La Horde de Barbarie, c’est la convention en bas de chez moi. Presque littéralement, d’ailleurs, puisqu’elle a lieu dans un bled à deux bornes en contrebas de là où j’habite.
Je dissertais récemment sur comment trouver du bon rock progressif via sites et revues; ça ne fonctionne pas à tous les coups. Témoin ce After All… signé en 2009 par le groupe français de néo-prog Eye 2 Eye.
Déjà cinq tomes avec ce Nanorigines et Freaks’ Squeele m’apparaît comme une de mes séries préférées, un délire construit à mi-chemin entre les univers de Harry Potter et d’In Nomine Satanis/Magna Veritas, le tout traité à la double sauce du manga shoujo et de l’humour décalé.
Il arrive que mon disquaire me propose des OVNI comme ce (Mankind) The Crafty Ape signé du groupe anglais Crippled Black Phoenix. Parfois, ça me plaît, mais dans le cas présent, ça me laisse surtout dubitatif.
C’est un tout petit billet très court signé Warren Ellis, dont le contenu peut se résumer à son titre: Any Sufficiently Advanced Civilization Is Indistinguishable From Nature.
C’est devenu notre virée bi-annuelle dans le sud de la France : Isa et moi étions au Festival international des jeux de Cannes (FIJ pour les intimes) ce week-end.
C’est au hasard de mes pérégrinations sur les stands de Zone franche que je suis tombé sur Salut Delcano!, de Raymond Milesi, le chaînon manquant entre la SF et San-Antonio.
Je ne suis pas un grand fan de Star Wars, mais ce qui m’amuse souvent plus, ce sont les parodies qui tournent autour, comme La Guerre du retour contre-attaque, un recueil de strips issus du webcomic français Yodablog.
Non, je n’avais jamais lu Pyongyang, le roman graphique de Guy Delisle, dessinateur québecois parti en Corée du nord pour superviser la production d’un dessin animé en 2001. Oui, j’ai un peu honte, mais un peu seulement.
Règle numéro 34: quel que soit le sujet, il en existe une version porno. Aucune exception. C’est une des multiples règles à laquelle Liz Kavanaugh, inspectrice de la police écossaise dans les années 2020, est confrontée quotidiennement dans Rule 34, le dernier roman de Charles Stross.
C’est sur les conseils d’Éric Nieudan qu’au milieu des frimas de saison, j’ai pris le chemin de la riante cité de Bagneux, l’édition 2012 de Zone franche Bagneux.
Je vous ai déjà parlé de Iron Sky, ce projet finlandais barré de film de science-fiction à propos de Nazis qui reviennent, septante ans plus tard, de leur base cachée sur la lune. Non seulement le film est terminé, mais qu’il sera présenté ce dimanche aux Berlinales.
Je ne sais pas si c’est la tendance ou une sorte d’accident statistique, mais après un mois de décembre plutôt raisonnable malgré deux semaines de hiatus, 2012 commence pour moi en fanfare, avec presque cinq euros de revenus Flattr.
En ces temps où on parle beaucoup de culture, la lecture d’un ouvrage comme Mainstream, de Frédéric Martel, est un salutaire rappel à la réalité.
Il y a deux catégories de post-rock: le sombre et le lumineux. La musique des Australiens de sleepmakeswaves fait partie des deux.
Je ne peux décemment pas passer sous silence la nouvelle de la traduction en français de Lady Blackbird : Contes de l’indomptable bleu du firmament.
Ayé, l’Apocalypse TPG m’a rattrapé! Ce n’est cependant pas pour me plaindre des transports publics genevois que j’écris ce billet. Au reste, ils n’ont pas grand-chose à voir dans l’histoire.
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