Séance de rattrapage DVD hier soir avec le quatrième opus de la franchise Mission:Impossible, Ghost Protocol. C’est du bon vieux gros blockbuster d’action/espionnage, avec des gadgets improbables, des plans tarabiscotés et des destinations exotiques, dans le but de sauver le monde du feu nucléaire que souhaite lancer un illuminé qui pense que c’est le seul moyen de faire évoluer l’humanité.
Les nouvelles tours de Singapore
Les nouvelles tours de Singapore La Ville libre de Singapore n’est jamais en retard d’un plan mégalomane, mais s’ils venaient à mettre en œuvre un projet tel que ce City in the Sky, ce serait quand même une sorte de… Continue Reading →
Les émissions pour les enfants, ce n’est pas que pour les enfants. Les producteurs qui, à l’instar de ceux de Minuscule, mini-série française, ont compris cela, ont tout compris, si vous voulez mon avis.
Il fallait s’y attendre (et, à dire vrai, j’avais prévenu): sitôt Deus Ex bâché, je suis allé télécharger Diablo III. Oui, je sais, la boîte est moins chère, mais c’est une boîte et j’en ai déjà trop. Donc, téléchargement. J’appréhendais un peu, mais j’y avais un peu joué chez Fulgan auparavant et ça m’avait convaincu que c’était dans la lignée de ce que j’attendais: du combat bourrin.
Bon, ce n’est pas tout ça de dénigrer les petits camarades qui se fourvoient dans les attaques de moulins à vent, que pourrions-nous faire pour contrer les accusations de pédofachosatanisme crypto-anarchocommuniste qui pèsent sur le jeu de rôle en général et ses joueurs en particuliers? Et, par « nous », j’entends les rôlistes en général, mais surtout les blogueurs actifs.
« Quand les hommes de cent trente kilos disent certaines choses, ceux de soixante les écoutent », faisait dire Michel Audiard à un de ses personnages. De même, quand un chroniqueur de Prog-résiste (connu sous le nom d’Acritarche) dit quelque chose, comme le fait qu’Overhead est un très bon groupe de néo-prog finlandais, le fan l’écoute et achète le premier album qui lui tombe sous l’iTunes, à savoir And We’re Not Here After All.
Imaginez un gros barbare qui n’aime pas le flan au caramel. Ça arrive. Or, ce barbare arrive dans une pièce dans lequel il y a un flan au caramel. Il sort sa grosse masse d’arme (+2 contre les flans au caramel) et donne un gros coup dedans. Résultat, il y a du flan au caramel partout dans la pièce – y compris sur le gros barbare qui n’aime pas le flan au caramel. Maintenant, imaginons que ce gros barbare s’appelle Streisand. Ça arrive aussi.
Le 29 mai 1968, en pleines manifestations étudiantes, le président français Charles de Gaulle tente de rallier les troupes françaises en Allemagne. Interprétant son geste comme une tentative de fuite, la foule prend d’assaut l’Élysée et le « Grand Charles » meurt. C’est le début de la Guerre civile française et le point de divergence de Paris brûle encore, huitième volume de la collection de bande dessinées uchroniques « Jour J ».
Si vous voulez mon avis, Men in Black 3 est sans doute la démonstration qu’on peut faire quelque chose de raisonnablement agréable sur des prémisses objectivement pas folichonnes: un film pop-corn, avec peu de matière, beaucoup de sucre et de trucs éclatés avec des trous au milieu. Et si vous ne le voulez pas, lisez le blog de quelqu’un d’autre!
Deuxième album de Frames, formation allemande de post-rock instrumental, In Via corrige un certain nombres de faiblesses de Mosaik, son premier album, et apporte quelques changements de directions, parfois bienvenus, mais aussi plutôt convenus. C’est un peu dommage, quelque part, mais pas rédhibitoire non plus.
Et boum! Encore un (semi) pavé signé Charles Stross que cet essai intitulé SF, big ideas, ideology: what is to be done? et résumé par Warren Ellis en « Charles Stross tabasse la SF avec un bâton merdeux ». Merci, Warren…
Alors, en achetant ce Storm Corrosion, album éponyme fruit de la collaboration entre Steven Wilson (Porcupine Tree et un million d’autres projets) et Mikael Åkerfeldt (Opeth), vous vous attendiez à du gros métal qui râpe et qui pète, hein? Naïfs que vous êtes! Pour reprendre une tournure de phrase que j’avais déjà utilisé précédemment, il y a dans cet album considérablement plus de corrosion que de storm.
J’avais prévenu: ma nouvelle Irrwisch Terminal dans l’univers de Tigres Volants était une expérimentation à plus d’un niveau. D’une part, au niveau de la méthode d’écriture: un premier jet plus ou moins écrit à l’arrache, dans le train entre la Belgique et Genève. Ensuite au niveau de l’envie d’écrire de la fiction dans un format un peu plus accessible au lecteur lambda que des scénarios de jeu de rôle.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑