Le multistringer existe et c’est même encore plus simple que je l’imaginais: un simple film sensible, à coller sur une guitare.
Et le pire, c’est que c’est disponible sur Kickstarter: ACPAD (enfin, plus maintenant: le projet est bouclé).
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
De nouveau pour ce samedi, trois groupes qui sont biens, mais qui ne sont pas à mon goût. À commencer par Forsaken World, du death-metal français, Pseudo/Sentai, qui donne dans le rock progressif expérimental, puis The Tirith, groupe anglais vintage de prog vintage, lui aussi.
Depuis le temps qu’on m’en parle, j’ai fini par lire Rêves de Gloire, le roman de Roland C. Wagner que beaucoup considèrent comme son “Grand-œuvre”. Il est vrai qu’avec ses huit cents pages en version poche, le bouquin se pose un peu là! Paru en 2011, c’est aussi, hélas, son dernier roman.
À la fin 2015, les Australiens – oui, encore – de Caligula’s Horse ont sorti Bloom, un album qui a fait un certain bruit dans le petit monde du rock progressif, avec des chroniques sur plusieurs sites (notamment Clair & Obscur, Neoprog et même Angry Metal Guy). Comme je suis jeune et influençable (mais surtout influençable), je me le suis pris.
En écoutant Solar Storm, le premier album des Norvégiens de Rendezvous Point, découvert grâce à une récente chronique de Neoprog, je commence à croire que Haken et Leprous ont eu un impact considérable sur le rock progressif contemporain.
Mine de rien, l’Espagne – et plus précisément la Catalogne – apparaît de plus en plus sur les radars à prog et aujourd’hui, c’est Revelations Adrift, le premier album d’Eric Baule, qui vient de faire un gros “bip” sur les écrans, grâce à la recommandation de Neoprog. Et pour gratos, en plus!
Y’a-t-il de la vie dans l’univers ailleurs que sur notre planète? C’est autour de cette question que s’articule L’Exoconférence, le nouveau spectacle d’Alexandre Astier. Comme son nom l’indique, c’est une conférence; et, comme son auteur l’indique, c’est une conférence qui va quelque peu partir en vrille.
Prenez un guitariste italien, un bassiste australien, un batteur américain et un clavier anglais, vous obtiendrez Metallic Taste of Blood, un groupe de math-rock dont le récent album, Doctoring the Dead, est tombé dans mon escarcelle au cours de mon escapade parisienne.
Ce sont un peu les hasards des rézosocios qui m’ont mis sur la piste de ce concert de Sugarfields, dans la microscopique salle du Bouffon de la Taverne. Le nom est récent, mais les lecteurs se souviendront peut-être que j’avais chroniqué un concert de Primasch il y a un peu plus de deux ans: c’était le même endroit, au sous-sol de la Taverne de la République.
De retour d’urgence d’une mission diplomatique, le professeur Dominique “Mo” O’Brien découvre chez elle une vampire, qui se trouve également être une ex de son mari. La situation devient encore plus complexe quand son violon maudit s’en mêle, au point que le mari en question – qui n’a honnêtement pas grand-chose à se reprocher – doit lancer des imprécations en énochien ancien pour que tout le monde se calme.
En écoutant l’album Her Halo de Teramaze, je me suis demandé qui pouvait bien faire un métal progressif aussi soigné et aussi bien foutu. Un rapide coup d’œil sur la chronique de Neoprog qui m’avait incité à m’y intéresser a confirmé mes soupçons: des Australiens. Encore. Y’a un nid.
Il y a peu de choses plus frustrantes qu’un album attendu qui ne tient pas ses promesses. C’est le cas de Transcension, le deuxième album du groupe australien de métal progressif Breaking Orbit, groupe dont j’avais sélectionné le précédent album, The Time Traveler, comme album de l’année en 2012.
Ales Campanelli, le bassiste et chanteur de The Erkonauts, a une habitude assez sympathique pour son anniversaire: il organise un concert de metal avec des potes. C’était déjà le cas l’année passée et, cette année, c’était le groupe français de death-metal mélodique Forsaken World et le stoner genevois de Cosmosonic qui encadrait sa formation, pour un concert 100% local et 100% metal à l’Écurie.
Celui-là, j’ai failli le rater: pour des raisons qui m’échappent, Opération Aiglon, le troisième et dernier tome de la série Spynest est sorti il y a presque un an (en mars 2015) et si je ne l’avais pas vue en passant dans une librairie française, je l’aurais complètement zappé. Ce qui eut été dommage.
Le multistringer existe et c’est même encore plus simple que je l’imaginais: un simple film sensible, à coller sur une guitare.
Et le pire, c’est que c’est disponible sur Kickstarter: ACPAD (enfin, plus maintenant: le projet est bouclé).
Autre énième passage obligé, le billet “résolutions pour la nouvelle année”. Soyons clair: ce n’est pas mon exercice préféré, mais comme je m’y suis déjà livré depuis quelques années, autant continuer. Et d’ailleurs, “continuer” sera le mot-clé de cette année.
Troisième billet de cette série consacrée aux groupes de post-rock français, toujours grâce à une recommandation de Fred Bezies, Hors Sujet est un autre projet autour d’un musicien, Florent Paris, de Toulouse. Son album, Nous n’y trouvons que le doute, se réclame d’une veine plus cinématique et intimiste.
En matière musicale, l’ami Fred Bezies a souvent raison. Bon, pas toujours, mais quand il souligne l’impressionnant foisonnement du post-rock français, notamment avec ce Atlas Hands de GrimLake, ce n’est pas moi qui vais lui donner tort.
Le nom du groupe comme le titre de l’album annoncent la couleur: The Fall de Collapse, c’est du gros post-rock cinématique sur thème de catastrophe. J’arrive dessus après la bataille – après surtout que Fred Bezies ait écrit un article dithyrambique dessus – mais j’aurais déjà dû le voir passer à l’époque de sa sortie, vu que Neoprog et Clair & Obscur l’avaient chroniqué.
Vu que Flattr est toujours en travaux, je n’ai pas pu vous faire un bilan pour novembre et celui pour décembre va également être très succinct. En novembre, les revenus se sont élevés à €8.96 et à €11.11 en décembre; donc, en moyenne, j’ai deux mois à l’équilibre avec mes habituels €10 de dons.
Hop, commençons la nouvelle année en reprenant les pratiques de la précédente avec cette troisième édition des “restes du samedi”, avec aujourd’hui trois mini-chroniques d’albums pas mauvais, mais pas suffisamment enthousiasmants pour que je me lance dans un billet entier: Last Chance to Reason, Selene et Vly.