Poly-Games 2020
Les étoiles sont alignées, les Grands Anciens sont de retour. Ce Grand Ancien répond au nom indicible de Poly-Games, convention de jeux sise à Sierre.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Les étoiles sont alignées, les Grands Anciens sont de retour. Ce Grand Ancien répond au nom indicible de Poly-Games, convention de jeux sise à Sierre.
La convention La Tête dans la Lune est une de mes frustrations ludiques de ces dernières années, car tombant en même temps que celle du Dé qu’à Dents.
Une sinistre malédiction pèse sur la convention Octogônes: le dimanche, il pleut. Cette édition 2019 de la grande convention de jeux lyonnaise n’a pas fait exception, mais c’est le principal défaut qu’on peut lui trouver. Le fait qu’on finisse sur les rotules ne compte pas: c’est comme ça à toutes les conventions.
Et donc, je suis allé à Divinasion, comme chaque ann… Ah, non: l’année passée, je n’y étais pas. Bon, presque toutes les années, alors. Divinasion, c’est donc la conv’ en Sion. Ha! Ha!
Bon, faut quand même que je vous raconte ma virée en Auvergne, la « retraite ludique » dont je vous parlais la semaine passée. À l’origine, l’idée est de Jean-Paul, qui est originaire de la région: il avait appelé ça Le Buron des Joueurs.
Nouvelle année, nouvelle édition de la Japan Expo, à Paris. Cette année, c’est même la vingtième. Rien que! Ma première, c’était en 2004 au CNIT de La Défense: j’y étais allé pour faire la chasse aux illustrateurs pour Tigres Volants.
« Les étoiles sont alignées ». Les expressions lovecraftiennes, ce n’est pas trop mon truc, mais le slogan des Hydriades 2019 me paraît être le résumé le plus apte pour décrire cet événement ludique exceptionnel.
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après la très grande Trolls & Légendes, la grande et locale Orc’idée, me voici invité pour la deuxième Journée des mondes oniriques, à Charleville-Mézières.
Ceux qui suivent mon activité sur les réseaux sociaux – oui, je sais, c’est le Mal – ont peut-être vu passer l’annonce de ma présence sur le stand du Gahelig, pendant le Salon du livre de Genève. C’était le week-end passé et c’était cool.
En l’an de grâce deux mille et dix-neuf, qu’il soit connu que, sis en les locaux de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne, dans les territoires helvètes, se tint la grande réunion ludique, dite Orc’idée, sous le haut patronage de Son Éminence la Cardinale.
À l’heure où j’écris ces lignes, on est lundi matin, je suis dans un vieux train régional quelque part dans le nord de la France, j’ai mal aux pieds et quelques restes de gueule de bois et, malgré tout, une certaine forme d’euphorie: pas de doute, c’est un lendemain de Trolls & Légendes.
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après Ludesco et sa démesure de l’autre côté de la Romandie, ce samedi avait lieu la convention de La Horde, au Grand-Lancy.
Comme le temps passe vite: déjà la dixième édition de Ludesco, la convention qui, le temps d’un (gros) week-end, transforme la cité neuchâteloise de La Chaux-de-Fonds en salle de jeux géante.
Japan Impact a ouvert les portes de sa onzième édition à l’EPFL ce week-end. Et, comme d’habitude, j’ai sorti le matos photo et joué les journalistes embedded auprès de ma cosplayeuse d’épouse.
Il est samedi matin, je prends le train pour Monthey – proverbiale terre de mes ancêtres – et la Convention du Dé qu’a dents, le club de jeux chablaisien. Si vous avez lu le live report d’hier, vous aurez complété: “je prends le train à Aarau”. Un petit détour, mais ça en valait (sans jeu de mot) la peine.
Et nous voici reparti pour Sion et pour Destination Tokyo, la plus grande des petites conventions cosplay de Suisse! Enfin, c’est un peu plus compliqué que ça: vu que j’ai traîné toute cette semaine une méchante bronchite, j’ai décidé de rejoindre ma dame que le samedi matin.
Ce week-end, premier d’octobre, c’était la désormais habituelle convention OctoGônes, à Lyon. Je dis « désormais habituelle » parce que ça fat bien la sixième à laquelle je participe avec les amis et collègues de 2D Sans Faces.
Salins-les-Bains, vous connaissez? Moi non plus. Enfin, jusqu’à ce samedi et ma présence aux Journées du Livre à la médiathèque de cette petite ville du Jura français. J’y étais invité pour présenter le jeu de rôle Freaks’ Squeele: faire des parties, mais pas seulement.
En théorie, le week-end de la Japan Expo aurait dû être studieux, avec multiples parties de Freaks’ Squeele dans l’antre des otakus. Comic-Con staïle, quoi. Ça ne s’est pas fait, du coup ma dame et moi y sommes allés en touristes.
Il semble qu’une “évolution pokémon” classique des conventions en Suisse romande implique de relocaliser l’événement au Palais de Beaulieu, à Lausanne. Après Polymanga et Japan Impact, c’est le cas cette année du Swiss Fantasy Show. Précédemment hébergée au Théâtre de Beausobre (et dans l’école voisine), à Morges, la manifestation geek bisannuelle est donc venue garer …