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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Month décembre 2014

“Zoë’s Tale”, de John Scalzi

Zoë, fille (adoptive) de John Perry et Jane Sagan, embarque à la suite de ses parents pour aller fonder une nouvelle colonie sur une planète sauvage. Pour le reste de l’histoire de Zoë’s Tale, signé John Scalzi, je vous renvoie à The Last Colony, parce que c’est la même, mais du point de vue de cette adolescente pas tout à fait comme les autres.

Vulkan: Mask of Air

Mask of Air du groupe suédois Vulkan traîne dans ma playlist depuis près de deux mois. C’est le drame des groupes avec des noms qui tombent tout en bas de la liste alphabétique: forcément, ils sont joués moins souvent. Et c’est dommage, parce que ce rock progressif moderne et énergique a des arguments à faire valoir.

“Au guet-apens”, de Maître Mô

Maître Mô est un avocat blogueur français et Au guet-apens est un recueil de ses chroniques judiciaires, une quinzaine d’affaires traitées tantôt sous une forme purement documentaire, tantôt en “docu-fiction”. Je me souviens l’avoir vu mentionné dans le Canard Enchaîné, mais également sur le blog de François.

Le cosmogun soviétique

Le cosmogun soviétique Dans l’univers de Tigres Volants, le programme spatial soviétique a été plus développé que dans notre histoire et, assez rapidement, les autorités de l’URSS se sont doutés qu’ils n’étaient pas seuls dans l’espace. C’est pourquoi ils ont… Continue Reading →

Unseelie: Urban Fantasy

Unseelie est un groupe franco-belge qui prouve une fois de plus que les productions hexagonales n’ont pas vraiment de complexes à avoir par rapport à l’armada nordique de groupes de métal symphonique, progressif et/ou gothique: leur premier album Urban Fantasy (qui m’est parvenu en service de presse) est une des très bonnes surprises de cette année.

Soen: Tellurian

Quelque peu échaudé par un premier album semi-décevant, j’ai hésité avant d’acheter Tellurian, le second opus de Soen. Bien m’en a pris: ce super-groupe qui recrute chez Opeth, Death et Amon Amarth (entre autres) a sorti ici un petit bijou de métal progressif, entre Tool, Porcupine Tree et Riverside.

The Erkonauts à Genève

Il paraît que les concerts de Noël, c’est traditionnel. Soit: après celui de Primasch l’année passée, ma tradition à moi sera d’aller voir des concerts bruyants, comme celui donné par le groupe genevois The Erkonauts dans le minuscule local de Urgence Disk à L’Usine.

Erdorin: versions illustrées disponibles

Comme promis, les versions illustrées de Erdorin Livre 2 et de Fragments d’Éternité: Eylwen sont désormais disponibles aux formats PDF et EPUB.

The Hobbit: The Battle of the Five Armies

Pour résumer ce troisième volet de The Hobbit, il suffit d’en lire le titre: il y a un Hobbit, une bataille et cinq armées. Et c’est à peu près tout. Autant le dire tout de suite: à mon avis, cette conclusion est de loin le plus faible des six films réalisés par Peter Jackson dans l’univers de Tolkien.

Pain of Salvation: Falling Home

Or donc, le groupe suédois de métal progressif Pain of Salvation, précédemment sur la route, retombe à la maison avec Falling Home, un nouvel album toujours moyennement progressif et très moyennement métal.

Impôtpulaire

Mardi passé, Axelle a posté un billet sur un changement de loi sur la TVA dans l’Union européenne, jusque là passé sous le radar et qui a le potentiel de mettre dans le caca un grand nombre de micro-éditeurs et de créateurs indépendants.

Stalag IIb: Mon retour en France

Ce deuxième tome de Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIb, intitulé Mon retour en France parle beaucoup de retour et, au final, assez peu de France. Cette bande dessinée biographique de Jacques Tardi sur son père est une immersion dans le quotidien des prisonniers de guerre français dans les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale.

Ne Obliviscaris: Citadel

Citadel, du groupe australien Ne Obliviscaris, est ce qui arrive quand des extrémistes décident de mélanger 50% de métal progressif, 50% de death et 50% de violons folk. Ça donne 150%, ce qui n’est pas toujours un gage, sinon de qualité, du moins d’écoutabilité.

My Brother the Wind: Once There Was a Time When Time and Space Were One

Le groupe suédois My Brother the Wind rejoint la conspiration des albums qui ont décidé de flinguer l’optimisation des articles supposés parler d’eux avec Once There Was a Time When Time and Space Were One, un long opus instrumental mélangeant post-rock, psychédélique et rock progressif.

Top Gear

Aujourd’hui, c’est lundi confession: j’aime Top Gear. Oui, vous m’avez bien entendu: j’aime une émission sur la bagnole. Enfin bon, Top Gear, c’est plus proche de Mythbusters que de Turbo, avec une grosse dose de mauvaise foi et de British-attitude en prime.

 

Triosphere: The Heart of the Matter

À l’écoute de The Heart of the Matter, nouvel album de Triosphere, deux constatations: c’est vachement peu original et c’est vachement bien quand même. Le quatuor norvégien nous livre là un nouvel opus de power-metal qui reprend un peu tous les poncifs du genre, mais qui le fait avec une efficacité impressionnante.

Achats à chier

Une des constantes de mes interactions sociales via Internet (= Facebook), c’est la litanie de trucs poucraves mis en vente. Récemment, c’était un Monopoly à thématique Zelda. Bon, perso, la franchise Zelda me laisse froid pour cause d’absence de console, mais je comprends le souci.

De Cape et de Crocs, tome 11: Vingt mois avant

Or donc, la fabuleuse série De Cape et de Crocs s’était conclue il y a quelques années sur un dixième tome qui, s’il résolvait la trame en cours, laissait néanmoins plusieurs questions sans réponse. Ce onzième tome, intitulé Vingt mois avant, entend bien en proposer quelques-unes, à commencer par celles tournant autour d’Eusèbe, le compagnon lagomorphe de nos deux héros.

Flattr: Bilan pour novembre 2014

Cet article est le numéro 43 d'une série de 167 intitulée Bilans mécénat et création

Ces mois d’automne continuent en demi-teinte, avec un bilan Flattr de novembre quasiment stationnaire – en légère baisse, à dire vrai – par rapport au mois passé, alignant des recettes de €14.88 pour €10 de dons en 40 flattrs. Ce n’est pas Byzance, mais ça reste très correct.

Lost Ubikyst in Apeiron: Abstruse Imbeciles Nailed on Slavery

Donc, chronique de l’album Abstruse Imbeciles Nailed on Slavery, de Lost Ubikyst in Apeiron. Première remarque: Wow, ça c’est du titre! C’est mon SEO qui va être content! Deuxième remarque: dans le genre métal progressif, c’est bien bien barré. Trop, peut-être.

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