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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

Focus: X

Ah, voici enfin un groupe qui a une bonne raison pour faire du rock progressif à la façon des années septante: Focus est un groupe néerlandais qui nous arrive quasiment en droite ligne de cette époque avec ce X, dixième album.

Sahg / Sólstafir / Long Distance Calling à Genève

Il me semble que chaque fois que je vais à l’Usine, c’est pour y voir un groupe de post-rock: IsisTides From Nebula et, hier soir, Sahg, Sólstafir et Long Distance Calling. Bon, dans le cas des intéressés, c’est du post-rock, mais pas que.

Long Distance Calling: The Flood Inside

Vu que je compte aller les voir en concert ce soir, il serait peut-être bon que je vous parle de The Flood Inside, le nouvel album de Long Distance Calling. Quintette allemand donnant dans le post-rock en grande partie instrumental, avec cet album il semble décidé à mettre le rock avant le post.

Zenit: The Chandrasekhar Limit

Ah, que je n’aime pas chroniquer des albums qui m’ont déçu! Surtout quand ils ont 1) un passé glorieux et 2) des qualités rédemptrices. C’est le cas de The Chandrasekhar Limit, du groupe suisse Zenit. Si au moins il avait été complètement naze et le fait d’inconnus, j’aurais pu le casser sans vergogne ou, mieux, l’ignorer.

Big Big Train: English Electric, Part One

Parmi le loot ramené de Paris et, plus précisément, de chez Gibert, il y a ce English Electric, Part One de Big Big Train, qui prouve une fois pour toute à quel point je suis à l’avant-garde, car non seulement c’est du rétro-progressif à la Genesis, mais en plus, la deuxième partie sort ces jours-ci.

DeeExpus: King of Number 33

Le deuxième album de DeeExpusKing of Number 33, fait partie du lot de disque que j’ai raflé à Paris il y a dix jours; en général, cette descente sur le rayon « rock progressif » de Gibert Musique se solde par beaucoup d’achats impulsifs et, en général, pas mal de déceptions. Cette fournée aura cependant été particulièrement faste et cet album est probablement le meilleur du lot, un pur bijou de néo-prog contemporain.

Morph: Sintrinity

C’est la critique assez largement positive de Progressive-Area qui m’a incité à mettre une grosse papatte velue sur Sintrinity, premier album du duo suédois Morph. Notamment, les fourbes ont mentionné TesseracT et Breaking Orbit. C’est très fourbe, parce que le rapport est quelque peu ténu.

Audrey Horne: Youngblood

Imaginez qu’en 1980, Iron Maiden, AC/DC et quelques autres décident de faire un supergroupe; transposez le résultat en 2010 et, le temps que la joyeuse bande s’imprègne des trente dernières années musicales, ils composent un album. Cet album, c’est Youngblood, le petit dernier des Norvégiens de Audrey Horne, et autant dire que, même si ce n’est pas vraiment du prog, il me remue grave la petite cuillère!

Silhouette: Across the Rubicon

Après le rétro-progressif, le nouveau genre oxymorique du jour est le rétro-néo-progressif! C’est en tous cas ce que m’inspire Across the Rubicon, nouvel album du groupe néerlandais Silhouette, dont le néo-prog aurait été juste parfait il y a vingt-cinq ans. Cela dit, il faut reconnaître que, quand c’est bien fait, c’est le genre de musique qui tape directement dans le reptilien. 

Cloudscape: New Era

Il y a des groupes pour qui le métal progressif est l’occasion de mettre un peu de subtilité dans leur déferlement habituel de brutalité, d’autres pour qui c’est l’alchimie entre complexité technique et puissance. Dans le cas des Suédois de Cloudscape, si j’en juge par leur dernier album New Era, c’est plus une couche un peu originale sur un métal qui ressemble plutôt à du hard-FM.

Cult of Luna: Vertikal

Le post-rock, ça peut être atmosphérique et planant, OK. Changement de registre avec Vertikal, le nouvel album de Cult of Luna, groupe suédois de post-métal, qui donne plutôt dans le brutal et le râpeux, sans oublier tout de même ses racines progressives.

Equus: Wie er in die Welt kam

J’aime bien me tenir informé sur l’actualité musicale, surtout locale et régionale, mais ça ne fonctionne pas toujours. Dans le cas présent, c’est en faisant des recherches sur le nouvel album de [bleu] que j’ai découvert Wie er in die Welt kam, le nouvel (et, techniquement, unique) album du groupe genevois Equus, dont j’avais chroniqué l’EP Eutheria il y a pas mal de temps.

[bleu]: clara altantsegtseg

De bleu! Revoilà [bleu], l’improbable duo franco-suisse composé de Gilles Grimaitre et Emmanuel Vion-Dury, qui, après Sincère autopsie de la finesse, revient avec un nouvel OVNI musical au nom encore plus improbable de clara altantsegtseg. Une collaboration avec plus de quarante artistes pour un résultat déconcertant, mais impressionnant.

Voivod: Target Earth

Il y a des sujets sur lesquels je suis clairement trop influençable: ainsi, lorsque Ghislain balance sur Twitter et Facebook que Target Earth, le nouvel album de Voivod, est trop bien, trop prog, trop tout, ma décision de l’acheter séance tenante a été prise. Bon, j’avoue aussi que cela faisait un moment que l’envie de tâter de se groupe de métal légendaire me tenaillait.

Loch Vostok: V: The Doctrine Decoded

Il y a métal progressif et métal progressif. La variante que proposent les Suédois de Loch Vostok avec leur nouvel album, V: The Doctrine Decoded, est de la variante brutale: plus proche des standards du death métal que du Genesis des familles (j’allais parler de Pink Floyd avant de me rappeler qu’un groupe comme Enslaved s’en inspirait un peu trop pour que la métaphore tienne la route).

Riverside: Shrine of New Generation Slaves

Depuis le temps que je répète à qui veut l’entendre (et aussi à un certain nombre de gens qui ne veulent pas) que Riverside est probablement ce qui est arrivé de mieux au rock progressif ces dix dernières années, c’est peu de dire que j’attendais l’arrivée de ce nouvel album, Shrine of New Generation Slaves (SONGS, pour faire court; et oui, c’est voulu) avec une certaine impatience. Ou appréhension.

Porcupine Tree: Octane Twisted

J’avoue: j’ai brièvement hésité avant d’acheter Octane Twisted, le nouvel album de Porcupine Tree. Hésité, parce que The Incident, le précédent, ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable; brièvement, parce que Porcupine Tree, quand même!

Obsidian Kingdom: Mantiis

Mantiis, du groupe espagnol Obsidian Kingdom, se définit comme du post-métal, mais je le trouve plus proche du métal progressif. De mon point de vue, c’est une bonne nouvelle: avec tous les récents albums de rock atmosphérique que j’ai chroniqué ces derniers temps, je commençais à m’endormir.

The Gathering: Disclosure

The Gathering est un groupe que je suis depuis pas-ses-débuts-mais-presque (l’album Mandylion, pour être précis, qui reste encore mon préféré) et je dois avouer que j’ai un petit peu du mal avec ses évolutions récentes. Avec Disclosure, le dernier en date, j’ai l’impression de retrouver en partie le groupe que j’aimais bien.

The Enid: Invicta

Okay, celui-ci est bizarre. Oui, même pour moi. Il s’agit donc de Invicta, le nouvel album de The Enid, un de ces groupes de rock progressif britanniques à la fois légendaire et obscur (certain diront « légendaire, parce qu’obscur ») qui a traversé près de quatre décennies en sous-marin (avec un gros passage en plongée entre 1999 et 2007).

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