Mastodon

Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

Jupiter Society: From Endangered to Extinct

Accrochez-vous à vos tachyons: Jupiter Society revient! Et, si la nouvelle a de quoi réjouir, eux ne sont pas contents. From Endangered to Extinct est un concept-album de métal symphonique progressif sur une thématique de science-fiction: l’anéantissement de l’humanité par un ennemi implacable.

Deep in Thought: Verses

Recommandé par des chroniques de Progarchives, cet album Verses du projet Deep in Thought est une très belle découverte dans le domaine post-rock/post-métal instrumental, tendance atmosphérique, ce à un prix défiant toute concurrence.

Deventter: Empty Set

Le moins qu’on puisse dire de Empty Set, le nouvel album du groupe brésilien de métal progressif brésilien Deventter, c’est qu’il ne mérite pas son nom. Quantitativement, d’abord, parce qu’il aligne la bagatelle de quatorze morceaux et septante-trois minutes et, qualitativement, parce que c’est du très bon.

Sound of Contact: Dimensionaut

C’est par la recommandation du site Néoprog, découvert récemment, que je me suis intéressé à Dimensionaut, premier album de Sound of Contact, groupe britannique emmené par Simon Collins (qui, comme de bien entendu, chante et joue de la batterie), qui prouve qu’on peut être fils de et ne rien devoir à personne.

Votum: Harvest Moon

Ne vous laissez pas tromper par une pochette qui évoque petites fées et ambiances éthérées: le troisième album du groupe polonais VotumHarvest Moon est un pas de plus dans l’évolution lente du groupe, qui arpente les limites floues entre rock et métal progressif.

Lost Kite

Des fois, je suis un peu concon. OK; souvent. Par exemple, quand on me parle d’un groupe que je ne connais pas et qu’on le compare à, mettons, Mike Oldfield, il me faut à peu près zéro virgule sept secondes pour hurler « SHUT UP AND TAKE MY MONEY! ». Et c’est comme cela que je me suis retrouvé avec le premier album, éponyme et autoproduit, de Lost Kite.

Crowned in Earth: A Vortex of Earthly Chimes

C’est en lisant la dernière fournée de Prog-résiste que je me suis intéressé à Crowned in Earth et, plus précisément, à leur album A Vortex of Earthly Chimes. Groupe anglais décrit comme un mélange de progressif et de stoner avec une influence (entre autres) Van der Graaf Generator, ça avait l’air prometteur.

Vienna Circle: Silhouette Moon

Les recommandations de ProgArchives, c’est toujours un peu la loterie, mais avec quand même un peu plus de chances de gagner un truc sympa – comme dans le cas présent, Silhouette Moon, album de Vienna Circle, qui est un petit bijou de rock progressif.

Hidria Spacefolk: Astronautica

Moi qui me lamentais du manque d’originalité du space-rock, je trouve avec ce Astronautica de Hidria Spacefolk motif à me réjouir. En rajoutant des influences post-rock, ces six Finlandais dans le vent (solaire) sont bien partis pour méchamment renouveler le genre.

Steven Wilson: The Raven that Refused to Sing (and Other Stories)

Ces temps-ci, les deux tendances lourdes que l’on distingue dans le rock progressif, c’est d’une part une école moderne qui lorgne vers Porcupine Tree et, d’autre part, les tenants de ce que j’appelle le rétro-progressif, qui reprennent des sonorités de « l’Âge d’or ». Steven Wilson, avec The Raven that Refused to Sing (and Other Stories), semble avoir voulu faire les deux, en alternance.

Verbal Delirium: From the Small Hours of Weakness

Il a fallu que je fouille dans mes archives pour m’en rappeler, mais le groupe grec de rock progressif Verbal Delirium, qui vient de sortir From the Small Hours of Weakness, n’est pas un inconnu de ces chroniques, vu que j’avais évoqué il y a un an et demi leur précédent album, So Close and Yet So Far Away.

The Aurora Project: Selling the Aggression

Le groupe néerlandais de rock progressif The Aurora Project revient, avec son néo-prog à la Arena, pour nous narrer, avec Selling the Aggression, un conte des temps modernes: les guerres de l’Occident contre des nations plus ou moins barbares ayant l’avantage d’être truffées de ressources et l’inconvénient d’être dirigées par des dictateurs. Indice: à la fin, c’est la même chose; moralité: aucune.

Elferya: The Straight and Narrow

Or donc, il y a un groupe de métal symphonique en Suisse romande et on ne m’avait pas prévenu – même pas les Belges, c’est dire! Il a fallu le concert d’Eluveitie à Lausanne pour que je découvre Elferya, un groupe lui aussi lausannois (à une vache suisse près), dont le premier album, The Straight and Narrow, est sorti au début de cette année.

Amorphis: Circle

Je n’ai pas écouté assez d’albums de Amorphis pour savoir si Circle, le titre du dernier album, est cohérent avec l’impression que j’ai de revenir au plaisir de Skyforger après le moyen The Beginning of Times. Mais je dois avouer que, sans être au niveau de mon souvenir du premier, ce nouvel album est très, très agréable.

PyT: Carnet d’un visage de pluie

OK, régulièrement, je vous fais le coup « je n’aime pas la chanson française, mais » agrémenté d’une excuse foireuse qui explique, non sans une mauvaise foi certaine, pourquoi ce chanteur français-là, je le supporte. Dans le cas de PyT et de son Carnet d’un visage de pluie, l’excuse en question est qu’il s’agit d’un chanteur suisse, qui n’est autre que Pierre-Yves Theurillat, le chanteur de Galaad et de L’Escouade.

Elferya / Eluveitie à Lausanne

Vous allez voir que ça finir par virer à la tradition: hier soir, Fulgan et moi étions aux Docks de Lausanne pour y fêter son anniversaire (à Fulgan, donc). L’année passée, c’était pour Xandria, Stream of Passion et Epica, cette année c’était pour Eluveitie, avec en première partie les Lausannois de Elferya pour une soirée 100% pur suisse; pour un peu, on aurait pu mettre le petit logo. Indice qui ne trompe pas: le concert se fait à guichets fermés et, sans surprise, la salle est bondée.

Spock’s Beard: Brief Nocturnes and Dreamless Sleep

Lorsque j’ai écrit la critique de X, le précédent album de Spock’s Beard, je disais que c’était un groupe qui semblait avoir du mal à se remettre du départ de Neal Morse, son talentueux et emblématique chanteur-compositeur. Force est de constater, à l’écoute de ce Brief Nocturnes and Dreamless Sleep, que cette remarque est toujours d’actualité.

Jolly: The Audio Guide to Happiness (part two)

Un peu moins de deux ans après le part one, voici Jolly qui nous balance son Audio Guide to Happinness (part two). Et, du coup, j’ai bien envie de vous renvoyer à la chronique du précédent, tant celui-ci est dans la lignée.

Mindless Self Indulgence: How I Learned to Stop Giving a Shit and Love Mindless Self Indulgence

Faut dire ce qui est: il n’y a que Mindless Self Indulgence pour intituler un album How I Learned to Stop Giving a Shit and Love Mindless Self Indulgence! On est assez dans le « comme son nom l’indique » pour ce groupe punko-whatever américain, spécialiste des provocations total con-délire.

Finntroll: Blodsvept

Ça va peut-être vous surprendre, mais Finntroll, je découvre. Ce Blodsvept, qui est leur dernier album en date, c’est le premier que j’achète. Pour ceux qui ne connaissent pas, Finntroll a un nom qui a la tête de l’emploi, vu que ce sont des métaleux finlandais dont la musique donne dans le festif à tendance folkoïde.

« Older posts Newer posts »

© 2025 Blog à part — Powered by WordPress

Theme by Anders NorenUp ↑