OK, régulièrement, je vous fais le coup « je n’aime pas la chanson française, mais » agrémenté d’une excuse foireuse qui explique, non sans une mauvaise foi certaine, pourquoi ce chanteur français-là, je le supporte. Dans le cas de PyT et de son Carnet d’un visage de pluie, l’excuse en question est qu’il s’agit d’un chanteur suisse, qui n’est autre que Pierre-Yves Theurillat, le chanteur de Galaad et de L’Escouade.
Lorsque j’ai écrit la critique de X, le précédent album de Spock’s Beard, je disais que c’était un groupe qui semblait avoir du mal à se remettre du départ de Neal Morse, son talentueux et emblématique chanteur-compositeur. Force est de constater, à l’écoute de ce Brief Nocturnes and Dreamless Sleep, que cette remarque est toujours d’actualité.
Les concerts un dimanche soir, c’est une mauvaise idée ; les concerts à Lausanne un dimanche soir, c’est une très mauvaise idée. Certes, mais les concerts de Maserati, c’est une excellente idée !
Ok, j’avoue: ce A Big Night, de Electric Hannibal (attention: autoplay méchant), acheté lors de la frénésie gibertienne de fin février, est un achat impulsif. Un peu trop, peut-être: le jazz-rock avec des influences crimsoniennes, ce n’est pas trop mon truc.
Et donc poum! Me voici de retour à Trolls & Légendes, édition 2013. Ça devient une habitude. Mais une bonne habitude, parce que je ne vous cacherai pas que j’adore ce festival. Donc, question objectivité, je vais avoir du mal à dire du mal des concerts d’ouverture de ce vendredi soir, surtout avec le Naheulband en tête d’affiche, accompagné de La Horde et de Tator!
Encore un album pioché chez Gibert le mois passé (je vous rassure: j’arrive au bout), The Rhyme of the Ancient Mariner – Chapter One, du groupe de rock progressif italien Höstsonaten, pose pour moi un grave problème: comment en parler sans le comparer à la version d’Iron Maiden?
Si un jour on veut éviter des titres réellement abscons, il faudra à tout prix éviter que [bleu] et le groupe russe iamthemorning fasse un jour des petits, parce qu’intituler son album ~ (comme le tilde), il fallait oser! Mais bon, c’est un peu le seul élément négatif que je peux lui trouver.
Bref billet pour vous signaler la sortie de English Electric, part two, la suite du précédent album signé Big Big Train, le groupe de rock progressif britannique qui a décidé d’être plus Genesis que Genesis (et pourtant, il y a de la concurrence).
Autre album acheté lors de ma frénésie gibertienne, sur la base de vagues réminiscences de bonnes critiques sur tel ou tel site, The Second Mechanism, de Diagonal, est une plutôt bonne surprise, encore que je ne sois pas un grand fan de leur style un peu décousu.
Il me semble que chaque fois que je vais à l’Usine, c’est pour y voir un groupe de post-rock: Isis, Tides From Nebula et, hier soir, Sahg, Sólstafir et Long Distance Calling. Bon, dans le cas des intéressés, c’est du post-rock, mais pas que.
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