Pour des amis absents

À l’heure où j’écris ces lignes – le mercredi 7 janvier 2015, vers 19 h – je viens de perdre douze amis. Peut-être plus, ou moins, je ne sais pas, au juste: j’ai coupé Internet depuis 14 heures. Je ne sais pas, je ne sais plus; je ne veux pas vraiment savoir, en fait.