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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

Crisálida: Solar

Vous allez finir par croire qu’il y a des albums que j’achète exclusivement pour parfaire une collection géographique, façon Pokémon, mais, dans le cas de Solar, troisième album en date de Crisálida (attention, site en espagnol), vous auriez tort: j’ai déjà des groupes chiliens (enfin, un: Platurno).

Haken: The Mountain

Chroniquer un album comme The Mountain, de Haken, c’est un petit peu ouvrir le bal des métaphores: insérez ici multiples comparaisons avec pics inaccessibles, légendes divines, escalades héroïques et oxygène raréfié au sommet.

Bader Nana: Anthology

Avec ce billet sur Anthology, son dernier album en date, vous allez peut-être croire que je fais une obsession sur Bader Nana, musicien libanais de rock progressif qui vit au Koweït et dont je vous avais déjà parlé pour Wormwood.

Athelstone: The Quiet Before the Storm

The Quiet Before the Storm, du trio maltais Athelstone, est un de ces albums que j’achète sur la foi de critiques plus passionnées que raisonnées, généralement à base de name-dropping enthousiaste et de comparaisons pas toujours pertinentes. Parfois, je le regrette, parfois pas; le plus souvent, je suis perplexe.

Haelo: Ageusia

J’ai connu – et même récemment chroniqué – des premiers albums bien moins convaincants que ce Ageusia de Haelo: dans le genre métal progressif de haut vol, ça me rappelle Breaking Orbit, c’est dire!

Tristania: Darkest White

Dans le petit monde merveilleux du métal symphonique, Tristania semble véritablement être un cas à part et son nouvel album, Darkest White, le prouve une fois de plus. En gros, si vous vous attendez à un énième clone de “Within Epic Wish”, vous allez être déçu: certes, il y en a aussi, mais pas que.

 

Amaze Knight: The Key

J’imagine que ce doit être de plus en plus difficile de se faire un nom dans la musique en général et dans le métal progressif en particulier. Pourtant, le groupe italien Amaze Knight propose, avec The Key, un album qui pourrait bien y contribuer.

Amplifier: Echo Street

Si The Octopus, le précédent album du groupe anglais Amplifier, m’avait perplexifié par son trop grand éclectisme, Echo Street rectifie le tir en proposant une musique bien plus cohérente, empruntant à la fois au rock progressif mélancolique et aux anciens “grands maîtres” du genre, mais au détriment d’une certaine originalité.

Bader Nana: Wormwood

Ah ben tiens: du rock progressif libanais, ça manquait à ma collection! L’artiste en question s’appelle Bader Nana et l’album dont je compte vous causer aujourd’hui est Wormwood, même si ce n’est pas son plus récent.

T: Psychoanorexia

Psychoanorexia de T est un album qui m’impressionne et m’enthousiasme, une sorte de panorama de quarante ans de rock progressif.

Shining+Enslaved: Armageddon Concerto

Je crois qu’il n’y a qu’en Norvège qu’un festival de jazz invite deux groupes de métal extrême pour créer une composition originale d’une heure et demie. Ça s’appelle Armageddon Concerto et c’est signé Shining et Enslaved

Space Monster

L’album éponyme du groupe canadien Space Monster, nonobstant le fait que c’est un premier album, ne m’impressionne pas vraiment pas son rétro-progressif à la production catastrophique.

North Atlantic Oscillation: Fog Electric

Si Fog Electric, le nouvel album des Écossais de North Atlantic Oscillation, était – par les hasards de l’alphabet – le premier de ma playlist à nouveautés, il m’a fallu un moment pour en faire suffisamment le tour et le chroniquer ici.

Stealing Axion: Moments

Moments, le nouvel album du groupe américain Stealing Axion, part avec un gros handicap: c’est du métal progressif tendance djent que j’ai écouté après le dernier TesseracT.

Sanguine Hum: The Weight of the World

The Weight of the World, de Sanguine Hum, c’est du rétro-progressif, qui rappelle un peu Genesis et beaucoup Yes, spécialisé dans les morceaux atmosphériques, lents ou mid-tempo.

Shining: One One One

Je ne sais pas très bien ce qui m’a poussé à acheter One One One, album du groupe norvégien Shining. Parce que mélanger jazz, rock progressif et métal extrême, c’est brutal!

Until Rain: Pandemic

J’ai découvert le groupe grec Until Rain au travers de leur récent EP, Pandemic, qui propose un métal progressif qui rappelle celui du Fates Warning des débuts. 

Mytho: In The Abstract

Le rock progressif est un genre qui supporte assez mal la médiocrité; du coup, quand on tombe sur un album assez moyen, comme c’est le cas de ce In The Abstract du groupe italien Mytho (déjà, le nom n’est pas très heureux…), le chroniqueur est un peu embêté.

The Vicar: Songbook #1

Donc, Songbook #1, de The Vicar… Comment dire? J’avoue, cet album a fait partie de la grande rafle gibertienne de début juillet et je l’ai ramassé dans un réflexe quasi-pavlovien. “Réflexe”, dans ce cas, rime avec “perplexe”.

Progstravaganza I-IX

Progstravaganza I-IX est un monstre: une compilation de compilations de rock progressif totalisant septante-neuf morceaux et près de dix heures de musique au total! Le tout téléchargeable pour le prix que vous voulez.

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