Dans un peu moins d’un mois, le 22 août, ce sera le Ray’s Day, la fête des livres, des lecteurs et des auteurs. Lancé il y a trois ans par Neil Jomunsi en l’honneur de Ray Bradbury – le 22 août est le jour de sa naissance – l’événement se perpétue et c’est tant mieux!
Bon, c’est pas pour dire, mais Paléo, ça a beau ne pas être très loin, c’est tout de même une sacré expédition! Pour le coup, je vais sacrifier à une semi-mode, celle qui consiste à vider son sac. Enfin, plutôt à montrer ce qu’on a mis dedans.
Paléo 2016, l’édition du lendemain. Surprise: j’ai mal partout et j’ai l’impression d’avoir dormi deux heures chaque nuit pendant une semaine, ce qui est un peu exagéré. Hachetague: c’est pas beau de vieillir!
Dernier jour de Paléo 2016, retour avec ma dame: le soleil brille, un peu de vent apporte de la fraîcheur sur la plaine de l’Asse (insérez ici blague scato), où la boue a presque disparu. Conditions idéales pour les concerts en plein air – sauf qu’on file de nouveau sous le Dôme.
Bon, mon actualité live-bloguesque de ce samedi à Paléo pourra se résumer simplement: rien. Je suis un peu fatigué et il n’y a pas grand-chose qui me branche vraiment ce jour.
Question météo, autant hier on pouvait avoir un doute, autant ce vendredi jouait franc jeu dès le départ: nuages et pluie, boue et sciure, temps de chiotte sur Paléo!
Je ne vous cacherai pas qu’après ces deux premiers jours, le reste de Paléo ressemble un peu à une longue descente. Surtout avec un jeudi avec somme toute peu de choses qui m’intéressent réellement et une météo menaçante.
(Comme mentionné précédemment, cette semaine sera consacrée au Paléo 2016, sous la forme d’un liveblog de l’événement. Enfin, autant que faire se peut. Du coup, les réseaux sociaux et les flux RSS ne vont pas être super à jour.) Il… Continue Reading →
Cette année, grande nouvelle: je vais au Paléo! Ouais, le Paléo Festival de Nyon, le gros festival de musique ultra-commercial-patin-couffin, à trente bornes de chez moi, où je n’ai pas mis les pieds depuis plus de vingt ans et un concert de ZZ Top particulièrement calamiteux.
Une de mes nouvelles expressions fétiches, c’est “ce n’est pas un problème de XYZ, c’est un problème de connards“, où XYZ est un phénomène de société quelconque. Je crois qu’une des premières fois où je l’ai sortie, c’était au cours d’une discussion avec Axelle sur le narrativisme en jeu de rôle. Pour poser le niveau, donc.
Juin 1940: après l’arrestation du Maréchal Pétain, Paul Reynaud – et son ministre de la guerre, un certain Charles de Gaulle – décident de déménager tout ce qui peut l’être, détruire le reste et continuer la guerre depuis l’Afrique du Nord. Ce deuxième tome de Et si la France avait continué la guerre?, intitulé “Le Sursaut“, entre dans le vif de l’uchronie.
En écoutant In Vacuum, de Profuna Ocean, je ne peux m’empêcher que le titre est bien trouvé: de même que la nature a horreur du vide, la scène musicale non plus et la disparition de Porcupine Tree a fait que des groupes comme celui-ci émergent et nous proposent des compositions, certes très typées, mais bien troussées.
Retour à la routine pour mon bilan Flattr: ça fait déjà plusieurs mois qu’on plafonne à €5 envoyés pour €3–4 reçus; le mois de juin ne fait pas exception, avec €3.85 reçus. Ça fait aussi plusieurs mois que les quelques bugs autour des flattrs récurrents (les abonnements) ne sont pas réglés; je soupçonne que l’équipe est plus occupée sur FlattrPlus, mais c’est un peu agaçant.
Je vous avais déjà causé, l’année passée, de la précédente anthologie du “Prix Mille Saisons”, un concours de nouvelles porté par l’éditeur rôlistico-romanesque Le Grimoire. L’édition de cette année avait pour titre, autant que pour thème, Du plomb à la lumière et a donné lieu à une sélection d’une vingtaine de textes de plutôt bonne facture.
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