Psychoanorexia de T est un album qui m’impressionne et m’enthousiasme, une sorte de panorama de quarante ans de rock progressif.
L’album éponyme du groupe canadien Space Monster, nonobstant le fait que c’est un premier album, ne m’impressionne pas vraiment pas son rétro-progressif à la production catastrophique.
Si Fog Electric, le nouvel album des Écossais de North Atlantic Oscillation, était – par les hasards de l’alphabet – le premier de ma playlist à nouveautés, il m’a fallu un moment pour en faire suffisamment le tour et le chroniquer ici.
The Weight of the World, de Sanguine Hum, c’est du rétro-progressif, qui rappelle un peu Genesis et beaucoup Yes, spécialisé dans les morceaux atmosphériques, lents ou mid-tempo.
Le rock progressif est un genre qui supporte assez mal la médiocrité; du coup, quand on tombe sur un album assez moyen, comme c’est le cas de ce In The Abstract du groupe italien Mytho (déjà, le nom n’est pas très heureux…), le chroniqueur est un peu embêté.
Donc, Songbook #1, de The Vicar… Comment dire? J’avoue, cet album a fait partie de la grande rafle gibertienne de début juillet et je l’ai ramassé dans un réflexe quasi-pavlovien. « Réflexe », dans ce cas, rime avec « perplexe ».
Progstravaganza I-IX est un monstre: une compilation de compilations de rock progressif totalisant septante-neuf morceaux et près de dix heures de musique au total! Le tout téléchargeable pour le prix que vous voulez.
En règle générale, je ne suis pas un grand fan du folk progressif, mais The Kiss of Spirit and Flesh de Leafblade m’apparaît comme étant une des meilleures productions du moment et du genre.
Ceux qui me suivent depuis un moment savent à quel point il m’est difficile de résister à un jeu de mot, surtout s’il est foireux. Alors toute une carte du métro parisien remplie de jeux de mots foireux et d’à-peu-près crapuleux sur des groupes de rock, vous pensez!
C’est un tout petit disque que ce Lover’s End part III de Moon Safari, épilogue à l’album Lover’s End. Oui, mais c’est un grand moment de bonheur progressif !
Sacré The Tangent! Fidèle au poste, toujours là quand il s’agit de faire du rock progressif à la façon des années 1970 (ce groupe faisait du rétro-prog avant que ça ne devienne cool, si tant est que cela ne l’ait jamais été) et des concept-albums abscons, comme Le Sacre du Travail, ode caustique et symphonique à la vie moderne.
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