Au vu de mes comptes Flattr, septembre aura été un mois plutôt moyen, par rapport à mes objectifs d’autofinancement.
Et s’il existait une machine, un peu comme comme une unité de test sanguin, qui serait capable de dire comment nous allons mourir? C’est le point de départ de Machine of Death, un recueil de nouvelles.
Bon, c’est pas tout ça d’écrire des sujets qui font exploser mes stats, il est temps de retourner à mon anonymat habituel en reprenant les chroniques de rock progressif avec Grace for Drowning, le dernier album de Steven Wilson.
J’avoue – et les plus perspicaces d’entre vous l’avaient noté – que le billet précédent sur la difficulté du jeu de rôle de science-fiction était un peu pure provoc’.
Parmi les traditionnelles discussions de convention, une question qui est revenue souvent ce week-end pendant Octogônes, c’est celle de la difficulté de jouer de la science-fiction.
Est-ce moi qui fatigue ou The Tangent qui tourne en rond? Toujours est-il que j’ai beaucoup de mal avec leur dernier album, Comm.
Cette édition 2011 d’Octogônes a beau n’être que la deuxième du nom, je dois avouer que c’est un événement d’un fort beau gabarit.
Long Walk Home est l’album de Peter Gabriel dont vous n’avez sans doute jamais entendu parler et c’est bien dommage.
Partagée par Jess sur Facebook, cette “petite” bande dessinée intitulée Like an artist, par Jelly Vampire, est probablement une des plus belles illustrations que j’ai vue depuis un bon moment sur le thème de l’art et de la création.
Je dirais bien que Neal Morse – dont je vous avais déjà parlé pour son triple live – est un diable d’homme, mais comme c’est un fervent chrétien, ça pourrait être mal perçu; n’empêche que son deuxième album autobiographique, Testimony 2, prouve sans aucun doute l’un et l’autre.
C’est une phrase qui a fait son chemin sur Internet, née semble-t-il sur MetaFilter et qui m’est parvenu via l’inénarrable Pogo (qui signe ici sous le nom de Greg; oui, comme le docteur House): If you are not paying for it, you’re not the customer; you’re the product being sold.
Séance de rattrapage DVD hier soir avec District 9, film de science-fiction sud-africain de Neill Blomkamp que tout le monde, son frère et son petit chien a déjà vu depuis sa sortie en 2009. Et ce pour une bonne raison: il est bordélique, mais très bien.
Je vous avais déjà parlé du texte de Doc Searls A World of Ends, qui est sans doute la meilleure explication jamais écrite sur ce qu’est et, surtout, ce que n’est pas Internet. J’ai récemment noté que la version française, Un monde de bouts, n’était plus disponible en ligne; je l’ai donc copiée sur ce site depuis la Wayback Machine avec l’autorisation de son traducteur, Christophe Ducamp.
L’Art d’avoir toujours raison d’Arthur Schopenhauer est un classique qui décrit en trente-huit “stratagèmes” différentes façon de remporter une discussion, que l’on ait tort ou raison.
Comme mentionné il y a quelques jours, j’ai terminé une nouvelle version de la Campagne Lupanar. Je l’ai mise en ligne, même adresse que précédemment et toujours sous licence Creative Commons.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑