Si The Octopus, le précédent album du groupe anglais Amplifier, m’avait perplexifié par son trop grand éclectisme, Echo Street rectifie le tir en proposant une musique bien plus cohérente, empruntant à la fois au rock progressif mélancolique et aux anciens “grands maîtres” du genre, mais au détriment d’une certaine originalité.
Psychoanorexia de T est un album qui m’impressionne et m’enthousiasme, une sorte de panorama de quarante ans de rock progressif.
L’album éponyme du groupe canadien Space Monster, nonobstant le fait que c’est un premier album, ne m’impressionne pas vraiment pas son rétro-progressif à la production catastrophique.
Si Fog Electric, le nouvel album des Écossais de North Atlantic Oscillation, était – par les hasards de l’alphabet – le premier de ma playlist à nouveautés, il m’a fallu un moment pour en faire suffisamment le tour et le chroniquer ici.
The Weight of the World, de Sanguine Hum, c’est du rétro-progressif, qui rappelle un peu Genesis et beaucoup Yes, spécialisé dans les morceaux atmosphériques, lents ou mid-tempo.
Le rock progressif est un genre qui supporte assez mal la médiocrité; du coup, quand on tombe sur un album assez moyen, comme c’est le cas de ce In The Abstract du groupe italien Mytho (déjà, le nom n’est pas très heureux…), le chroniqueur est un peu embêté.
Donc, Songbook #1, de The Vicar… Comment dire? J’avoue, cet album a fait partie de la grande rafle gibertienne de début juillet et je l’ai ramassé dans un réflexe quasi-pavlovien. “Réflexe”, dans ce cas, rime avec “perplexe”.
Progstravaganza I-IX est un monstre: une compilation de compilations de rock progressif totalisant septante-neuf morceaux et près de dix heures de musique au total! Le tout téléchargeable pour le prix que vous voulez.
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