Ceux qui lisent ce blog depuis un moment risquent, à la lecture du titre, de se demander si leur tonton Alias préféré (car unique) a finalement sombré dans l’Alzheimer profond et commencé à rechroniquer ses vieux billets. Rassurez-vous, ce titre – 1940 – Et si la France avait continué la guerre? – s’applique à la nouvelle bande dessinée uchronique de Jean-Pierre Pécau, inspirée par la fameuse Fantasque Time Line, dont le premier tome vient de sortir.
DivinaSion n’est pas une grosse convention. Ce n’est pas un de ces raouts majeurs qui rallient un bataillon de joueurs et de professionnels, mais c’est une des conventions auxquelles j’aime bien aller, d’abord parce qu’elle titille ma fibre valaisanne et ensuite parce que j’y retrouve plein de copains.
Théo Sinclair est mort, mais dans Les Grandes Profondeurs, ce deuxième tome de L’Œil de la Nuit, il va mieux. En fait, entre ses pouvoirs de vision nocturne et son cœur artificiel, c’est Daredevil et Iron Man en une seule personne et avec cinquante ans d’avance.
Quand on aime le rock progressif, l’annonce d’un nouvel album de Spock’s Beard – en l’occurrence, The Oblivion Particle, le douzième – est toujours accueilli avec un certain enthousiasme. Enthousiasme teinté d’un certain scepticisme, car les Américains ont souvent déçu, ces derniers temps. Dans le cas présent, je me dois de prévenir que ce n’est pas le cas.
Troisième partie de la trilogie “Oméga”, Le Crépuscule des Damnés est également le vingt-et-unième tome de la bande dessinée uchronique Jour J, scénarisée par Jean-Pierre Pécau et Fred Duval, avec une fois de plus Maza au dessin.
Ah, Internet! Ce lieu merveilleux où une infinité de singes tapent sur une infinité de machines à écrire, tout en lisant une infinité d’écrans (et lancent aussi des infinités de caca)! Évidemment, le rapport signal-bruit n’est pas optimal, c’est pourquoi j’ai tendance à filtrer.
Seconde étape de notre séjour dalmate, Dubrovnik. En arrivant, après les aléas routiers précédemment décrits, j’ai poussé un soupir de soulagement. C’était sans compter le fait que la moitié de la ville semble au bord d’une falaise. Et que l’autre moitié à l’air d’être dans la falaise.
Entre Split et Dubrovnik, il y a deux cent vingt kilomètres. En gros. Soit on le fait en bateau, ça prend environ quatre heures, soit on le fait en bus et ça prend aussi environ quatre heures. Nous avons choisi le bus. Ce n’était peut-être pas l’idée la plus brillante du siècle.
Je ne vous en ai pas parlé avant, parce que je préfère ne pas trop mentionner en public le fait que je suis loin de chez moi, mais je reviens d’une semaine de vacances. Spoiler: c’était bien.
Je ne sais pas si c’est le chouinage qui fonctionne (j’espère que non) ou si le hasard en a voulu ainsi, mais le bilan Flattr pour ce mois d’août se révèle positif, avec €12.73 – principalement grâce à la contribution massive d’un de mes lecteurs, qui a cliqué sur une trentaine d’articles.
OK, j’ai un peu de retard sur les Laundry Files, puisque je n’ai lu que maintenant The Rhesus Chart, cinquième roman de la série de Charles Stross mettant en scène une administration britannique en charge de la lutte contre les abominations tentaculaires et autres créatures surnaturelles.
Dans la progosphère francophone, cet été, deux articles sur Neoprog et JesterProg ont quasi-simultanément salué Gentle Knife, groupe norvégien éponyme de son premier album. Du néo-prog léché, souvent contemplatif, dont la principale caractéristique est un duo vocal masculin-féminin.
En cette fin d’année 1993, la Troisième Guerre mondiale n’a jamais été si proche: Gorbatchev a été poussé à la démission, remplacé par un président « ligne dure », obsédé par Berlin-Ouest, et en Allemagne de l’Est, la jeunesse – encore traumatisée par la répression brutale des mouvements des droits civiques en 1989 – se prépare au pire.
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