Mastodon

Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

Nümph: Theories of Light

Les groupes italiens nous ayant plutôt habitué à une fragrance particulière du rock progressif dinosaurien ou du métal symphonique à grand spectacle, il faut doublement saluer Nümph, d’une part pour explorer les rivages du métal progressif et, d’autre part, pour le faire avec brio via ce Theories of Light d’excellente tenue.

Russian Circles: Memorial

En matière de post-rock, même si le genre est un peu fermé et en manque d’évolution, il y a tout de même une large gamme d’approches, de la plus calme à la plus brutale. Les Américains de Russian Circles sont plus proches de la seconde, comme on peut le constater à l’écoute de leur très bon nouvel album, Memorial.

Alcest: Shelter

Il était une fois, un jeune homme appelé Neige, qui, avec son compère Winterhalter, faisait du black-métal. Un beau jour, il décida de créer un groupe qui s’appelait Alcest et qui essayait de faire la musique la plus diamétralement opposée que possible. Au cours des années, il créa des albums où les accents de métal disputaient aux élans aériens et, finalement, il créa Shelter.

Rhapsody of Fire: Dark Wings of Steel

Je pense que l’expression qui, pour moi, définit le mieux les albums de Rhapsody of Fire – à commencer par le dernier en date, Divine Wings of Steel – c’est « plaisir coupable ». Objectivement, le métal de l’ex-bande à Luca Turilli n’est pas très original, pas toujours très fin ni même très bon, mais il sonne juste à toute personne qui aime le métal symphonique, voire le métal tout court.

The Psychedelic Ensemble: The Tale of the Golden King

Je ne vous referai pas mon cours habituel sur le rétro-progressif: sachez que cet album, The Tale of the Golden King, du multi-instrumentiste américain qui opère sous le nom de The Psychedelic Ensemble (à lui tout seul; il s’fend la gueule), en est et que, malgré tout, il est très bien.

Leaves’ Eyes: Symphonies of the Night

Dans le métal symphonique, surtout dans sa variante à voix féminines, il y a (comme pour tout) du bon et du moins bon. Le groupe norvégien Leaves’ Eyes confirme, avec ce Symphonies of the Night, qu’il appartient à la première catégorie, même si l’album est peut-être un ton en-dessous du précédent, Meredead.

Kauan: Pirut

Il y a des groupes dont je ne me lasse pas de dire du bien: le duo russe Kauan, qui propose un croisement entre post-rock mélancolique et doom, est de ceux-ci et leur nouvel album, Pirut, ne risque pas de me faire changer d’avis.

Caspian: Waking Season

Waking Season, l’album du groupe américain de post-rock Caspian, m’a été recommandé par une étrange chronique du site Clair & Obscur, qui disait en substance que le post-rock ne pouvait pas vraiment évoluer, vu qu’il était issu, tel une divinité grecque, pleinement formé du rock progressif.

Coshish: Firdous

Vous allez encore dire que je cherche, mais Coshish est un groupe de rock progressif indien (comme dans « d’Inde »; pas amérindien) et leur dernier album Firdous est une excellente surprise. Découvert via une chronique parue sur Progarchives, le groupe propose un rock progressif aux influences métal marquées, somme toute assez classique et dans la ligne du rock progressif contemporain, mais avec un chant en hindi.

Herd of Instinct: Conjure

Ne vous fiez pas à la pochette: Conjure, le dernier album de Herd of Instinct, n’est pas un énième avatar de goth-métal symphonique. Le groupe texan signe ici un deuxième album instrumental qui allie rock progressif, jazz, RIO, space-rock et pas mal d’autres influences.

Tesseract « Altered State » mon album de l’année 2013

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Je ne sais pas pour vous, mais, musicalement, mon année 2013 a été très prog et cela s’en ressent dans mon classement des albums sortis cette année, au sommet duquel je place Altered State, de TesseracT. Suivent de très près The Mountain, de Haken et Coal, de Leprous.

65daysofstatic: Wild Light

Double dose d’électro/post-rock, d’une part, et de 65daysofstatic, d’autre part, puisque voici Wild Light, dernier album studio en date du groupe anglais. Autant dire que, si le virage électro esquissé sur Silent Running est ici confirmé, Wild Light montre aussi un retour vers un aspect plus agressif.

Teeth of the Sea: MASTER

Soudainement, out of fucking nowehereTeeth of the Sea et son troisième album, MASTER. Quatuor londonien plutôt catégorisé dans le post-rock, il livre ici un opus à mi-chemin entre le post et l’électro, un croisement sauvage entre les mélodies les plus planantes de God Is An Astronaut et les parties les plus percutantes d’un Pendulum.

Primasch à Genève

Jeudi soir, je suis allé voir Primasch and the Tzigan Dreams’ Collector, groupe que l’on m’avait vendu comme du klezmer-métal, dans la microscopique salle de la Taverne de la République, à Genève.

Nightwish: Showtime, Storytime

C’est bientôt Noël et, pour les fans du célèbre groupe de métal symphonique finlandais, Nightwish a pensé à vos petits souliers: Showtime, Storytime est un album live enregistré au festival Wacken Open Air cette année et il contient une surprise de taille: l’arrivée de Floor Jansen comme chanteuse attitrée.

Discipline: This One’s For England / Unfolded Like Staircase

L’année passée, le groupe américain de rétro-progressif Discipline avait fait très forte impression sur moi avec un album qui allait chercher son inspiration auprès des mânes de Van der Graaf Generator et ELP, puis en transcendait le modèle. La sortie de leur album live This One’s For England a été l’occasion pour moi de découvrir également leur précédent opus, Unfolded Like Staircase.

Shinray: Stage 01

Au hasard de mes pérégrinations musicales, je tombe parfois sur des billets très enthousiastes qui m’encouragent à tester des nouveaux groupes. Dans le cas présent, Stage 01 est le premier album du groupe français Shinray et j’en dois la découverte à un de ses musiciens, Stéphane Albanese, croisé sur Google+ (vous voyez qu’il sert à quelque chose, ce réseau).

David Maxim Micic: Bilo 3.0

Ah que qui ça? David Maxim Micic, vous dites? Et son album qui s’appelle Bilo 3.0, genre pour de vrai? Bon, je vais vous la faire courte: ce type, originaire de Belgrade, est le fils caché de Devin Townsend et Joe Satriani. Oui, rien que.

Pelican: Forever Becoming

Parfois, ça fait du bien de prendre du recul. Dans le cas de Pelican, groupe de post-métal US qui a été ma porte d’entrée sur le genre, il s’est écoulé quatre ans entre ce nouveau Forever Becoming et le précédent, What We All Come To Need.

Parlez-vous death metal?

Je crois que c’est un exploit: on a trouvé plus prétentieux que le rock progressif. Je suis tombé, via Boing Boing, sur un article du blog Invisible Oranges intitulé Death Metal English, qui explique les différences fondamentales entre l’anglais traditionnel et celui des paroliers de death metal.

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