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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

Sirenia: Perils of the Deep Blue

Dans la série des groupes “comme son nom (et sa pochette) l’indique”, aujourd’hui les Norvégiens de Sirenia, dont le nouvel album, Perils of the Deep Blue, est une illustration quasi-parfaite du métal symphonique à voix féminine.

Leafblade: The Kiss of Spirit and Flesh

En règle générale, je ne suis pas un grand fan du folk progressif, mais The Kiss of Spirit and Flesh de Leafblade m’apparaît comme étant une des meilleures productions du moment et du genre.

Symphony MétalFest

Ah, Lausanne, terre de festivals… Oui, bon, on rigole, on rigole, mais entre le (défunt, je pense) Stormfest et l’Inferno – pour ne parler que de métal – la ville qui a les dalles en pente se défend plutôt pas mal et le Symphony MétalFest pourrait bien être un nouveau rendez-vous pour les amateurs de métal symphonique, l’année prochaine.

The Ocean: Pelagial

J’ai quelque peu hésité avant d’acheter le nouvel album de The Ocean, intitulé Pelagial. Non pas que mes expériences précédentes avec ce groupe de post-métal allemand (avec des vrais morceaux de Suisse dedans) aient été mauvaises, mais ça me paraissait un peu bizarre.

King Crimson: The Power to Believe

J’admets: même si The Power to Believe est le dernier album en date de King Crimson, on ne peut pas vraiment dire que c’est une nouveauté, puisqu’il est sorti il y a dix ans. Mais, comme j’ai profité d’un raid sur Gibert Musique pour le ramasser (les albums du groupe n’étant pour la plupart pas disponibles en numérique) et, rebondissant sur une chronique récente de Ben Felten, j’en profite pour parler également du groupe dans son ensemble.

Métrock

Ceux qui me suivent depuis un moment savent à quel point il m’est difficile de résister à un jeu de mot, surtout s’il est foireux. Alors toute une carte du métro parisien remplie de jeux de mots foireux et d’à-peu-près crapuleux sur des groupes de rock, vous pensez!

Moon Safari : Lover’s End part III

C’est un tout petit disque que ce Lover’s End part III de Moon Safari, épilogue à l’album Lover’s End. Oui, mais c’est un grand moment de bonheur progressif !

This Misery Garden: Cornerstone

J’attendais Cornerstone, premier album du groupe suisse (et même genevois) This Misery Garden, depuis que mon crémier habituel me l’ait chaudement recommandé et que le groupe fasse la première partie de Moonspell à Lausanne (avec Insomnium). Mais j’avoue être un peu déçu; je me suis auto-moubourré…

The Tangent: Le Sacre du Travail

Sacré The Tangent! Fidèle au poste, toujours là quand il s’agit de faire du rock progressif à la façon des années 1970 (ce groupe faisait du rétro-prog avant que ça ne devienne cool, si tant est que cela ne l’ait jamais été) et des concept-albums abscons, comme Le Sacre du Travail, ode caustique et symphonique à la vie moderne.

Scarlean

Ça faisait un petit moment que je me promettais de chroniquer ce premier album de Scarlean, un jeune groupe français de métal progressif.

The Mars Chronicles

Hommage à Ray Bradbury? J’ai des doutes sur le fait que l’intéressé (qui est récemment mort d’autre chose) ait été très porté sur le métal progressif – certes très intéressant à l’aune de ce premier EP éponyme – de The Mars Chronicles.

Borderline Syndrome: Stateless

Il y a des fois où je me dis que je suis trop influençable, comme par exemple quand j’achète l’album d’un groupe grec totalement inconnu – en l’occurrence Stateless, de Borderline Syndrome – sur la seule foi d’une chronique lue je ne sais même plus où (sans doute Progarchives).

Orphaned Land: All Is One

La troisième baffe de ce mois de juin, remarquablement riche en sortie de qualité, c’est All Is One, le nouvel album de Orphaned Land. Le groupe de métal le plus susceptible d’obtenir un Prix Nobel de la Paix est de retour avec son habituel mélange improbable de métal symphonique et de musique traditionnelle moyen-orientale.

TesseracT: Altered State

Les Anglais de TesseracT étaient sur ma liste des groupes à surveiller de près depuis One, leur impressionnant mais foutraque premier album. Altered State, qui vient de sortir, confirme que, dans le petit monde parfois un peu étriqué du rock et du métal progressif, il est possible de sortir des sentiers battus et produire quelque chose de neuf.

Leprous: Coal

Leprous est un groupe norvégien dont j’entends parler depuis un petit moment, mais je n’ai réellement sauté le pas qu’avec ce Coal, leur nouvel album paru tout récemment. Le moins que je puisse en dire, c’est que je ne suis pas déçu, mais également que je ne sais pas trop par quel bout le prendre.

Flicker: How Much Are You Willing to Forget?

Si vous n’aimez pas le rock progressif et, plus précisément, le néo-prog, passez votre chemin! Parce que ce How Much Are You Willing to Forget?, premier album du groupe britannique Flicker, est tellement représentatif du genre que c’en est presque douloureux.

Alms: Beyond

Le FBDM de Mike Oldfield a encore frappé, cette fois avec Beyond, un mini-album instrumental du projet ALMS – autrement dit, du multi-instrumentiste espagnol Aitor Lucena – via une chronique plutôt positive parue dans Progarchives.

Jupiter Society: From Endangered to Extinct

Accrochez-vous à vos tachyons: Jupiter Society revient! Et, si la nouvelle a de quoi réjouir, eux ne sont pas contents. From Endangered to Extinct est un concept-album de métal symphonique progressif sur une thématique de science-fiction: l’anéantissement de l’humanité par un ennemi implacable.

Deep in Thought: Verses

Recommandé par des chroniques de Progarchives, cet album Verses du projet Deep in Thought est une très belle découverte dans le domaine post-rock/post-métal instrumental, tendance atmosphérique, ce à un prix défiant toute concurrence.

Deventter: Empty Set

Le moins qu’on puisse dire de Empty Set, le nouvel album du groupe brésilien de métal progressif brésilien Deventter, c’est qu’il ne mérite pas son nom. Quantitativement, d’abord, parce qu’il aligne la bagatelle de quatorze morceaux et septante-trois minutes et, qualitativement, parce que c’est du très bon.

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