C’est via Progcritique que j’ai découvert Fall, deuxième album du groupe britannique Freedom to Glide, qui propose un néo-prog mélancolique et un concept sur la Deuxième Guerre mondiale, deuxième volet d’une trilogie commencée avec leur premier album, Rain.
Ce n’est pas un titre, c’est une profession de foi: Le Grand n’importe quoi, de J.M. Erre est un roman qui emprunte plus au pastiche surréaliste qu’à la science-fiction, une sorte de fable absurde qui est à la fois une tarte à la crème et un grand cri d’amour envers la littérature en générale et celle de l’imaginaire en particulier.
Bon, autant faire péter le suspens immédiatement: Apex, conclusion de la trilogie Nexus de Ramez Naam, est une digne conclusion de ce techno-thriller d’anticipation transhumaniste. Pour poser les choses, il commence par un échange nucléaire généralisé. Enfin, pas tout à fait, mais c’est pour dire.
On reconnaît souvent les séries marquantes à leur générique. Celle de Person of Interest commence avec la voix d’un des personnages, qui annonce:
“On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret. Une machine ! Elle vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je le sais parce que c’est moi qui l’ai créé.”
En même temps que la saison des conventions de jeux revient, celle des conventions geeks à forte coloration japonaise également: à preuve, cette édition 2017 de Japan Impact, qui déboule une semaine après Orc’idée.
Comme promis, ce bilan mécénat est le premier billet d’une nouvelle série mensuelle pour remplacer les bilans Flattr. Bon, dans les faits, pas grand-chose ne va changer, vu que Flattr représente toujours une part importante de mon activité sur ce sujet, mais ça risque d’évoluer prochainement.
Jusqu’à présent, les romans de John Scalzi que j’ai lus oscillaient entre le très bien (Old Man’s War) et le sympa-mais-peut-mieux-faire (Redshirts). Lock In, découvert via une chronique sur le site de Lune, est un roman d’anticipation flirtant avec le transhumanisme qui se situe assez clairement dans la première catégorie.
Je suis récemment retombé sur des illustrations de l’artiste suédois Simon Stålenhag, dont les peintures numériques montraient des éléments futuristes intégrés dans la campagne suédoise des années 1980.
Je peux me tromper, mais il me semble que j’ai participé à toutes les éditions d’Orc’idée depuis sa création en 1992, à la Croix-d’Ouchy. On pourrait dire que c’est devenu une sorte de rituel, une habitude, une routine, mais ce n’est pas mon point de vue.
Hier, je suis tombé sur un article du quotidien britannique The Guardian qui parlait de jeu de rôle : Monsterhearts: ‘A lot of queer youth are made to feel monstrous by people around them’.
Encore plus d’avions eyldarin Encore une série d’avions qui ressemblent franchement à ce que des Eyldar pourraient utiliser, avec leur apparence de grands oiseaux.
Tous les ans, à peu près à la même époque, il m’arrive un truc bizarre: je vieillis. Et, à peu près tous les dix ans, je passe une sorte de cap symbolique qui implique des changements dans mes biographies. En clair, aujourd’hui, j’ai cinquante ans.
Avec 1918, j’arrive au bout des cinq volumes que l’historien Jean-Yves Le Naour a consacré à cette Première Guerre mondiale, qui porte en elle les germes de tout le XXe siècle. Et ce n’est pas beau à voir.
Crux est le deuxième roman de la trilogie Nexus, de Ramez Naam, un techno-thriller d’anticipation transhumaniste, centré sur une drogue éponyme basée sur des nanomachines, qui agit comme un système d’exploitation pour ceux qui en prennent et qui leur permet de se connecter, partager des expériences… ou pire.
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