Il y a des artistes qui parviennent à faire s’enthousiasmer les fans même pour leurs fonds de tiroir. Steven Wilson est de ceux-là et le prouve avec son nouvel album, 4 ½, cinq pistes tirées des sessions de ses deux précédents albums (Hand. Cannot. Erase. et The Raven that Refused to Sing) et une reprise d’un morceaux de Porcupine Tree.
Le concept de reprendre des personnages de bande dessinée célèbres – Spirou, Valérian et maintenant Lucky Luke – pour les faire traiter à leur sauce par des dessinateurs contemporains nous donne souvent des histoires de qualité. Témoin cet album, L’Homme qui tua Lucky Luke, signé Matthieu Bonhomme.
J’espère que vous aimez le post-rock instrumental d’origine française, parce que vous allez continuer à en bouffer, toujours grâce à Fred Bezies. Aujourd’hui, c’est le groupe orléanais Have the Moskovik, découvert par son album de 2011, Une simple théorie des glaces en terrasse.
Pour quelqu’un qui prétend ne pas être patriote, je dois quand même avouer un intérêt certain pour les productions suisses, surtout quand elles concernent des sujets qui m’intéressent, comme ce Futurs insolites, une anthologie suisse de science-fiction et de fantastique, dirigée par Elena Avdja et Jean-François Thomas.
On est dimanche après-midi, il pleut, votre femme vous a quitté et est partie avec les chats, vous devez remplir votre déclaration d’impôts et il n’y a plus de bière dans le frigo. Le moment idéal pour écouter The Judas Table, le dernier album d’Antimatter.
Rarement un titre d’album n’aura autant évoqué l’esprit du post-rock: Dust and Disquiet de Caspian, groupe américain dont je vous avait déjà parlé, signe ici un album impressionnant avec une vraie recherche et des montées en puissance de tueur.
Qu’obtient-on quand on mélange du post-apo, du western et des combats de sabre façon film de Hong-kong? Une série télé assez surprenante intitulée Into the Badlands et qui parle surtout de gens qui aimeraient bien sortir des badlands en question.
Troisième tome de la série Crown of Slaves, dérivée du Honorverse, Cauldron of Ghosts renoue avec l’improbable duo d’agents spéciaux Victor Cachat et Anton Zilwicki. Si on retrouve un autre duo à l’écriture – David Weber et Eric Flint – le ton est clairement plus sombre que dans les deux premiers.
Vous savez, ces albums que vous écoutez et que vous trouvez sympas, mais sans plus? Eh bien c’est ce pourquoi j’ai inauguré, il y a quelques temps, cette rubrique “Les restes du samedi”, pour brièvement parler de tous ces albums que j’écoute, mais pour lesquels je me découvre incapable d’écrire plus d’une centaine de mots.
OK, qui d’entre vous n’a jamais vu les films Evil Dead, de Sam Raimi et avec Bruce Campbell? À part moi, s’entend, je n’ai vu que le troisième, Army of Darkness. Bref, sachez qu’il existe désormais une série télé, Ash vs Evil Dead, où Bruce Campbell reprend son rôle de Ash, trente ans plus tard, et s’en retourne buter du mort-vivant avec fusil à pompe et tronçonneuse.
Un nom de groupe simple – Cirrus Minor – un album du même nom et des pistes numérotées par de simples chiffres romains, vous êtes sûr que c’est bien du post-rock? Simple, certes, mais un album de bon goût, composé par un groupe français que nous a encore dégoté Fred Bezies, qui s’avoue accro au post-rock instrumental. Mais avec une came pareille, qui l’en blâmerait?
Imaginons que, demain, on apprenne que non seulement le peuple féerique existe, mais qu’il revient parmi les hommes, avec sa propre technologie parallèle à la nôtre et des tonnes de solutions pour les problèmes de notre temps. C’est, à peu de choses près, le propos de Techno Faerie, de Sara Doke.
Si je vous dit que Amadeus Awad, c’est du rock progressif libanais, vous me croyez? Bon, d’une part, je n’ai aucune raison de vous mentir là-dessus et, ensuite, ce n’est pas le premier artiste libanais que je vous fait découvrir. Enfin, Death Is Just a Feeling, découvert grâce au blog du Jester, est un très bon album.
Petit regain d’activité sur Flattr au moins de mars, avec treize clics, alors que le site continue à rajouter des fonctionnalités – à un train de sénateur grabataire, certes, mais au moins ça avance. Par contre, les revenus ne suivent pas vraiment et je ne reçois que €4.88.
Depuis que j’ai découvert Wattpad et Atramenta, je continue à m’intéresser aux plateformes d’écriture et de lecture en ligne et, grâce à Greg Siebrand, j’ai pu découvrir deux autres outils du même genre, à savoir Scribay et Tellyon.
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