Si les personnages souhaitent renouveler leur garde-robe, acquérir une arme ou à peu près n’importe quel objet manufacturé, il va leur falloir là encore changer d’habitudes: par exemple, ce n’est pas la peine de chercher une boutique de prêt-à-porter. Silestarin compte par contre quelques tailleurs tout à fait compétents.
Ne cherchez pas d’épicerie à Silestarin : il n’y en a pas. Le plus souvent, les habitants achètent leur provisions via les services de l’intendance. Les habitats du système produisent une grande partie de ce qui y est consommé, mais les importations peuvent facilement être ruineuses. Il y a aussi le marché, dont une partie de la vingtaine d’étals qui occupent tous les deux jours la place centrale du village.
Dans cet article et les deux à suivre, je vous propose une petite immersion dans la sphère culturelle atlano-eyldarin et quelques idées de saynètes, conçues pour meubler des temps morts et donner aux joueurs un petit aperçu de la vie quotidienne. Commençons par quelques généralités.
Cybercafé 2300 Ce concept des designers coréens Youri Hong, Moonhwan Park et Hyoshin Kim est prévu à un horizon assez court dans notre univers, mais on peut imaginer que, dans le monde de Tigres Volants, c’est quelque chose de relativement… Continue Reading →
Il y a des fois où on se fatigue du death progressif aux inspirations folk caréliennes et des déconstructions post-industrielles de vingt-sept minutes. Moi, dans ce genre de cas, je vais voir Magnum jouer The Visitation dans une auberge isolée, au milieu des elfes et des trolls.
C’est l’histoire du poisson d’avril qui n’en était pas un, annoncé par Richard Pini sur Facebook: ElfQuest: A Fan Imagining, un film réalisé par des fans, dont le Teaser Trailer est déjà en ligne.
J’ai un peu honte: je n’ai appris l’existence de Pyramid of the Sun, dernier album en date des post-rockers américains de Maserati, par un des moyens les plus détournés qui soit: un compte-rendu de concert dans Charlie-hebdo, qui plus est d’un concert à Lausanne.
Et c’est reparti, comme chaque année, pour le compte-rendu de la convention Orcidée ! Un événement tellement bien rodé qu’on pourrait le résumer en une formule de carte postale : « Temps magnifique, wish you were here. »
Projets architecturaux de cinglés, deuxième époque
Projets architecturaux de cinglés, deuxième époque Quinze projets de gratte-ciels plus ou moins barges, le pompon étant sans doute décroché par la ville construite dans une ancienne mine de charbon, avec ses tours inversées.
Cet album éponyme de Long Distance Calling montre une certaine expérience dans le domaine du post-rock, dans un style qui emprunte à la fois aux ambiances interstellaires de God Is an Astronaut et le côté plus carré d’un Monkey3.
Je vous ai déjà parlé de la Quadrature du Net, site français d’information et de défense des libertés sur Internet et ailleurs. Ce site donc a besoin d’un soutien financier pour continuer à exister. Je vous invite donc à leur faire un don dans la mesure de vos moyens.
Bienvenue au Parlement de la Fédération des hautes-terres!
Bienvenue au Parlement de la Fédération des hautes-terres! Bon, en vrai, c’est le projet du complexe parlementaire de Tirana, Albanie, réalisé par le bureau autrichien Coop Himmelb(l)au, mais la Fédération des hautes-terres ne va pas s’arrêter à ce genre de… Continue Reading →
Welcome to My DNA est le troisième album de Blackfield, groupe composé de l’artiste israélien Aviv Geffen et Damien Wilson. Sans surprise, la musique de Blackfield ressemble beaucoup au rock progressif mélancolique que fait Porcupine Tree, peut-être avec un côté plus pop.
Ceci pourrait fort bien être Rising Star, la station de Singapore qui forme le terminal de l’ascenseur orbital de la ville libre. Image de Jesse Van Dijk, via Concept Ships.
La raison principale de cette chronique de Black Rainbow est que j’ai encore des souvenirs émus de l’album éponyme d’Aucan, groupe italien qui est passé en moins de deux ans du math-rock au dubstep, ce qui n’est pas vraiment mon style. Mais style ou pas, Aucan, ça poutre!
Attention, metalheads, prog-fanatics et autres puristes des musiques non-commerciales: ceci est une critique de Catching Rays on Giants, le dernier album d’Alphaville. Oui, vous avez bien lu: le groupe pop allemand rescapé des années new wave.
Merci à l’artiste Gabriel von Satzger d’avoir clarifié les choses, via cette image et quelques autres. Je n’ai pas réussi à la retrouver dans le Tumblr, mais je suis fan de “Non! Avoir un blog ne fait pas de vous un… Continue Reading →
Ces temps, je me suis retrouvé avec toute une platée de groupes de rock progressif qui avaient pour caractéristique d’avoir été encensé par la critique en leur temps sans pour autant que je vois personnellement l’intérêt du groupe. C’était déjà… Continue Reading →
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