Quand j’écoute le groupe norvégien Fatal Fusion, j’ai l’impression qu’il y a un peu tromperie sur la marchandise, car ce n’est pas de la fusion et ce n’est pas très fatal non plus. Le titre de l’album, The Ancient Tale, est déjà plus raccord, vu qu’il s’agit de rock progressif avec de grosses influences néo-prog (et, pour ceux qui se demandent pourquoi, on dira que le “néo-prog” est à peu près aussi récent que la “new-wave”).
À partir d’un certain temps, il y a des évènements qui tiennent un peu du pèlerinage. Genre, pour votre serviteur, les conventions en terre valaisanne, comme l’édition 2014 de DivinaSion, la convention du club sédunois (note aux incultes: ça veut dire “de Sion”), La Horde du Commun.
Hier, Marie.Charlotte, du site MadmoiZelle, a eu la brillante idée de proposer une transcription et une traduction de l’appel d’Emma Watson aux « féministes introvertis ». “Brillante idée” de mon point de vue, car je suis plus sensible à l’écrit qu’à l’oral et c’est le genre de texte que je préfère avoir sous les yeux pour mieux y réfléchir.
OK, celui-ci est bizarre, même selon mes critères: Look to Windward est un groupe néo-zélandais qui, s’il emprunte son nom à un roman de Iain M Banks (déjà un bon point), n’emprunte par contre son rock progressif bizarre et discordant à pas grand-monde. C’est un peu le gamin bizarre du quartier à qui on ne prête pas ses jouets car on sait qu’on va les retrouver dans un état pas racontable et vaguement inquiétant.
Sigrid Kyle est une des dernières survivantes d’un corps d’élite, les Sections, chargés de lutter contre les religions non autorisées dans l’Arche, immense acropole qui surplombe l’Atlantique Nord, une cyclopéenne structure de béton qui abrite des milliards d’êtres humains d’un extérieur devenu un cloaque toxique. Elle est La dernière Walkirie éponyme du roman cyberpunk de Benoît Attinost.
Quand j’étais môme, il nous est arrivé plusieurs fois de passer des vacances dans le sud de l’Espagne, en Andalousie. Vingt ans plus tard, je découvre, à l’université, l’histoire de la région au travers d’un séminaire sur l’Espagne musulmane; encore vingt ans – ou peu s’en faut – et je cède enfin au désir de redécouvrir ces lieux qui m’avaient si peu intéressés enfant.
Que retenir de dix jours de périples en Andalousie? Beaucoup de photos et encore plus de vues dites imprenables et qui, du coup, sortent très mal en photo. Soit. Mais aussi une myriade de petits détails, d’impressions et d’anecdotes diverses.
The Fractal Prince, de Hannu Rajaniemi, est la suite de The Quantum Thief, qui met en scène le génie de la cambriole Jean Le Flambeur dans un univers post-Singularité, un système solaire qui ne ressemble à plus rien de connu. Et c’est un peu le problème: si j’ai plutôt bien aimé le précédent, devoir raccrocher les wagons avec celui-ci après plus d’une année s’est avéré ardu.
Bon, les non-Suisses dans la salle, je vous préviens tout de suite: on va causer politique d’en là par chez nous, de bleu! Comme régulièrement, nous avons ce que l’on appelle une votation à venir à la fin de ce mois. En d’autres contrées, on appelle ça un référendum, mais ça n’implique pas forcément d’insulter le gouvernement en place.
Au hasard d’une remontée d’un ancien billet sur Sonic Universe Experience, l’ami Gordon m’a gentiment fait découvrir un autre groupe niçois, Ulf, et son album Echo Promise, sorti en 2010. Deux ans plus tard, le groupe rendait le plaques, hélas, mais reste un album qui, a défaut d’être très original, s’avère plutôt plaisant.
Dans La Lune n’est pas pour nous, roman de Johan Heliot, il y a des Nazis, des Zeppelin, du dieselpunk, de l’uchronie et des extra-terrestres. Je signe où? En fait, avant de signer, j’aurais peut-être dû faire attention à un léger détail: ce livre est en fait non seulement la suite de La Lune seule le sait, que je n’ai donc pas lu, mais il précède également La Lune vous salue bien. Du coup, j’ai un peu l’air fin en déboulant au milieu d’une trilogie.
Bon, qui parmi vous n’a pas deviné que Mirage – A Portrayal of Figures, kilométrique (mais néanmoins excellent) album du groupe allemand Flaming Row, est du rock progressif? Allez hop: au coin, ça vous apprendra!
Je dois faire ici un aveu: je n’aime pas vraiment Opeth. Pour être précis, j’ai toujours eu du mal avec son métal progressif growlé et, maintenant qu’il donne dans le rétro-progressif pur vintage, comme avec ce Pale Communion, j’ai toujours du mal, mais différemment.
En écrivant l’autre jour mon article sur Tipeee et ChangeTip, je me suis dit que ce ne serait peut-être pas mal de revenir de façon un peu plus large et plus systématique sur tous les différents nouveaux outils de financement, au sens large du terme, que l’on peut trouver sur Internet.
Sans trop de surprise, août aura été un petit mois sur Flattr, avec €10.88 de revenus en vingt clics; cela dit, c’était également un petit mois pour mes propres clics et j’ai d’ailleurs baissé ma contribution à €10, car je n’avais fait que 41 flattrs dans cette période.
J’étais ressorti de la première saison de Defiance, série américaine mélangeant science-fiction, post-apocalypse et jeux de pouvoir, avec une impression plutôt favorable. Cette deuxième saison renforce cette impression – à vrai dire, elle renforce les bons et les mauvais côtés.
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