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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

Karnivool: Asymmetry

Parmi les groupes de métal progressif, il y a ceux qui font plus métal et ceux, comme les Australiens de Karnivool, qui font plus dans le progressif, comme le prouve leur album Asymmetry. Décidément, l’Australie est une terre riche en groupes de métal progressif intéressants!

Fates Warning: Darkness in a Different Light

Après Dream Theater et James LaBrie, c’est au tour d’un autre Grand Ancien du métal progressif de faire son retour: Fates Warning sort un nouvel album, Darkness in a Different Light. Il ne manquerait plus que Queensrÿche ne… oh, waitil y en a même maintenant deux!

James LaBrie: Impermanent Resonance

On reconnaît souvent les artistes de rock ou de métal progressif au fait qu’ils ont un, parfois deux groupes réguliers et environ mille douze projets parallèles. James LaBrie, chanteur de Dream Theater, n’est pas en reste et sort Impermanent Resonance, son troisième album sous son nom propre (plus deux sous le nom de Mullmuzzler).

Minutian: Repercussions

Il y a des groupes dont la description tient pas mal de la recette de cuisine, tel Minutian, combo finlandais de métal progressif qui, avec leur premier album Repercussions nous livre un métal que j’estimerais à une moitié de Fates Warning, un tiers de Tool et le reste en influences diverses et éléments réellement originaux.

Wild Nation / Coverkill / Nanowar à Genève

J’avoue: quand j’ai vu l’affiche de ce concert de Wild Nation, Coverkill et Nanowar à l’Usine de Genève, mon cerveau a juste perçu « Nanowar » et « Genève ». Après avoir vu la description des autres groupes (surtout celle de Coverkill), j’en ai conclu que ça allait être une bonne soirée de nawak-métal et je ne me suis pas trompé.

Devin Townsend: The Retinal Circus

Résumons: The Retinal Circus est un double album live de Devin Townsend, qui est probablement un des musiciens les plus barrés dans le petit monde du métal en général et du métal progressif en particulier. Et le show qu’il partage pendant plus de deux heures est à son image.

Lifesigns

La mode semble être aux groupes éponymes de leurs albums (comme j’ai appris qu’on dit en vrai, quand on a des lettres), témoin Lifesigns (attention: autoplay), un trio de musiciens anglais expérimentés qui se lancent dans « un nouveau genre de rock progressif ». Mouais, c’est eux qui le disent, parce que leur nouveau prog ressemble fichtrement à l’ancien néo-prog!

Moon Safari: Himlabacken vol. 1

En ces jours où la brume et le froid reviennent et où les nuits s’allongent, il est bon de pouvoir compter sur le rock progressif solaire d’un groupe comme Moon Safari, qui nous revient avec Himlabacken vol. 1, leur nouvel album. Encore qu’on pourrait dire qu’à l’instar de la météo de ce début d’automne, cet album réserve d’excellents moments, mais également quelques douches froides.

Dream Theater

Or donc, Dream Theater sort un nouvel album, qui a pour titre… Dream Theater. Il faut déjà vous dire qu’entre le groupe de métal progressif américain et moi, il y a une longue histoire. Genre, pas loin de vingt-cinq ans. Pour donner une idée, je connais mon épouse depuis moins longtemps que cela.

Serenity: War of Ages

J’ai l’impression qu’il y a, entre Kamelot et Serenity, une sorte d’accord: une année, ce sont les premiers qui sortent un album et l’autre, les seconds. Cette année, c’est le tour de Serenity, qui nous balance, avec War of Ages, sa nouvelle fournée de power-métal symphonique.

Bruce Soord with Jonas Renkse: Wisdom of Crowds

Bruce Soord, c’est Pineapple Thief; Jonas Renkse, c’est Katatonia. Le premier écrit, le deuxième chante et mon tout, c’est Wisdom of Crowds, un album bizarroïde qui n’a à peu près rien à voir avec les deux groupes précités.

Dyonisis: Intoxicated

Parmi les choses très bizarres que j’ai pu écouter au cours de mes folles années, il y avait Bel Canto, un groupe de pop-rock-électro-avant-l’heure à voix féminines, dont je retrouve quelques intonations dans Intoxicated, le premier album des britanniques de Dyonisis.

Crisálida: Solar

Vous allez finir par croire qu’il y a des albums que j’achète exclusivement pour parfaire une collection géographique, façon Pokémon, mais, dans le cas de Solar, troisième album en date de Crisálida (attention, site en espagnol), vous auriez tort: j’ai déjà des groupes chiliens (enfin, un: Platurno).

Haken: The Mountain

Chroniquer un album comme The Mountain, de Haken, c’est un petit peu ouvrir le bal des métaphores: insérez ici multiples comparaisons avec pics inaccessibles, légendes divines, escalades héroïques et oxygène raréfié au sommet.

Bader Nana: Anthology

Avec ce billet sur Anthology, son dernier album en date, vous allez peut-être croire que je fais une obsession sur Bader Nana, musicien libanais de rock progressif qui vit au Koweït et dont je vous avais déjà parlé pour Wormwood.

Athelstone: The Quiet Before the Storm

The Quiet Before the Storm, du trio maltais Athelstone, est un de ces albums que j’achète sur la foi de critiques plus passionnées que raisonnées, généralement à base de name-dropping enthousiaste et de comparaisons pas toujours pertinentes. Parfois, je le regrette, parfois pas; le plus souvent, je suis perplexe.

Haelo: Ageusia

J’ai connu – et même récemment chroniqué – des premiers albums bien moins convaincants que ce Ageusia de Haelo: dans le genre métal progressif de haut vol, ça me rappelle Breaking Orbit, c’est dire!

Tristania: Darkest White

Dans le petit monde merveilleux du métal symphonique, Tristania semble véritablement être un cas à part et son nouvel album, Darkest White, le prouve une fois de plus. En gros, si vous vous attendez à un énième clone de « Within Epic Wish », vous allez être déçu: certes, il y en a aussi, mais pas que.

 

Amaze Knight: The Key

J’imagine que ce doit être de plus en plus difficile de se faire un nom dans la musique en général et dans le métal progressif en particulier. Pourtant, le groupe italien Amaze Knight propose, avec The Key, un album qui pourrait bien y contribuer.

Amplifier: Echo Street

Si The Octopus, le précédent album du groupe anglais Amplifier, m’avait perplexifié par son trop grand éclectisme, Echo Street rectifie le tir en proposant une musique bien plus cohérente, empruntant à la fois au rock progressif mélancolique et aux anciens « grands maîtres » du genre, mais au détriment d’une certaine originalité.

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