Les voleurs de libre

Le voleur de sens

Un des arguments qu’on oppose souvent à la notion de licence libre, c’est le côté “oui, mais si je ne protège pas mes créations, n’importe qui peut les prendre et les vendre en mon nom.” C’est vrai et ça arrive – et les quelques anecdotes récentes que je mentionne dans ce billet le prouvent – mais c’est moins grave que l’on pourrait le penser. Parce que voler quelque chose qui est disponible gratuitement, c’est quand même très con, quelque part.