Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal

Passage obligé du geek moyen que je suis, le dernier opus des aventures du professeur Henry Jones, Jr. joue sur à peu près tous les trucs que j’aime: du pulp (revisité à la sauce nucléaire anticommuniste, années 50 obligent), des gadgets soviétiques plus ou moins indestructibles, des personnages qui ne se prennent pas (trop) au sérieux, des histoires d’anciens astronautes, des cascades improbables et des (très) grosses explosions.

Est-ce que cela fait d’Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal un bon film? Dans le sens où je l’ai trouvé très distrayant, oui. Par contre, comme c’est souvent le cas pour des suites réalisées très longtemps après l’original, il a un côté autoparodique et autoréférent qui risque d’agacer les fans et de perdre ceux qui n’ont pas vu les autres films de la série (ce qui devrait représenter environ cinq personnes).

Le fait qu’Indy ait vieilli et ait un fils change quelque peu la dynamique, un peu comme dans la série des Lethal Weapon. Peut-être même que cet épisode marquera la transition entre Henry Jones Jr. et Henry Jones III, allez savoir.

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