comme il faut. Je confirme: ça l’est.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, un petit groupe d’hommes se lance dans un projet fou: sauvegarder, puis retrouver des œuvres d’art menacées par la guerre. Monuments menacés par les combats, œuvres volées par les Nazis, les Monuments Men partent sur leur piste, suivant – voire parfois précédant – les lignes de front, à leurs risques et périls.
“Smaug on the water and fire in the sky!” Ça faisait un moment que j’avais cette connerie dans la tête, il fallait que ça sorte.
Récemment, je suis tombé sur un bout d’informations à la télé. Hormis le fait que ça me rappelle pourquoi j’apprécie de moins en moins regarder les informations à la télé, j’ai été estomaqué d’entendre le commentateur parler du “prix des mesures antipollution”.
Architecture de la République panafricaine Pour beaucoup d’Africains, la République panafricaine représente une sorte d’âge d’or, l’émancipation du continent et son ascension, foudroyée par l’invasion highlander et la trahison des élites. Bien entendu, ce genre d’opinion n’est pas très bien… Continue Reading →
Je ne suis pas exactement ce que l’on pourrait appeler un fan des bouquins de guerre. Pourtant, si je vous parle de La Petite Guerre, signée Crixos, vous vous doutez bien que ce n’est pas de l’ouvrage banal, à base d’héroïsme viril, qui sent la sueur et la cordite. Bon, soyons honnête: y’en a aussi.
La convention Éclipse, à Rennes, est un de ces événements auquel je suis invité depuis de longues années et auquel je n’ai jamais pu aller, souvent pour cause d’agendas conflictuels (c’est souvent le même week-end qu’Orc’idée). Jusqu’à cette année – et encore, j’ai failli devoir y renoncer à cause d’un concert de Naïve, annulé depuis.
Ekranoplans soviétiques post-nucléaires
Ah, les Soviets, on les connaît: quand il s’agit de faire des avions qui ressemblent à des gros tas de béton qui se traînent au ras des vagues, y’a du monde!
On appelle ça d’ailleurs des ékranoplanes, des engins qui ne volent que par effet de sol et qui ont à peu près l’élégance de parpaings moches.
Les exemples sur la page sont à porter au crédit de l’artiste britannique Al Crutchley, via le fabuleux site Concept Ships.
Ekranoplans soviétiques post-nucléaires Ah, les Soviets, on les connaît: quand il s’agit de faire des avions qui ressemblent à des gros tas de béton qui se traînent au ras des vagues, y’a du monde! On appelle ça d’ailleurs des ékranoplanes,… Continue Reading →
En ces temps où l’extrémisme est tellement tendance que, pour un peu, il passerait au Top 50, il est toujours bon de lui jeter un œil critique. D’abord, parce que c’est plus civilisé qu’un parpaing (même si je peux comprendre que le parpaing ait un effet cathartique) et, ensuite, parce que souvent, l’extrémisme est une forme de vampire qui se complaît dans l’ombre et auquel la lumière nuit. Tout ceci pour vous dire que j’ai donc acheté ce nouvel hors-série de Charlie-hebdo, intitulé Le Front national expliqué à mon père.
Invasion est un autre de ces bouquins que j’ai récupéré au hasard d’un Humble Bundle et que j’ai attaqué sans à priori. C’est sans doute une bonne chose: si j’avais su de quoi il s’agissait, j’aurais sans doute passé mon chemin et raté quelque chose.
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