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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

Ocean Architecture: Animus

Je n’aime pas me faire moubourrer (ici, principalement par les critiques de Progarchives) pour l’achat d’un truc qui, au final, ne me plaît pas; un peu comme tout le monde, je suppose. L’exemple du jour, c’est Animus, du groupe américain de métal progressif Ocean Architecture.

Edison’s Children: In The Last Waking Moments…

Il y a des albums qui vous frappent immédiatement et d’autres pour lesquels l’impression est plus diffuse et prend un certain temps d’écoute avant de d’installer. In The Last Waking Moments…, de Edison’s Children, fait partie de la seconde catégorie.

Umphrey’s McGee: Hall of Fame Class of 2011

La découverte musicale de la semaine (dernière, pour être précis) est à porter au crédit de Ben Felten qui, sur Google+, a posté la vidéo d’un concert du groupe américain Umphrey’s McGee. J’en avais entendu parler, mais je n’avais jamais entendu un morceau de ce groupe; les dix-huit minutes de “Ocean Billy”, enregistré à Red Rocks, m’ont convaincu.

Dissonati: Reductio Ad Absurdum

Découvert via Denis, de Progressive-Area, Dissonati est un groupe américain qui fait du progressif comme-son-nom-l’indique. Son premier album, Reductio Ad Absurdum – disponible gratuitement sur leur site officiel – est une sorte d’exercice de style dans l’art de mettre la cacophonie au service de la mélodie. Et réciproquement.

Tumbleweed Dealer: Death Rides Southward

Mini-billet pour un mini-album: l’EP Death Rides Southward des Montréalais de Tumbleweed Dealer est arrivé dans ma boîte mail (à deux ou trois clics près) et, après quelques écoutes des trois morceaux disponibles en téléchargement gratuit, je dois dire que c’est plutôt prometteur.

Tiamat: The Scarred People

À chaque fois c’est pareil: j’achète le nouvel album de Tiamat, dans le cas présent The Scarred People, et j’essaye de me rappeler quand c’était la dernière fois que ce groupe suédois m’a enthousiasmé. Ça devait être à l’époque où ils faisaient du métal.

Kamelot: Silverthorn

Ils ont quand même pas de bol,  les Américains de Kamelot! Ils auraient sorti leur nouvel album, Silverthorn, quelques semaines plus tôt ou plus tard et leur power-métal symphonique n’aurait pas eu à souffrir la comparaison avec le nouveau Wintersun.

Wintersun: Time I

Or donc, sur les recommandations de ma crèmerie habituelle, j’ai acheté le dernier album du groupe finlandais Wintersun, intitulé Time I (“I” comme dans “première partie”, donc). Alors accrochez-vous, parce que c’est du death métal progressif symphonique. Et accrochez-vous mieux, parce que c’est du très bon death métal progressif symphonique.

Steve Hackett: Genesis Revisited II

Avec l’Apocalypse maya en ligne de mire, il est compréhensible que Steve Hackett ait eu envie de revisiter la Genèse, d’où ce Genesis Revisited II. Bon, c’est une hypothèse personnelle et je ne vous cacherai pas qu’elle est foireuse, n’empêche qu’à l’écoute de cet album, je m’interroge un peu sur les raisons qui ont poussé le guitariste historique de Genesis à faire des reprises de ses propres morceaux.

Tides from Nebula à l’Usine, Genève

Il y a environ trois ans, jour pour jour ou peu s’en faut, j’étais à l’Usine pour voir Isis, groupe de post-rock. Aujourd’hui, autre groupe de post rock au même endroit: ce sont les Polonais de Tides From Nebula qui nous font les honneurs du lieu.

Perhaps: Volume One

C’est l’histoire d’un petit groupe qui sort un petit album et qui déclenche un petit ouragan dans le microcosme du rock progressif. Ce groupe, un trio originaire de Boston, c’est Perhaps et l’album en question, c’est Volume One, trente-sept minutes d’un rock progressif psychédélique instrumental barré de la tête.

Disconnect: Enough Blame To Go Around

Avis à ceux qui n’aiment pas le rock progressif en général et King Crimson en particulier: non seulement Enough Blame To Go Around, cinquième album du duo américain Disconnect, n’est pas pour vous, mais ce ne sera pas le seul du genre que je compte chroniquer ces prochains jours. Rassurez-vous: ça finira par me passer.

In The Silence: A Fair Dream Gone Mad

Ce qu’il y a de bien, avec des groupes comme In The Silence, c’est qu’entre leur nom et celui de leur premier album, A Fair Dream Gone Mad, on a déjà une bonne idée de là où on va aller: du rock progressif atmosphérique teinté de métal. Ou peut-être que c’est juste moi qui y lit ce genre de choses.

Sybreed: God Is An Automaton

Bon, allez, je trouve que ces temps-ci, j’ai un peu trop parlé de groupes qui donnent dans le planant-mou pour baba sur le retour, il est temps de causer un peu métal. Ça tombe bien, Sybreed vient de sortir son nouvel album, God Is An Automaton. Et comme c’est un groupe genevois, ça permet de consommer local (on y retrouve d’ailleurs Ales Campanelli, le bassiste de Djizoes).

Godspeed You! Black Emperor: ‘Allelujah! Don’t Bend! Ascend!

Je dois avouer que, si j’aime bien le post-rock, je n’ai jamais été un grand fan d’un des plus illustres représentants du genre, Godspeed You! Black Emperor. Il faut un début à tout et, dans le cas présent, il s’agit du dernier album en date, sobrement intitulé ‘Allelujah! Don’t Bend! Ascend!.

Maserati: VII

Septième album, donc, pour les post-rockers américains de Maserati qui, en toute logique, l’ont intitulé VII. Je vous rassure tout de suite: leur musique est quand même un poil plus originale que cela. Le groupe poursuit ici son évolution logique, du post-rock instrumental vers des contrées qui rappellent le rock électronique de Tangerine Dream et, par la même, viennent quelque peu piétiner les plate-bandes d’un God Is An Astronaut.

Kettlespider: Avadante

C’est curieux, mais après une certaine quantité de baffes musicales prises ces dernières années en provenance de l’Australie – dont la dernière en date est Breaking Orbit – j’ai cessé de considérer l’Australie comme une terre quelque peu reculée dans la galaxie du rock progressif. Avadante, du groupe de rock progressif instrumental Kettlespider, vient confirmer cette impression.

Devin Townsend Project: Epicloud

Ce qu’il y a de bien, avec ce fou furieux canadien de Devin Townsend, c’est que, quand il sort un album qui s’appelle Epicloud, on est rarement trompé sur la marchandise: on sait que ça va être épique et bruyant.

Coheed and Cambria: The Afterman: Ascension

Coheed and Cambria continue son petit bonhomme de chemin musical et narratif, avec ce Afterman: The Ascension, premier album d’un dyptique qui fait également suite aux concepts albums précédents. Le tout formant un ensemble narratif connu sous le nom de “The Amory Wars“. C’est très concept.

Änglagård: Viljans Öga

Or donc, je ne connaissais pas Änglagård, groupe de rock progressif suédois – ou si peu. C’est corrigé avec leur nouvel album, Viljans Öga, qui déboule sur les platines après plus de quinze ans d’interruption. Oh, j’avais bien le live Buried Alive, mais il ne m’avait pas laissé un souvenir marquant, ce qui n’est pas le cas de cet album.

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