C’est le dernier jeu à la con à la mode sur le forum des paléorôlistes Casus NO: Yo MJ! Un concours d’insulte façon “ta mère”, mais avec “ton MJ”.
Petit florilège:
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Je dirais bien “ce qui ne fonctionne pas”, mais j’ai des Macs
Je suis arrivé hier soir à Helsinki pour assister à une conférence. Comme elle ne commence que dans quelques heures, j’en ai profité pour faire un peu le tour de la ville. Ce n’est pas une très grande cité, ça a été donc assez vite fait.
Dans notre grande et belle série des termes de recherche obscurs qui aboutissent sur ce blog, je viens de découvrir “jeux de mital slog” et “jeux de mital slog 2009”. Non, je n’ai pas la moindre idée de ce que ça veut dire et oui, j’ai fait la recherche sur Google et je n’ai pas …
Il y a des gens qui prennent la lutte contre les spammeurs un peu trop sérieusement. Ou pas assez. Témoin cette liste des quinze CAPTCHA les plus méchants, compilée par Oddee, le blog des bizarreries.
Un seul site vous manque et tout est dépeuplé! La disparition brutale du Guide du Rôliste Galactique, “le Grog” pour les intimes, à la fin de l’année passée avait plongé les rôlistes francophones dans un désarroi qui n’était pas sans rappeler le supporter de foot dont l’équipe préférée vient d’encaisser un score de baby-foot.
Mais tout cela, c’est du passé: le Grog est revenu, encore plus beau et plus fort qu’avant! Enfin, quand il n’est pas submergé par la horde d’impatients venus constater la somme des nouveautés.
Il faut dire ce qui est, les admins ont fait du bon boulot: non contents de sauver la base de données, qui contient une quantité indécente de jeux de toute la planète et leurs suppléments, ils ont rajouté autour une nouvelle interface plutôt plaisante et une palanquée de nouvelles fonctions: on peut désormais s’inscrire, composer sa collection de jeux d’un simple clic, rajouter des notes des auteurs, etc.
Depuis que j’ai découvert Journal d’un avocat, le blog de “maître” Eolas, il figure en bonne place dans mes flux RSS ainsi que, du coup, dans mes lectures régulières. Je n’ai donc pas pu manquer cette splendide profession de foi geek dans le dernier billet en date, “Prix Busiris pour madame Christine Albanel“: L’adoption de …
Il y a des gens qui se demandent pourquoi je fais partie de ceux qui considèrent Boulet comme un dieu vivant (ou, à tout le moins, comme le Nobilis) de la bande dessinée geek. Je vous renvoie pour en juger aux quatre planches de La Guerre des Mondes, dernière note en date du phénomène. Je …
Une petite note de pur copinage pour annoncer que Psychée vient de mettre en ligne une nouvelle version de son site qui, pour une raison qui échappe à peu près à tout le monde, s’appelle Alternative Reality.
Ça faisait un moment qu’Edomaur m’avait envoyé une invitation pour Dropbox, un système de stockage en ligne et de partage de fichiers, j’ai profité du bouclage de L’Ergartis, le nouveau supplément Tigres Volants, pour installer et tester le bazar. Bluffant! Sans aller jusqu’à dire que c’est le gadget Web 2.0 ultime, c’est super-pratique: l’inscription donne droit …
Je suis tombé un peu par hasard sur un article d’Ars Technica qui parle de Brütal Legend, un jeu vidéo qui va bientôt sortir. Les vieux de la vieille se rappelleront peut-être de Full Throttle, un jeu d’aventure bien décalé où on incarnait un motard; visiblement, Brütal Legend semble être de la même eau – ce qui est un peu normal, vu que c’est du même auteur, Tim Schafer.
Tout le monde connaît les notes autocollants, invention indispensable de la vie de bureau; moi-même, j’en utilise quelques mètres carrés chaque année pour noter des numéros de téléphone, laisser des messages aux collègues, marquer des pages à corriger ou indiquer que je suis encore en réunion et ce jusqu’à après-demain soir, inclus. Ça a un petit côté gadget qui fascine.
C’est stupide, mais ça me fait rire.
C’est une première: je viens de payer pour de la musique gratuite. En l’occurrence, ce n’est pas tout à fait exact: j’ai juste versé une petite somme sur le compte de JT Bruce, un artiste américain qui fait du prog-métal instrumental de plutôt bonne facture. La particularité étant que ses albums sont disponibles gratos sur Jamendo.
Cela fait un petit moment que j’ai découvert Jamendo, un site de musique en ligne qui a l’originalité de ne proposer que de la musique sous license Creative Commons. Je n’y suis pas resté très longtemps: j’ai déjà du mal à écouter sereinement la tonne métrique de disques que j’achète chaque année, ce n’est pas pour en rajouter une couche. Mais là, il se trouve que j’avais un trou dans mes achats, alors je suis allé y faire mon marché.
JT Bruce n’est pas un manche et même s’il n’y a pas tout qui me plaît dans ses albums (notamment des parties chantées/narrées qui n’apportent pas grand-chose), c’est de la belle ouvrage. Je recommande particulièrement son dernier album, Universica, qui est également téléchargeable sur son site.
Je me permets ici de réagir à la Lettre ouverte à des imbéciles postée par Psychée sur son blog (encore une excuse pour ne pas dessiner, feignasse!). Pas que je me sente concerné par l’adresse, mais plus par la tendance actuelle de prendre tout ce qui se trouve sur Internet pour argent comptant.
Le problème majeur est que, de plus en plus, des “gros” sites (notamment des version en ligne de journaux quotidiens) permettent aux lecteurs de commenter les articles. En soi, ce ne serait pas une mauvaise chose s’il y avait une modération digne de ce nom; le problème, c’est que la modération, ça demande d’avoir du personnel qui suit en permanence les discussions et qui gère les pénibles. En d’autres termes, ça coûte des sous et ça, c’est Mal.
S’il y a bien un truc que j’ai appris ces dernières années, notamment en participant à des conférences, c’est que le social, c’est bien si c’est bien géré; sinon, ça vire très vite au concours de celui qui a la plus grande (gueule), avec l’effet secondaire que l’excité avec un beuglophone est plus visible que cent interlocuteurs raisonnables et pondérés. Du coup, les interlocuteurs raisonnables et pondérés finissent par être dégoûtés et vont voir ailleurs s’ils y sont; restent les excités à beuglophones.
Vu qu’on approche de la date fatidique, il n’est pas impossible que le jeu vidéo Stalin vs. Martians soit un poisson d’avril très élaboré. En deux mots, c’est un jeu de stratégie en temps réel, à la Command & Conquer, dans lequel la glorieuse armée soviétique, commandée par un Staline disco, s’emploie à repousser les hordes de martiens venus envahir la Mère Patrie.
Je ne renouvellerai pas mon abonnement à City of Heroes. Voilà! C’est décidé.
Avant de partir en vacances, j’avais quelque peu mis de côté le jeu, en me disant que j’allais essayer de m’y remettre en rentrant. Je n’ai plus envie de m’y remettre.
Le concept de réalité augmentée n’a pas grand-chose à voir avec l’inflation. En très résumé, l’idée est de superposer, via l’informatique, une couche d’information supplémentaire sur notre vision “naturelle”. C’est un concept que l’on retrouve dans la littérature cyberpunk. Jusqu’à présent, c’était un truc un peu théorique, le genre de joujou qui fait fantasmer les …
En Égypte, j’ai pris le parti de ne prendre que le eeePC et pas ma grosse brique en alu de MacBook Pro. Comme ça, pour voir.
Il y a du bon et du moins bon.
Première constatation: sans réseau, un eeePC, ça n’est pas très utile. C’est clairement un machin conçu pour être utilisé en conjonction avec des services en ligne et, du coup, sans Internet, ça fait un peu boguet sans moteur: ça avance encore, mais les défauts de base du machin sont nettement plus évidents.
Le deuxième volume des Notes de Boulet, intitulé “Le petit théâtre de la rue”, est sorti et je vais avoir du mal à en parler sans répéter tout le bien que j’avais déjà dit du premier volume dans une autre incarnation de ce blog.
Pour ceux qui n’étaient pas là à l’époque, Notes est une compilation des planches parues sur le blog de Boulet entre juillet 2005 et juillet 2006, agrémentée d’une histoire fil rouge inédite, qui emmène notre valeureux auteur/héros pour une convention dans les tréfonds de la France profonde.
Ce sont un peu les tranches de vie d’un geek ordinaire, avec sa fainéantise profonde, son addiction à Internet, ses voyages exotiques, son incompétence crasse à faire la cuisine et son kazoo. Ça a l’air obscur, comme ça, mais, à la lecture, on comprend bien tout et on rit beaucoup aussi. Le défaut principal du premier album, à savoir la lisibilité pénible de certaines planches, semble avoir disparu; je soupçonne que c’était bêtement un problème de format.