Ma lecture de Shadow of Freedom part d’un malentendu: j’ai cru qu’il s’agissait du nouveau tome de la saga de science-fiction Honor Harrington, de David Weber. Or, si cet ouvrage se déroule bel et bien dans le Honorverse, il s’agit d’une série annexe intitulée Saganami Island.
S’il existe un rendez-vous incontournable de la pop-culture asiatique – animés, manges, cosplay, jeux vidéos, web séries et autres – en Suisse romande, c’est bien Polymanga. Enfin, quand je dis “incontournable”, je n’y vais qu’une année sur deux et encore: pas pendant les quatre jours qu’elle dure. D’ailleurs, cette année, je n’y suis allé que le samedi – pour accompagner ma cosplayeuse d’épouse.
Si j’étais taquin, je dirais qu’avec Jésus selon Mahomet, Gérard Mordillat et Jérôme Prieur cèdent à la très geek tendance des trilogies en quatre volumes, vu que leur ouvrage s’inscrit dans la droite ligne de leur “trilogie de Jésus” (Jésus contre Jésus, Jésus après Jésus, Jésus sans Jésus).
Je n’ai pas spécialement envie de parler de l’actualité récente – genre, du début de cette semaine – mais au hasard de mes flux, j’ai vu passer un bref document qui mérite d’être partagé: le Breaking News Consumer’s Handbook: Terrorism Edition, que l’on pourrait traduire par “Les Médias pour les Nuls: Spécial Terrorisme”.
Quatrième et dernière saison pour Continuum, la série canadienne de voyage dans le temps de Simon Barry qui met en scène Kiera Cameron, une policière de 2077, propulsée à notre époque en même temps qu’un groupe de révolutionnaires qui comptent bien changer l’histoire.
Pour ce vingt-troisième tome – eh oui, déjà! – la série uchronique Jour J nous offre une balade loin de ses habituels rivages franco-américains: La République des Esclaves traite en effet de la rébellion de Spartacus, en 71 avant notre ère et imagine le destin de son armée d’esclaves qui réussit à s’embarquer pour la Sicile et y fonder une république indépendante.
Ce qu’il y a de bien avec The Anagram Principle, c’est qu’avec un nom pareil, on sait qu’on va avoir droit à quelque chose de bizarre. Et l’écoute de Inventor, découvert grâce à une chronique de Progcritique, confirme clairement cette impression.
C’est pas pour cafter, mais tout récemment, Psychée a lancé un financement participatif d’un type un peu particulier. Contrairement à la plupart des financements de ce genre, ce n’était pas pour une grosse somme (200€) et pas pour un produit fini, mais pour financer sa présence à Orc’idée – stand, impression de goodies, etc.
Parue dans un seul volume avec Legion, The Emperor’s Soul est une autre nouvelle – une novella, pour être précis – de Brandon Sanderson, très différente du précédent, puisque se déroulant dans un contexte fantastique orientalisant, à la cour de l’empereur d’une nation genre Chine-avec-de-la-magie.
Stephen Leeds, le protagoniste de Legion, novella de Brandon Sanderson, vit seul dans un grand manoir. Seul, avec un majordome. Et aussi, JC, Ivy, Tobias et beaucoup d’autres personnes – à ceci près que ces dernières n’existent pas vraiment: ce sont des hallucinations.
Les conventions de jeu à La Chaux-de-Fonds et moi, c’est une longue histoire. Si Ludesco, dont c’est la septième édition en 2016, est leur dernière incarnation, dans les années nonante, il y avait la Chazam – qui avait le bon goût de se dérouler en août, pas sous des mètres cube de neige.
Nexus, la drogue éponyme du roman d’anticipation de Ramez Naam, est un peu plus qu’une simple drogue: un outil pour augmenter les capacités du cerveau, le mettre en réseau avec d’autres utilisateurs de Nexus et même un système d’exploitation neurologique; en résumé, c’est la porte ouverte vers la transhumanité. Et c’est bien là, le problème.
En même temps que le nouveau Flattr semble vouloir émerger des cendres du précédent – il y a encore du boulot, mais ça commence à ressembler à quelque chose – mes revenus commencent doucement à remonter également: ce mois de février 2016, j’ai reçu €7.48 en dons.
En rédigeant cette chronique du dixième tome des Notes de Boulet, intitulé Le pixel quantique, je m’aperçois que j’ai fait l’impasse sur le neuvième. Et sur pas mal d’autres, également. Bon, ce n’est pas très grave: en règle générale, si c’est Boulet, c’est bien.
Au cours de mes études d’histoire, j’ai eu l’occasion d’étudier les complots, les conspirations et autres sociétés secrètes. C’est pourquoi, quand j’en ai lu la chronique de Tristan Lhomme sur Hugin & Munin, j’ai eu envie de lire La Synarchie, signé de l’historien français Olivier Dard.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑