La fin du précédent tome de Jack Wolfgang laissait présager des tensions entre le loup gastronome éponyme, accessoirement agent de la CIA, et la panthère (également éponyme, dans le cas présent) qui accompagnait ses nuits. Ce troisième tome de la BD, intitulé donc Un Amour de Panthère, confirme la chose.
Somme toute, le titre du roman de Nicolas Genoud, Conflit d’intérêts – qu’il vient de lancer en même que sa propre structure, Punk Éditions – s’applique aussi à cette chronique. En effet, non seulement Nicolas est un ami, rôliste et coopérateur à 2D Sans Faces, mais il m’a offert ledit bouquin. Parce que c’est moi qui lui ai donné l’idée du personnage principal.
Un an après les événements de la saison 2, nous voici de retour à Hawkins, Indiana, début juillet 1985, pour une nouvelle saison de Stranger Things. Les enfants ont grandi, les adultes ont vieilli et, sans surprise, les menaces reviennent.
Un beau jour, quarante-trois femmes qui n’étaient pas enceintes cinq minutes avant donnent le jour, simultanément, à un enfant. Reginald Hargreaves, richissime entrepreneur excentrique, en élève sept comme ses propres enfants au sein de la Umbrella Academy.
Du rock progressif, une pochette steampunk, un album qui se veut un hommage à l’œuvre du maître de l’animation japonaise Hayao Miyazaki, Toki no Kaze du groupe The Samurai of Prog a, sur le papier, tout pour me plaire. En vrai, c’est un peu plus compliqué.
Vous connaissez le principe: princesse en détresse, coincée dans un donjon défendu par des monstres, le prince charmant déboule, ratatine l’adversité et repart avec la belle. Ouais. Ben dans ce premier tome de Raowl, Tebo nous raconte une histoire un peu différente.
Il y a des groupes qui défient toute catégorisation. Prenez Kauan: à l’origine, c’était un groupe de doom/black-metal. Ça n’a pas duré et Kaiho, leur septième album, continue dans une veine qui associe rock progressif, post-rock contemplatif et folk.
L’Interdépendance est un empire humain, éparpillé sur des dizaines de systèmes stellaires et relié par un “Flux” (Flow en anglais), des courants substellaires qui permettent de voyager plus vite que la lumière. C’est l’univers dans lequel se déroule The Collapsing Empire, nouvelle série de science-fiction signée John Scalzi et, au titre, on devine qu’il y a un problème.
Il fait beau, il fait chaud, c’est les vacances (enfin, plus pour moi) et c’est l’heure du bilan mensuel création et mécénat de juillet 2019, en retard mais juste un peu. Et, dans ce billet, je reviens sur tout ce que j’ai créé, donné et reçu le mois passé.
Après avoir mis fin au règne du superméchant The Terror, Arthur et The Tick vont pouvoir reprendre leur routine de superhéros. Enfin, aspirant superhéros dans le cas d’Arthur. Mais ce serait mal connaître le scénariste de The Tick, une des séries superhéroïques les plus barrées du moment.
Dans Good Omens, c’est bientôt la Fin des Temps, l’Apocalypse (en édition populaire), l’Antéchrist qui revient et la confrontation ultime entre Anges et Démons. Sauf pour deux spécimens, Aziraphale et Crowley (respectivement), qui ne sont pas vraiment pressés d’en découdre.
Avec The Regal Bastard, le musicien américain d’origine suédoise Nad Sylvan poursuit son histoire vampirique, commencée avec Courting the Widow et continuée par The Bride Said No (que je n’ai pas écouté), sous la forme d’un nouveau concept-album de rock progressif aux faux airs de Genesis.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑