Même si la dernière fois que j’ai joué à D&D, il y avait encore une URSS, je suis désormais un paladin chatoyant. Eh ouais! Il faut dire qu’il s’agit là d’une initiative de l’association Aux portes de l’imaginaire, à laquelle je m’associe avec enthousiasme.
Il en va de la musique comme de la vie: parfois on fait des rencontres lumineuses pour les oublier pendant de longues années et les rencontrer à nouveau. Par exemple, le groupe ukrainien Obiymy Doschu retrouvé via son nouvel album, Сон, onze ans après leur précédent, Elehia.
Neuvième volume de la série The Laundry – et troisième lu à la suite cette année – The Labyrinth Index, de Charles Stross, enchaîne sur les événements de The Delirium Brief et envoie Mhari et une brochette d’agents de la Laverie aux USA, affronter les Nazgûls.
Dans la série des concerts de post-rock avec des groupes que je ne connais pas, mercredi passé c’était Radio Moscow à l’Usine de Genève! Bon j’exagère un peu: si c’est effectivement un groupe que je ne connais pas, en première partie, il y avait Monkey3.
Il y a des billets qu’on n’aimerait jamais avoir à écrire, tout en sachant que ça arrivera tôt ou tard. Hier matin, nous avons accompagné notre chat, Caramel, pour son dernier voyage.
Je ne sais pas si mes récentes réflexions sur la baisse d’intérêt de la production post-rock actuelle ont eu un effet (spoiler: non), mais voici que Sphere, le nouvel album des Suisses de Monkey3, vient me faire mentir après l’exceptionnel Achromata d’Aesthesys.
Une série télé d’horreur comique qui se déroule dans un bled de bouseux américains, avec une malédiction, des monstres, une ambiance septante-huitante et un héros éponyme con comme une bille. Ça vous rappelle quelque chose? Eh bien Stan against Evil, c’est en effet un peu comme Ash vs Evil Dead, sauf que pas tout à fait.
Chroniquer un nouvel album de Blake et Mortimer si tôt après la déception du premier tome de La Vallée des immortels, vous allez dire que je cherche la bagarre. Et je dois avouer que, de prime abord, Le Dernier Pharaon m’a laissé dubitatif. Sauf que.
Les mauvaises langues vont dire que, si j’ai acheté Mare Tenebris, de Parthenon, c’est uniquement pour pouvoir rajouter “Venezuela” à ma liste de tags nationaux. Ce n’est pas complètement impossible, mais c’est aussi à la suite de la chronique de Prog Female Voice que je me suis intéressé à cet album.
Certes, ce bilan mensuel création et mécénat pour mai 2019 est un chouïa en retard, mais je rentre dans une zone de turbulences professionnelles et c’est parfois compliqué de caler les billets à la bonne date. Bref, désolé pour le retard; je promettrais bien que je ne le ferais plus, mais ce ne serait pas crédible.
Comme je n’avais pas assez de bouquins sur ma pile à lire – oui, c’est du sarcasme – j’ai acheté la version numérique du nouveau bouquin de Cory Doctorow, Radicalized. On pourrait le résumer par « comment devenir un terroriste en quatre leçons ».
Un avenir plus ou moins proche, une Terre ravagée par un virus mortel et deux personnages – Jan, un vétéran, et LN une jeune femme – qui traversent des paysages de ruines. Tel est le monde de Soleil froid, ainsi qu’il apparaît au début du troisième et dernier tome de cette série, L’Armée verte.
Un des aspects les plus difficiles de la vie de blogueur musical, c’est d’arriver à tenir la cadence, entre les sorties attendues et les découvertes géniales. C’est pourquoi Achromata, dernier album en date d’Aesthesys, qui entre dans la seconde catégorie, a mis autant de temps à avoir sa chronique.
Si je devais résumer en une phrase L’Héritage de Richelieu, je dirais « Les Lames du Cardinal, vingt ans après ». En effet, il s’agit là d’une suite officielle, signée Philippe Auribeau, de la trilogie de cape et d’épée de Pierre Pevel.
« Les étoiles sont alignées ». Les expressions lovecraftiennes, ce n’est pas trop mon truc, mais le slogan des Hydriades 2019 me paraît être le résumé le plus apte pour décrire cet événement ludique exceptionnel.
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