Un nouvel album de Lazuli est toujours un événement et Nos âmes saoules ne déroge pas à cette règle. Le groupe français, dont le rock progressif rappelle celui d’un Ange modernisé et sérieusement inspiré par diverses musiques du monde, est devenu un des grands noms du genre et ses opus sont attendus.
Prenez une brochette de musiciens hollandais, actifs dans des groupes de métal progressif souvent ultra-techniques (Exivious, Dodecahedron, Cynic), et vous obtiendrez Our Oceans… qui n’a à peu près rien à voir, musicalement.
“Erdorin, Chroniques de l’Arbre-monde” est également disponible en version papier sur le site de vente en ligne qui rime avec “Lazône”.
Foin des séries kilométriques, avec USA über alles, Jean-Pierre Pécau a le bon goût de signer un triptyque uchronique dont le troisième et dernier tome, sous-titré “L’Ombre rouge”, vient donc de sortir ces jours.
Au premier coup d’œil, j’aurais pensé que Celestial Teapot aurait une bonne tête de groupe de space-rock. Bon, y’en a un peu, mais ce One Big Sky s’inspire plus du rock progressif et du post-rock que des tentacules ozriciennes.
C’est l’histoire de cinq potes qui essayent de finir la tournée des douze pubs de leur patelin natal, vingt ans après, en terminant par celui qui s’appelle The World’s End. Et c’est là que les extra-terrestres envahissent la Terre.
Stupor Mundi, vingt-quatrième tome de la série uchronique Jour J et suite du vingt-deuxième, L’Empire des Steppes, reprend les choses là où elles étaient restées. À Karakorum, l’ambassade chrétienne auprès du Grand Khan ne se passe pas très bien: Guillaume, le moine franciscain, et son maître Matteo, sont esclaves des Mongols et ils voient arriver Renaud, le frère de Guillaume et Aleksander, le mercenaire.
Vous allez finir par croire que, ces temps-ci, je fais une fixette sur Mike Oldfield, façon « il entend du Mike partout », mais j’ai sérieusement l’impression que ce deuxième album du groupe britannique Arcade Messiah, sobrement intitulé II, est quelque peu influencé par l’auteur de Tubular Bells.
Il y a des commémorations plus joyeuses que d’autres, celles autour de la guerre 14-18 le sont assez modérément. Si le commun des mortels a une assez bonne idée de l’horreur de ce conflit, des ouvrages comme ce 1914, de Jean-Yves Le Naour, met en lumière des aspects peu connus en se concentrant sur cette seule année.
Tiens, du post-rock instrumental français. Oui, encore. J’ai découvert cet album Red Forest, du groupe éponyme et néanmoins caennais, via la recommandation de Fred Bezies. Oui, encore. On ne change pas une équipe qui gagne.
Captain America: Civil War, dernier épisode cinématographique de l’univers étendu Marvel, répond à une question qui tarabuste souvent les amateurs d’histoire de super-héros: qui garde les gardiens? Ou, pour être plus précis, que se passe-t-il quand on demande aux gardiens d’être eux-mêmes gardés?
Après la convention des vieux, samedi, ce fut dimanche le concert des vieux, à savoir Pendragon au Z7 de Pratteln, à l’occasion de leur tournée-anniversaire de The Masquerade Ouverture.
Vous pourriez croire qu’après les Anthinoises il y a deux semaines et les Chimériades le week-end passé, je serais fatigué des conventions. Eh bien non, me voici reparti, ce samedi, vers la convention Bulle de Cristal. Et vous pourriez croire que j’en ai soupé des longs voyages, mais Bulle, dans les Préalpes fribourgeoises, est tout de même à près de deux heures de train de Genève.
Il y a vingt ans paraissait ce qui est sans doute le meilleur album de rock progressif suisse, j’ai nommé Vae Victis de Galaad. L’occasion pour moi de dépoussiérer la catégorie “Cabinet des curiosités” et vous parler de cette galette exceptionnelle.
Comme je vous en causais mardi, Flattr a balancé une jolie petite bombe, la semaine passée, en annonçant Flattr Plus, un partenariat avec AdBlock Plus qui vise à combiner deux de mes lubies internetiennes majeures: le blocage des publicités et la rémunération des contenus.
Tout fini par arriver: trente-cinq ans après avoir acheté mon dernier Journal de Mickey, me voici à acheter un album de la souris la plus connue du monde. Mais comme je suis très XXIe siècle, c’est Mickey’s Craziest Adventures, un délire que l’on doit à Lewis Trondheim (scénario) et Nicolas Keramidas (dessin).
Sur le site Flattr, les choses commencent à revenir doucement à la normale. Pour ce qui est de mon bilan financier mensuel et personnel, un nombre de clics en baisse et des revenus qui se stabilisent vers €5 – €4.35, pour être précis – et, de mon côté, également une baisse des dons, à €5 pour seize clics, donc quatorze abonnements.
Ce début mai est clairement placé sous le signe des conventions dans des lieux improbables: après les Anthinoises, voici les Chimériades, cinquièmes du nom, sises dans le Château de l’Environnement, non loin de Buoux, dans le Parc régional du Luberon.
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