Quand j’avais annoncé, après quelques mois de pause, que je revenais au post-rock avec du lourd, je ne pensais pas forcément à cet album, mais comme 65daysofstatic est annoncé à Genève ce vendredi, je me suis dit que ça valait la peine de jeter une oreille sur Music for an Infinite Universe, leur dernier album.
Je sais: je suis faible. Hearts of Iron IV est sorti – le 6 juin, normal – et je l’ai immédiatement acheté sur Steam. Deux semaines plus tard, c’est le moment de faire un premier bilan.
Les soldes de Steam, c’est le Mal pour le porte-monnaie, mais c’est le Bien pour le gamer qui a quelques jours de vacances devant lui. C’est dans cette optique que j’ai raflé Tales from the Borderlands, un jeu d’aventure genre “point-and-click” qui se déroule, comme son nom l’indique, dans l’univers de Borderlands.
Oui, cette chronique parle du premier jeu vidéo Borderlands, celui sorti en 2009. Comme je suis quelqu’un d’ordonné et de méthodique, je les ai joué dans un ordre bien particulier, déterminé par une raison et une logique très précise.
C’est avec un plaisir non dissimulé (comprendre: une banane visible depuis l’orbite) que j’ai repris le chemin de Pandora. Pas celui d’Avatar, mais plutôt la planète SF/post-apo décalée du jeu vidéo de tir à la première personne Borderlands: The Pre-Sequel qui, comme son nom l’indique, est la suite-qui-se-passe avant de Borderlands 2.
Le dernier bidule sur lequel je passe trop de temps, aussi appelé “jeu vidéo”, c’est Nuclear Throne, un jeu du développeur indie Vlambeer publié sur Steam, au look pseudo-vintage (gros pixels et résolution en 320×200) et au thème post-apo. On (= quelqu’un sur Casus NO) me l’a vendu comme un Rogue-like et, s’il possède quelques points communs avec ce genre que j’aime bien, il n’a en fait pas grand-chose à voir.
Il est peu probable que vous ayiez pu échapper à la tempête fécale du nom de GamerGate. Je n’ai pas vraiment envie de m’étendre sur le caractère ultra-vomitif de toute cette affaire. Par contre, j’aimerais pointer vers un article du site Popehat, intitulé Ten Short Rants About #GamerGate.
Il y a les bons et les mauvais jeux free-to-play: le mauvais, il t’oblige à dépenser pour mieux jouer; le bon aussi, mais il est bon. Rise of Mythos (anciennement connu sous le nom Kings and Legends), le dernier coule-temps qui me scotche devant mon écran, fait partie des seconds.
Depuis le temps, vous devez connaître certains de mes réflexes pavloviens. Par exemple, il suffit de dire “bioshock” pour me voir faire comme Ian Fleming: des petits bonds partout. Du coup, l’annonce de la sortie de Bioshock Infinite sur Mac à la fin du mois passé a eu quelques effets délétères sur mon cerveau reptilien. Et sur mon compte en banque, aussi…
Je joue sans doute beaucoup plus aux jeux vidéo que je ne devrais, sans pour autant ne pas me considérer comme un hardcore gamer, mais je vais répondre aux questions du Traqueur Stellaire sur mon activité vidéoludique.
Si je vous reparle aujourd’hui de Borderlands 2, c’est parce que j’ai également téléchargé les quatre DLC et que c’est vraiment de la bonne!
Wreck-It Ralph n’aime pas qu’on lui marche sur les pieds – même si, vu la taille de ces derniers, ça relève de l’exploit – et a tendance à réagir à l’adversité en cassant tout. Ralph est un personnage de jeu vidéo Fix-It Felix Jr., qui va fêter ses trente ans, et il commence à en avoir doucement marre, non pas tant d’être le méchant, mais d’être salement déconsidéré par ses collègues de jeu. Il décide donc de devenir un héros.
Vous l’aurez sans doute constaté, c’est Noël.
(criquets)
Tout ceci pour vous dire que c’est Noël pour tout le monde, moi-même y compris, et que par conséquent, les mises à jour de ce blog vont quelque peu s’espacer, d’une part parce que je suis très occupé à digérer et, d’autre part, parce que je me suis lancé dans une frénésie de matage d’épisodes du Joueur du grenier.
Entre l’arrivée de Steam et une sorte de frénésie de portage de jeux plus ou moins récents, je me suis retrouvé ces temps-ci avec une belle quantité de jeux vidéos bien sympa. Le dernier en date, c’est Borderlands 2, un croisement jeu de rôle/jeu de tir à la première personne (un peu comme Deus Ex) dans un univers SF/post-apo/western à mi-chemin entre Fallout et Firefly, mais avec beaucoup plus de flingues.
Il fallait s’y attendre (et, à dire vrai, j’avais prévenu): sitôt Deus Ex bâché, je suis allé télécharger Diablo III. Oui, je sais, la boîte est moins chère, mais c’est une boîte et j’en ai déjà trop. Donc, téléchargement. J’appréhendais un peu, mais j’y avais un peu joué chez Fulgan auparavant et ça m’avait convaincu que c’était dans la lignée de ce que j’attendais: du combat bourrin.
Bon, maintenant que j’ai fini Deus Ex: Human Revolution, sorti sur Mac tout récemment, je vais pouvoir télécharger Diablo III. Comme ça va prendre une certain temps, je vais quand même vous parler un peu de ce jeu (Deus Ex, donc, je précise pour ceux qui n’auraient pas lu le titre de cet article; ne riez pas: ça arrive).
C’est brutal, une utopie qui ne veut pas mourir! Huit ans après la chute de Rapture, la cité sous-marine bâtie par Andrew Ryan pour appuyer ses thèses ultra-individualiste, Bioshock 2 nous renvoie dans cet univers rétro-futuriste déliquescent, cette fois dans la peau d’un Big Daddy, un de ces colosses en scaphandres accompagnées des Petites sœurs.
L’idée est à mettre au crédit de Cédric Ferrand. En d’autres termes, si elle vous casse le cerveau, c’est de sa faute. L’idée, donc: et si on intégrait au jeu de rôle sur table le concept de badges ou de trophées.
Mon dernier passe-temps en matière de jeu sur iPhone est W.E.L.D.E.R, qu’on pourrait le définir comme un croisement entre le Scrabble et les jeux de type Connect-4.
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