VOLA: Applause of a Distant Crowd
J’ai mis un peu de temps à chroniquer le nouvel album de VOLA, Applause of a Distant Crowd, mais c’est plus dû à une actualité autrement intense qu’à un manque d’intérêt.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
J’ai mis un peu de temps à chroniquer le nouvel album de VOLA, Applause of a Distant Crowd, mais c’est plus dû à une actualité autrement intense qu’à un manque d’intérêt.
Ceux qui me lisent depuis un moment savent que la ligne éditoriale de ce blog peut se résumer dans « les trucs qu’Alias aime bien ». Du coup, je suis un peu gêné aux entournures pour chroniquer le premier tome de La Conspiration des Colombes, de Yann-Cédric Agbodan-Aolio.
Reçu en service de presse, voici un plutôt impressionnant premier album de Parad1gm, un groupe français de metal progressif. Je dirais bien que les noms de groupes ou d’album avec des chiffres à la place des lettres sont à la mode, sauf que le l33tsp34k, c’est pas loin d’être vieux comme le web.
Ai-je besoin de dire que je suis allé voir Captain Marvel? Oui, comme tout le monde. Marvel Cinematic Universe, blockbuster, superhéros, machine à fric et toussa. Que voulez-vous, moi j’aime bien.
Je ne sais pas s’ils se sont donné le mot, mais avec ce nouvel album de Saor, Forgotten Paths, c’est le troisième album récent de black-metal atmosphérique tendance folk – ce que j’appelle « black Oldfield » que je chronique. Notez bien que je ne me plains pas, non plus.
Tiens, un billet de samedi qui n’est pas un Reste du samedi – ou peut-être bien que si, en fait. Bref, pris d’un coup de folie passagère, j’ai décidé de faire une petite vidéo de deux minutes pour présenter Radio-Erdorin.
Eh oui, déjà: à peine quatre mois après la chronique du précédent album de Cân Bardd, Nature Stays Silent, voici celle de The Last Rain, le nouvel opus de ce groupe suisse de black-folk-metal, paru fin février. Pour une fois, c’est de la nouveauté fraîche de chez fraîche. Et puis je vous avais prévenu.
J’ai essayé de ne pas trop être en retard pour ce nouveau bilan mensuel création et mécénat, pour le mois de février 2019. Je vous jure: je l’ai écrit le 14, mais avec tous les événements (concert, Radio-Erdorin, Ludesco) je n’arrive à le publier qu’aujourd’hui. Pour rappel, c’est le billet où je reviens sur tout ce que j’ai créé, donné et reçu le mois passé.
Enfin! Après une longue attente due à des déboires de commandes, j’ai enfin reçu Wasteland, le nouvel album de Riverside! L’attente en valait-elle le coup? Spoilers: oui (mais).
Comme le temps passe vite: déjà la dixième édition de Ludesco, la convention qui, le temps d’un (gros) week-end, transforme la cité neuchâteloise de La Chaux-de-Fonds en salle de jeux géante.
Nouvelle semaine, nouveau concert. C’est sous une pluie battante que je débarque à l’Usine de Genève ce jeudi soir. La raison ? Rien de moins que The Ocean en concert.
Bon, j’admets: pour l’épisode de février de Radio-Erdorin, je suis en retard. Moins en retard que je ne l’aurais cru – je pensais ne pas pouvoir mettre le bazar en ligne avant lundi – mais en retard quand même.
On dirait bien que je suis en mode “suite”, ces jours. Parce qu’après le deuxième tome de Terra Ignota, je me suis attaqué au huitième de The Laundry, de Charles Stross, The Delirium Brief, lu à la suite de The Nightmare Stacks. On y retrouve ce genre Bob Oliver Francis Howard (non, ce n’est pas son vrai nom) dans une merde à grand spectacle. Littéralement.
Alors, pour une fois, la découverte de Ethic of Radical Finitude, du groupe allemand de post-metal Downfall of Gaia, n’est pas inspirée par une chronique de Angry Metal Guy. J’entends par là que si j’ai effectivement bien vu passer ladite chronique dans mes flux, je m’intéresse à ce groupe surtout parce qu’il va faire la première partie de The Ocean demain.
Or donc, après Too Like the Lightning, j’ai attaqué Seven Surrenders, d’Ada Palmer. Oui, je sais que ce n’est pas très malin d’attaquer aussi vite le deuxième volume d’une tétralogie dont le dernier volume n’est pas attendu avant l’année prochaine.
Lors de mon dernier passage au KIFF d’Aarau, pour le concert de TesseracT, j’étais tombé sur une affiche annonçant, dans cette même salle, la venue de Haken en mars. Je n’avais pas manqué de graver la date dans mes tablettes et me voici donc, quatre mois plus tard, pour cette date de la tournée European Vector Studies 2019.
Avant de vous parler de Resist, le dernier album de Within Temptation, je dois vous faire un aveu: je ne déteste pas la pop. Pour un bi-classé prog-head/metaleux (avec quelques spés exotiques, genre post-rock ou synthwave), ça peut paraître hérétique, mais c’est ainsi. Par “pop”, j’entends la capacité à faire des compositions simples et accrocheuses.
C’est un peu par hasard, via un article de MPC, que je suis tombé sur le groupe américain Beautiful Remorse et son nouvel album sans titre. Sans titre, certes, mais pas sans intérêt, au contraire: c’est probablement la meilleure musique que vous n’avez jamais écouté. Même si elle va probablement vous tuer.
Avertissement liminaire: je n’aime pas Spider-Man. Le personnage et ses traitements à l’écran, s’entend; je crois n’avoir jamais lu un comics à son sujet – même les Spidey, c’est dire. Pourtant, je suis allé voir Into the Spider-Verse.
Ne vous laissez pas tromper par le nom: The Great Adventure, le dernier album de Neal Morse – OK, techniquement, « The Neal Morse Band » – n’a pas grand-chose à voir avec The Grand Experiment, mais plus avec son précédent, The Similitude of a Dream.