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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Month février 2017

Freedom to Glide: Fall

C’est via Progcritique que j’ai découvert Fall, deuxième album du groupe britannique Freedom to Glide, qui propose un néo-prog mélancolique et un concept sur la Deuxième Guerre mondiale, deuxième volet d’une trilogie commencée avec leur premier album, Rain.

« Le Grand n’importe quoi », de J.M. Erre

Ce n’est pas un titre, c’est une profession de foi: Le Grand n’importe quoi, de J.M. Erre est un roman qui emprunte plus au pastiche surréaliste qu’à la science-fiction, une sorte de fable absurde qui est à la fois une tarte à la crème et un grand cri d’amour envers la littérature en générale et celle de l’imaginaire en particulier.

Overunit Machine: Aldaraja

Quand on écoute beaucoup d’albums, il vient fatalement un moment où on se dit que tel ou tel sous-genre a tendance à produire des quantités invraisemblables de morceaux identiques. C’est parfois mon cas avec le metal progressif, c’est pourquoi des curiosités comme ce Aldaraja, de Overunit Machine, apparaît comme un petit rayon de soleil – découvert grâce à Neoprog, d’ailleurs.

« Apex », de Ramez Naam

Bon, autant faire péter le suspens immédiatement: Apex, conclusion de la trilogie Nexus de Ramez Naam, est une digne conclusion de ce techno-thriller d’anticipation transhumaniste. Pour poser les choses, il commence par un échange nucléaire généralisé. Enfin, pas tout à fait, mais c’est pour dire.

The Great Old Ones: EOD – A Tale of Dark Legacy

Dans la série des choses qui tombent mal, The Great Old Ones passent en concert à un kilomètre de chez moi, mais un soir où j’ai un autre truc de prévu. Zutre! Bon, du coup, je me console avec leur dernier album, EOD: A Tale of Dark Legacy. Enfin, “console”, quand on parle de black-metal lovecraftien, ce n’est peut-être pas le terme le plus approprié…

Person of Interest

On reconnaît souvent les séries marquantes à leur générique. Celle de Person of Interest commence avec la voix d’un des personnages, qui annonce:

“On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret. Une machine ! Elle vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je le sais parce que c’est moi qui l’ai créé.”

Japan Impact 2017

En même temps que la saison des conventions de jeux revient, celle des conventions geeks à forte coloration japonaise également: à preuve, cette édition 2017 de Japan Impact, qui déboule une semaine après Orc’idée.

Bilan mécénat: janvier 2017

Cet article est le numéro 67 d'une série de 168 intitulée Bilans mécénat et création

Comme promis, ce bilan mécénat est le premier billet d’une nouvelle série mensuelle pour remplacer les bilans Flattr. Bon, dans les faits, pas grand-chose ne va changer, vu que Flattr représente toujours une part importante de mon activité sur ce sujet, mais ça risque d’évoluer prochainement.

Cleaver of the Mist: Sanctuary

J’ai un beauf de bon conseil. Bon, avant qu’il ne devienne de la famille, Fulgan était déjà un bon pote – ça n’a pas changé depuis – et on se retrouvait sur pas mal de trucs, notamment musicaux. Du coup, quand il m’a parlé de Cleaver of the Mist, groupe français de metalcore, je suis allé y jeter une oreille. L’EP Sanctuary a été acheté dans la foulée.

“Lock In”, de John Scalzi

Jusqu’à présent, les romans de John Scalzi que j’ai lus oscillaient entre le très bien (Old Man’s War) et le sympa-mais-peut-mieux-faire (Redshirts). Lock In, découvert via une chronique sur le site de Lune, est un roman d’anticipation flirtant avec le transhumanisme qui se situe assez clairement dans la première catégorie.

Simon Stålenhag, l’anti-formicapunk

Je suis récemment retombé sur des illustrations de l’artiste suédois Simon Stålenhag, dont les peintures numériques montraient des éléments futuristes intégrés dans la campagne suédoise des années 1980.

Orc’idée 2017

Je peux me tromper, mais il me semble que j’ai participé à toutes les éditions d’Orc’idée depuis sa création en 1992, à la Croix-d’Ouchy. On pourrait dire que c’est devenu une sorte de rituel, une habitude, une routine, mais ce n’est pas mon point de vue.

Jeu de rôle et identité: l’exemple de Monsterhearts

Hier, je suis tombé sur un article du quotidien britannique The Guardian qui parlait de jeu de rôle : Monsterhearts: ‘A lot of queer youth are made to feel monstrous by people around them’.

Encore plus d’avions eyldarin

Encore plus d’avions eyldarin Encore une série d’avions qui ressemblent franchement à ce que des Eyldar pourraient utiliser, avec leur apparence de grands oiseaux.

Fates Warning à Aarau

Au moment où je tape ces lignes, je suis dans une chambre d’hôtel à Aarau, j’ai des étoiles plein les yeux – et des acouphènes plein les oreilles – parce que je viens de voir Fates Warning en concert au KIFF. Ouais, carrément! Et puis d’abord, c’est mon anniversaire, alors je fais ce que je veux, d’abord!

Demi-siècle

Tous les ans, à peu près à la même époque, il m’arrive un truc bizarre: je vieillis. Et, à peu près tous les dix ans, je passe une sorte de cap symbolique qui implique des changements dans mes biographies. En clair, aujourd’hui, j’ai cinquante ans.

Jupiter Hollow: Odyssey

Tiens, il me restait encore un EP dans ma besace: Odyssey, du jeune duo canadien de metal progressif Jupiter Hollow. Bon, pour être honnête, il est venu après les trois de samedi et par des chemins un peu détournés, vu que c’est un service de presse de Asher Media Relations. Et, comme j’ai plutôt bien aimé ce que j’écoutais, je me suis dit que j’allais me fendre d’une chronique complète.

“1918, L’étrange victoire”, de Jean-Yves Le Naour

Avec 1918, j’arrive au bout des cinq volumes que l’historien Jean-Yves Le Naour a consacré à cette Première Guerre mondiale, qui porte en elle les germes de tout le XXe siècle. Et ce n’est pas beau à voir.

Les brefs du samedi: Assign Fate / Shadowrise / WOLVE

Pour ce samedi, j’ai trois EP dans ma besace: Assign Fate, Shadowrise et WOLVE. Des vrais EP, hein, pas des “EP” de quarante-cinq minutes, façon groupe de post-rock français… Bref, c’est bref, mais ça bouge beaucoup.

“Crux”, de Ramez Naam

Crux est le deuxième roman de la trilogie Nexus, de Ramez Naam, un techno-thriller d’anticipation transhumaniste, centré sur une drogue éponyme basée sur des nanomachines, qui agit comme un système d’exploitation pour ceux qui en prennent et qui leur permet de se connecter, partager des expériences… ou pire.

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