Doom Patrol
Un homme-robot, une métamorphe, un pilote radioactif et son symbiote, soixante-quatre personnalités dans une personne et le Chef. C’est la Doom Patrol.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Car il m’arrive aussi de regarder la boitakon, principalement pour des séries ou des dessins animés.
Un homme-robot, une métamorphe, un pilote radioactif et son symbiote, soixante-quatre personnalités dans une personne et le Chef. C’est la Doom Patrol.
Dans Star Trek, on a le plus souvent des officiers aguerris. Lower Decks prend le contrepied de ce présupposé avec le point de vue des noobs.
Los Angeles, 1938: meurtres, tensions ethniques, politique, occultisme et Nazis. Mais City of Angels n’est pas vraiment du Penny Dreadful.
Pour son premier voyage, le paquebot Avenue 5 emporte ses passagers pour une croisière dans le système stellaire. Jusqu’à l’accident bête.
Dans Star Trek: Picard, l’éponyme capitaine de l’Enterprise est un ex-amiral vieillissant qui a claqué la porte de Starfleet. Mais ça ne va pas durer.
Quand Harley Quinn se retrouve à l’Asile d’Arkham, elle s’attend à ce que le Joker vienne la sortir de là. Un an plus tard, elle finit par s’évader.
Aujourd’hui sur Blog à part – The Expanse, saison 4. Dans ma chronique sur la saison 3 de The Expanse, j’avais dit que c’était la meilleure série de SF de la décennie. La quatrième saison enfonce le clou.
Donc, ma dame et moi, nous avons regardé la première saison de The Mandalorian, série dans l’univers de Star Wars. Résumé rapide; c’était plutôt sympa.
Carnival Row, c’est une série télé de huit épisodes que je le qualifierais de « steampunk avec plus de punk que de steam ».
Nouvelle saison, nouvelles menaces, nouvelles aventures: Agents of SHIELD revient pour une sixième et avant-dernière saison.
Je me suis encore fait avoir: la première saison de Disenchantment, chroniquée il y a quelques temps, n’était que la première moitié de la première saison.
Troisième saison pour Into the Badlands: La Veuve se bat contre les Barons, Sunny part pour soigner son fils nouveau-né, et un étrange Prophète et sa clique débarquent.
Archer, Sterling Archer. C’est un agent d’élite. Avec ses collègues d’ISIS, il défend le Monde Libre.
Un an après les événements de la saison 2, nous voici de retour à Hawkins, Indiana, début juillet 1985, pour une nouvelle saison de Stranger Things. Les enfants ont grandi, les adultes ont vieilli et, sans surprise, les menaces reviennent.
Un beau jour, quarante-trois femmes qui n’étaient pas enceintes cinq minutes avant donnent le jour, simultanément, à un enfant. Reginald Hargreaves, richissime entrepreneur excentrique, en élève sept comme ses propres enfants au sein de la Umbrella Academy.
Après avoir mis fin au règne du superméchant The Terror, Arthur et The Tick vont pouvoir reprendre leur routine de superhéros. Enfin, aspirant superhéros dans le cas d’Arthur. Mais ce serait mal connaître le scénariste de The Tick, une des séries superhéroïques les plus barrées du moment.
Dans Good Omens, c’est bientôt la Fin des Temps, l’Apocalypse (en édition populaire), l’Antéchrist qui revient et la confrontation ultime entre Anges et Démons. Sauf pour deux spécimens, Aziraphale et Crowley (respectivement), qui ne sont pas vraiment pressés d’en découdre.
Je ne suis pas sûr d’avoir vraiment apprécié cette deuxième saison d’American Gods. Je préfère le dire tout de suite pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté. Et non, je n’ai toujours pas lu le bouquin de Neil Gaiman.
Une série télé d’horreur comique qui se déroule dans un bled de bouseux américains, avec une malédiction, des monstres, une ambiance septante-huitante et un héros éponyme con comme une bille. Ça vous rappelle quelque chose? Eh bien Stan against Evil, c’est en effet un peu comme Ash vs Evil Dead, sauf que pas tout à fait.
Et c’est parti pour une deuxième saison de la série de science-fiction la plus improbable de la décennie, avec son vaisseau spatial en forme de siège de toilettes (ou de décapsuleur) et son équipage semi-dysfonctionnel – j’ai nommé The Orville!