Il y a trois raisons pour lesquelles je m’efforce, chaque année, de me rendre à la convention du Dé qu’a dents à Monthey. D’abord, parce que c’est une convention de jeu de rôle, ensuite parce que c’est organisé par des potes et enfin parce qu’elle se situe à Monthey, que je considère un peu comme “le patelin de mon enfance”, étant donné que ma grand-mère habitait à trois pâtés de maison de la salle.
Ayé, c’est fait, c’est bouclé: un vainqueur est moi! Quoi donc? Tout simplement les 50 000 mots de Progressions – Échos de l’Arbre-monde, le texte que j’avais décidé d’écrire dans le cadre du défi NaNoWriMo 2015 – National Novel Writing Month – dans lequel je me lançais pour la première fois cette année.
Le défaut des chroniques dithyrambiques – comme celles de Sleepwalker, du groupe français WOLVE – c’est qu’elles peuvent parfois engendrer la déception. Non pas tant que l’album soit mauvais, mais parce qu’on attendait quelque chose d’exceptionnel et qu’au final, on trouve “juste” un très bon album.
Cela fait presque deux ans que j’avais lu le premier quart du Projet Bradbury, un recueil de nouvelles fantastiques signé Neil Jomunsi; je m’étais promis de lire la suite, mais cette idée était quelque peu tombée aux oubliettes jusqu’à récemment.
Ce billet est le seul que je compte écrire suite aux attaques de Paris, le 13 novembre 2015. La mise en place de l’invraisemblable gloubiboulga législatif, dans la précipitation – pour ne pas dire “panique générale” – m’a incité à prendre la plume et écrire pour la première fois à mes représentants.
Ghost et moi, c’est l’histoire d’un coup de foudre: il y a six mois, je ne connaissais pas ce groupe suédois, qui propose une variante de hard-rock typé Californie 1974, mais avec des costumes absurdes et un fond de satanisme d’opérette. Et donc, hier soir, j’assiste à leur passage à l’Usine de Genève.
À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, un policier nommé Ragon résout des enquêtes par la seule force de sa connaissance des livres et de la littérature. Il consigne ses notes dans des petits carnets que lui avait offerts son épouse, des Feuillets de cuivre qui donnent son nom à l’ouvrage de Fabien Clavel que j’ai lu récemment avec grand plaisir.
La Nuit du Jeu Oniris est une institution ludique suisse romande, qui aligne déjà plus de quinze éditions et qui se déroule à Neuchâtel. En m’y rendant, je me suis d’ailleurs aperçu que c’était la première fois que je participais à une convention à Neuchâtel-ville.
En ce vendredi 13, je suis heureux d’annoncer que j’en suis à peu près à la moitié de mes objectifs de NaNoWriMo. Pour mémoire – au cas où des gens plus vieux que moi liraient ces lignes – le NaNoWriMo (pour National Novel Writing Month) est une sorte de concours littéraire qui demande à ses participants d’écrire 50 000 mots en un mois.
Jusqu’à ce que je sois contacté par le musicien français Erang, j’ignorais qu’il existait un genre qui s’appelle le “Dungeon Synth”. En même temps, je suppose qu’il en va des genres musicaux comme des fantasmes sexuels: si tu penses avoir inventé un truc, le temps que tu vérifies sur Internet, tu trouveras toute une communauté qui est déjà dédiée.
J’ai failli oublier de faire le bilan Flattr de ce mois d’octobre 2015. Pas qu’il soit insignifiant – il est toujours à un niveau similaire, soit €8.96 et 18 clics reçus pour €10 donnés – mais je n’ai pas vu passer la notification de Flattr avant ce matin.
Thomas Thielen, T pour les intimes, est un de ces artistes furtifs dont les albums, comme le dernier Fragmentropy, sortent loin du bruit et de la fureur des circuits traditionnels, mais parviennent néanmoins à susciter l’enthousiasme des amateurs de rock progressif.
Moi qui pensais que la Saison des Conventions se terminerait plus ou moins après OctoGônes, je me retrouve ce week-end à me balader en région parisienne pour le premier Festival du jeu de Villepreux – et j’ai encore deux autres événements prévus d’ici la fin de l’année.
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