“Où s’imposent les silences”, d’Emmanuel Quentin

"Où s'imposent les silences", d'Emmanuel Quentin

Matthias, étudiant glandeur dans un avenir proche où une épidémie a tué près de la moitié de la population, trouve un jour une lettre énigmatique glissée sous sa porte. Cette lettre le lance sur la trace d’une peinture du XVe siècle, sur laquelle il reconnaît sa mère et son oncle. C’est ainsi que commence Où s’imposent les silences, d’Emmanuel Quentin.

Enslaved: E

Enslaved: E

Un jour, les membres d’un groupe de black-metal norvégien se sont demandés “OK, que pourrait-on faire pour sortir de la masse?” L’un d’entre eux a dit “Je sais: inspirons-nous du rock progressif!” Et le plus étonnant, c’est que ses petits camarades ont répondu “Ah oué, cool!” Et c’est ainsi qu’Enslaved a sorti un album comme E.

Enfin, je crois.

Convention du Dé qu’a dents 2017: Internationale Ludiste

Convention du Dé qu'a dents 2017

Camarades ludistes, le dernier congrès de notre Internationale a eu lieu à la Maison du Peuple de Monthey, en République socialiste du Valaisistan, et j’ai eu l’honneur d’y représenter les camarades du kolkhoze 2d Sans Faces et ses fières productions!

Bon, donc, c’était la convention annuelle du Dé qu’a dents et c’était cool.

Moonspell: 1755

Moonspell: 1755

Il paraît qu’à ses débuts, Moonspell, c’était quelque chose de brutal. Moi qui n’ai découvert le groupe qu’assez récemment – avec Alpha Noir – j’ai plutôt été attiré par son côté mélodeath et par l’hommage massif à Sisters of Mercy sur le précédent album, Extinct. Ce 1755 est d’une autre trempe et, pour certains, c’est une forme de retour aux sources.

Samael: Hegemony

Samael: Hegemony

Il faut vous avouer un truc: nous autres Suisses, on n’est pas vraiment des gens fréquentables. Oh, niveau apparences, on fait le job, mais dans les coulisses, on a des banques qui blanchissent l’argent de la mafia, des entreprises qui exploitent les enfants et les conflits locaux, et, musicalement, on est parfois plus dans le genre de ce Hegemony, nouvel album de Samael.

Todesbonden: Sleep Now, Quiet Forest

Todesbonden: Sleep Now, Quiet Forest

Vous vous souvenez peut-être que, pour la chronique de Mobius il y a quelques jours, j’avais mentionné que le groupe m’avait été recommandé par une double chronique de Fred Bezies. L’album Sleep Now, Quiet Forest, de Todesbonden, est le seconde recommandation de cette chronique, également en metal symphonique.

Débattre avec modération

Débat sur les langues lors de la première Assemblée législative du Bas-Canada

Marronnier des interwebs, la question des trolls et de la modération nous a fait un grand retour sur le devant de la scène. Je veux bien évidemment parler de la bande de teubés qui sévissent sur un tristement célèbre forum de jeu vidéo et qui se sont fait une spécialité de troller tout ce qui remet en question leur vision masculiniste de l’univers.