Ce dimanche, en guise d’anniversaire de mariage un peu en avance, nous avons décidé d’aller voir ailleurs si nous y étions. Par “Ailleurs”, j’entends “Maison d’Ailleurs“, le musée de la science-fiction sis à Yverdon-les-Bains. L’occasion était une exposition intitulé “Superman, Batman & Co… mics” sur – vous l’aurez deviné – les superhéros. Oui, nous sommes de grands romantiques.
Cinq ans après les événements du premier film (et des deux saisons de la série télé), How to Train Your Dragon 2 nous renvoie sur l’île de Berk, ses vikings, ses dragons et ceux qui les dressent. Hiccup (Harold en VF), Astrid et sa clique sont devenus de jeunes adultes et l’ambiance est au beau fixe.
Or donc, jusqu’à peu, je me considérais comme un écolo: entre autres choses, je roule à vélo, je trie mes déchets et, surtout, je suis contre les OGM, les organismes génétiquement modifiés. Ce jusqu’à ce que je lise La démocratie des crédules et que je tombe sur cet article, A founder of the anti-GM food movement on how he got it wrong sur Macleans.ca (grâce à Tyrian Dunaédine sur G+).
En général, j’aime bien le néo-prog. Pourtant, avec le projet chilien Aisles et leur troisième album intitulé 4:45 AM, je suis un peu frustré. Peut-être parce qu’il est un peu trop néo et pas assez prog.
Dans un futur proche, où des groupes de personnes dotées de pouvoirs surnaturels et emmenés par des rois dominent en sous-main la vie du Japon, le jeune et insouciant Yoshiro Isana est soudainement le centre de l’attention de deux de ces groupes, qui pensent qu’il est un des rois – et qui plus est, un meurtrier. C’est sur ces prémisses plutôt classiques que commence l’animé K, ou K Project.
Je vous ai déjà parlé du revenu de base, ou revenu universel. Si je vous en reparle aujourd’hui, ce n’est pas uniquement à cause d’une panne d’inspiration pour des sujets “vendredi vraie vie”, mais également parce que l’actualité de ces derniers temps est une excellente occasion pour ressortir le sujet.
Il y a deux catégories de gens qui liront cette chronique de Homo Erraticus: les prog-heads qui vont tout de suite reconnaître le nom de Ian Anderson et ceux chez qui toute cette histoire va passer au-dessus de la tête. Je précise juste, au cas où, que le monsieur est le chanteur-flûtiste de Jethro Tull, groupe légendaire des Temps Héroïques.
La réponse américaine au HLS Prometheus Lorsque la Fédération des hautes-terres a enfin réussi à envoyer un vaisseau hyperluminique jusqu’à Fantir (sans se perdre en route, s’entend), il n’a pas fallu très longtemps aux Américains pour voler les plans et… Continue Reading →
Lors d’un assaut majeur contre les Mimics, les extra-terrestres qui ont envahi la Terre, la jeune recrue japonaise Keiji Kiriya, meurt. C’est ainsi que commence Edge of Tomorrow, roman – light novel, pour être précis – de l’auteur japonais Hiroshi Sakurazaka, dont est tiré le film avec Tom Cruise, dont je vous ai parlé hier (ou avant-hier, je me suis un peu pris les pieds dans les boutons).
À la veille d’un assaut majeur contre les Mimics, les extra-terrestres qui ont envahi la Terre, le major Cage, des relations publiques de l’armée US, a la brillante idée de menacer un général britannique pour éviter d’être envoyé couvrir le front. Du coup, le voilà rétrogradé, classé déserteur et… envoyé sur le front. Où il meurt. C’est ainsi que commence Edge of Tomorrow, un des blockbusters de l’été.
Une génération après le “Step Day”, qui a vu une infinité de Terres parallèles s’ouvrir à l’humanité, Joshua Valienté repart à l’aventure pour The Long War, deuxième tome de cette saga signée par Terry Pratchett et Stephen Baxter, qui devrait en compter cinq au total (à l’heure où vous lirez ces lignes, le troisième, The Long Mars, sera peut-être déjà paru).
Ne riez pas tout de suite, mais il fut un temps où j’aimais bien le football. Bon, d’accord, vous pouvez rire. De toute façon, il y a prescription. Et, à vrai dire, j’aime toujours l’idée du foot, à savoir le fait de courir dans l’herbe avec des potes et savater un ballon (et, de préférence, pas trop de tibias).
Glass Hammer est un groupe qui parvient à me plonger dans des abîmes de perplexité; leur dernier album, Ode to Echo, en est l’illustration. Bon, j’exagère un peu, mais il faut comprendre que Glass Hammer est un groupe américain qui semble avoir pris comme spécialité de faire du Yes mieux que Yes. Ceux qui me connaissent doivent commencer à comprendre où est le problème, il tient en une expression: rétro-progressif.
Après le record de revenus du mois précédent, j’attendais avec une certaine appréhension les résultats Flattr pour le mois de mai. La tendance positive se confirme, avec €19.16 de revenus pour €15 de dons, même si ne suis pas sûr que parler de « tendance » soit de circonstance.
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